2023 - Recueil de souvenirs : Mariza
Elle travaillait avec moi…
Mariza, 40 ans, en couple, 1 enfant de 14 ans, blonde comme un épi de blé, des yeux bleu délavé, un pur portrait russe, avec souvent des habits bariolés…
Robe brodée, ou avec des dentelles, ou corsage à frous-frous, et jupe en tartans…
Elle attirait les regards des hommes, elle en jouait innocemment, à tous les étages du siège social.
Elle était comptable, et malgré qu’elle vive en couple, elle n’était pas avare de ses charmes, qu’elle laissait parfois entrevoir, ce qui mettait ces messieurs en émoi…
Bref, cela faisait partie d’un jeu entre nous, on aimait notre travail, parfois très prenant, et on se permettait des plaisanteries ou des attitudes provocantes, bien innocentes en piquant nos collègues dans leur désirs machistes…
On se régalait, et on en récupérait les effets, quand ils nous coinçaient dans un local, ou nous prenaient virtuellement en otage…
Tout cela n’était que jeu, respect et camaraderie…
Ils nous relâchaient, après une traque dans les couloirs des archives pendant la pause déjeuner, ou dans les réserves, le plaisir de nous serrer dans leurs bras en riant aux éclats de ce cache-cache déstressant…
Parfois, un baiser était volé, un attouchement plus osé, un sein effleuré, caressé, c’est difficile de dire par qui, dans la pénombre des salles du dernier étage…
Jamais nous n’eûmes à nous plaindre de nos collègues en plus de 10 ans…
Mariza était mon soleil, elle éclairait mes matins chagrins, mes journées pluvieuses et mes coups de cafard…
Elle devint petit à petit mon amie, au point que Paul, que je fréquentais depuis peu, en était jaloux…
Mais quand il fit sa connaissance, un soir de fête au bureau, il changea d’avis…
Elle était ravissante, et ils fusionnèrent dès les premières secondes…
Elle aimait son regard acéré, son physique, je la voyais, mutine, coquine, parler à mon amant, avec sa façon d’onduler, de croiser ses doigts et de se pencher vers lui, corsage béant…
Paul lui plaisait…
Je la fis avouer dès qu’on s’isola dans les toilettes, pour une beauté…
- Oui, ton ami est très sexy, je perçois sa sensualité, et ses yeux font naître des papillons dans mon ventre…
- Tu as envie de lui ?
- Je ne dirais pas non…
- Mais c’est mon ami, tu me trahirais ?
- Non ! Je ne veux pas te le voler ! Juste sentir sa queue pénétrer mon vagin et libérer mes papillons, puis m’envoler quelques minutes… Tu serais jalouse ?
- Je n’avais pas envisagé de le partager… Mais avant de me marier, pourquoi ne pas le tester…
- Tu penses à quoi ?
- Je vais vous inviter, toi et ton mec, on va faire connaissance vraiment, ma chérie…
- Un quadrille ? Echanger nos amants ?
- Oui, et plus encore, nous dévorer toutes les deux devant eux, les pousser à bout, comme au bureau, mais sans filet cette fois, pour récolter leurs jus, nous faire ensemencer par tous les deux, les goûter, les sucer, avaler leur sperme en récompense !
- Génial, oui ma belle ! J’ai jamais été aussi loin avec 2 hommes… Me laisser caresser par les deux, oui ; en branler un en suçant l’autre, oui ; me planter sur la bite du premier, et masturber l’autre, oui, et le pied, les faire gicler ensemble…
- Et oui, ma chérie, un cran au-dessus maintenant, Paul est bien monté…
- Le mien n’est pas mal non plus… Je jouis à chaque fois… Et après, il aime savourer ma chatte, sucer mon clitoris à m’en faire perdre la tête !
- Et la sodo ?
- Oui… Je ne me suis donnée qu’à lui… Mais pas chaque fois…
- Paul aime me prendre en macho, glisser sa queue dans mon derche et savourer mes cris de hyène… Je n’ai jamais eu mal avec lui… Il est doux et puissant, je le sens jusque dans mes entrailles, et comme une salope, je jouis en me masturbant la nénette !
- Tu es géniale, tout ce que je n’ai pas osé ! Atavisme ancien, coutumes ancestrales, éducation religieuse…
- Fais-le avec Paul, laisse-toi prendre en levrette, et offre lui ton derrière, tu m’en diras des nouvelles…
- Toi aussi, alors… Profite du mien, suce-le à fond, offre-lui ta chatte, laisse-toi sucer, en 69, il adore, puis laisse-le te prendre, il va exploser ta vulve, et jouir en toi… Il ne peut pas se retenir quand il jouit… Je ne l’ai jamais partagé… Je t’aime comme une amie… J’aimerais être là… Te voir jouir de lui, t’entendre…
- Pas de soucis, ma douce… On le fait souvent Paul et moi, en vacances, en camping-car, on échange avec des couples de rencontre… Ou à la maison, avec nos amis, barbecue, soirée raclette, ou piscine partie…
- Dans le même espace ? Je veux dire ensemble, face à face ?
- Oui, ce sont des moments intimes que l’on partage avec nos amis les plus chers, les plus tendres, ceux qu’on connait depuis longtemps… Je me sens libre et cela décuple mes sensations, quand la femme jouit sous Paul, ou que j’orgasme sous son mari… Après on se rejoint toutes les deux, et on se laisse aller… On leur offre un spectacle…
Cela distrait nos mecs, et nous on jouit comme jamais avec une femme…
Parfois, on le fait en pleine nuit, dans le silence de notre couche, et tout y passe…
Deux lesbiennes, bien dans nos corps de femmes libertines !
Quelquefois cela les réveille et les stimulent, et on passe un sale quart d’heure, ils nous prennent ensemble, une récompense, du plaisir haut de gamme !
- Ensemble ? Un par devant et un par derrière ? J’ai jamais fait non plus… Une fois c’était pas loin, mais j’ai refusé que le second me sodomise, je lui ai offert mes seins, il s’est branlé dedans, tandis que l’autre se vidait dans ma culotte, trop pressé le bougre !…
- Tu es impayable, Mariza ! Tu étais mariée ?
- Non, c’était lors d’un réveillon à l’hôtel, on y était allé en bande… J’avais largué Jim déjà et j’avais besoin de sexe… Cette nuit-là, j’ai eu 5 rapports ! Avec 5 hommes… Les deux premiers dans les toilettes, juste une mise en bouche et crac-crac, puis les deux autres dans ma chambre vers 5 heures du mat, ils m’avaient raccompagnée, je les ai remercié sur mon canapé… Ah, j’oubliais un 5ème, avant de monter, il m’a labourée debout, dans les cuisines, dépoitraillée, et arcboutée sur un plan de travail… J’ai joui comme une salope, en orgasmant de tout mon *****, la croupe à l’air !
- Bon, on le fait quand ce quadrille ?
On n’avait pas encore la villa, mais Paul avait un ami Belge, parti aux Antilles pour 1 an…
Maison fabuleuse, calme, piscine, grandes pièces, cheminée, grand salon aux canapés immenses, tout le confort et une chambre à ****** de jalousie, lit 2m x 2m, SPA attenant, parfait pour notre but ultime…
On les met à l’aise, on fait connaissance de son ami, Stef, pas mal, très jovial, et le courant passe entre nous 4…
Je n’ai rien dit à Paul sur nos conversations, ni sur nos buts…
Elle a fait pareil, juste dit qu’on se marrait bien au bureau et qu’en dehors, on riait beaucoup, et que l’on s’était rapprochées depuis quelques temps, on se confiait nos fantasmes…
Après deux apéros, on était en septembre, le temps était encore propice à une baignade…
Paul, mis l’éclairage juste dans l’eau, on passa des maillots… Je restais seins nus…
- Ce n’est pas obligé, mais nous, c’est à poil qu’on se baigne !
Et j’enlevais le bas…
- Alors nous aussi ! La nature, on connait, hein chéri ? Quand tu m’emmenais à Agde dans les dunes…
- Oui, mais là, on n’est pas seuls !
- Mais si, vous êtes seuls, dans l’eau c’est pareil…
- Oh, que c’est bon !
- Oui, allez, courrez… Sautez, attrapez-nous !
Le vin et nous, plus la nouveauté, plus la liberté, plus des images qui viennent se greffer, souvenirs ou fantasmes, et la soirée prend un grand virage…
Stef est venu vers moi directement, en fendant les eaux transparentes, il m’a serrée contre lui puis ses mains se sont permises des caresses hardies, puis intimes…
J’ai senti son membre s’enflammer, je n’avais plus de doutes sur la suite…
Je me suis laissée caresser, embrasser, Mariza profitait déjà de Paul…
Mes doigts ont touché sa bite, je m’en suis saisie quand il a empaumé mes deux seins…
Dure, intense, vivante et vibrante, elle a déclenché mes humeurs de femme, tandis que ses lèvres pinçaient mes tétons, et ses doigts parcouraient mon sillon et débusquaient mes trésors cachés…
Je crevais de désir au bout d’un moment, j’avais la chatte en folie, j’imaginais son dard écarteler doucement mon puis d’amour, le pénétrer, offerte, détrempée… J’ai craqué !
Je me suis accrochée à son cou, cuisses autour de ses hanches, il a compris, m’a soutenue par les fesses, et je me suis pénétrée avec son attribut, qu’elle m’avait vanté…
Le plaisir de le sentir ouvrir mon antre, glisser dans mon vagin, distendre mes chairs, mes tissus, avec ses vas-et-viens lancinants, les papillons libérés, la chaleur dans mon ventre, ses lèvres sur les miennes, un doigt sur mon anus, j’ai explosé un orgasme puissant, mes yeux dans les siens, il m’a calée contre le mur, et m’a tringlée avec frénésie, je me tenais à la margelle, et défaillais de plaisir, en écartant mes cuisses, me donnant à lui…
Fusionnel ! Ce premier contact avec Stef…
De leur côté, Mariza embrochée, arcboutée sur les escaliers, ondulait de la croupe, à moitié hors de l’eau, Paul, debout la possédait avec passion, la portant au nirvana, chose qu’il me faisait très souvent…
Je me mis à la place de ma nouvelle amie et décuplais mon plaisir en le serrant dans mon ventre, pour le préparer à la jouissance suprême !
Nos mains se sont jointes, nos doigts se sont croisés, je me suis donnée à lui, jubilant de plaisir…
Il a joui en moi, j’ai joui de lui, de le sentir exploser dans mon ventre, en ahanant de grands coups de reins…
J’étais dans un état second, épuisée nerveusement, venant de jouir intensément de ce sexe qu’il maintenait en moi…
J’en jouissais, délicieusement… Comme un jouet interdit, je fermais les yeux, il coulissait lentement, encore ferme…
Je le savourais en égoïste, libérant mes dernières humeurs de femme, lui faisant un étui de soie…
Un moment de bien-être, de sexe entre adultes, un pur plaisir… Un orgasme particulier, intense et intime…
En le faisant glisser dans mon vagin, j’avais envie de me sodomiser avec…
Mariza avait eu un orgasme, elle avait poussé des gémissements de femme, des râles de plaisir, et embrassait mon Paul en frottant ses seins contre son torse…
On se regarda enfin, toutes les deux rassasiées pour un temps, heureuses de cette rencontre…
On sortit de l’eau les premières, nues et encore sous le joug de nos amants…
Je me drapais dans un peignoir, puis je servis du champagne, et on passa au plat de résistance, un rôti à ma façon, en habit de fête…
Ils se régalaient, je sentis la main de Mariza sur ma cuisse…
Je les écartais… Elle se plaqua sur ma vulve…
Ils plaisantaient, faisaient connaissance, nous titillaient, nous promettant des heures douces… Un dessert des plus tendres…
Un doigt glissa dans ma vulve et caressa mon clitoris…
Je fis glisser ma culotte en entrant dans la cuisine…
J’étais excitée… Mes tétons pointaient ardemment ma robe d’intérieur…
- On va se refaire une beauté quelques minutes… Prenez le temps, Paul, sers notre ami…
On s’échappa jusque dans la chambre, nos vêtements s’envolèrent, on se mit en 69, je goutais à son jus de femme, elle me faisait jouir, continuant à tourner mon clitoris entre ses doigts… Je feulais, me donnais, la caressais, elle sentait Paul, je me gorgeais de ce jus qui sourdait de son vagin…
On fit l’amour, le tendre, le lesbien, nous frottant avec tendresse, excitant, titillant, puis en ciseau, vulves encastrées, on escaladait les marches du plaisir ensemble…
Sa langue me donna le tournis, je jouissais sans m’arrêter…
Elle s’écartelait sous la mienne, se tordait, je la masturbais avec passion, allant jusqu’à pénétrer son anus, pour la faire jouir…
Elle me rendit ma caresse, fesses écartées, un doigt dans mes entrailles et les autres dans mon vagin, une double pénétration manuelle, irréelle…
Elle savoura à son tour, écartelée, puis en levrette, offerte, savourant mes doigts de fée, qui la portèrent au supplice…
Que de sexe ! Que de passion, de désirs enfouis, lâchés dans cet élan de partage…
On s’embrassait, on se massait, on se léchait…
Je découvris la vraie Mariza, femme, sensible, généreuse, aimante, amante, complice, et on fondit quand ils vinrent nous rejoindre…
Un festival de baise, partout, à 2, à 3, changeant de partenaire, ils nous emmenèrent au 7ème ciel, jusqu’à l’aube, épuisées, couvertes de sperme et de sueur, on s’isola dans la salle de bains, prises de folie sexuelle…
On dormit 3 heures, et on recommença…
Tous les 4 dans ce grand lit, sans aucune retenue, baisant à qui-mieux-mieux, nous offrant des sensations de salopes, engrossées par nos amants dans toutes les positions…
Puis ils essayèrent de la sodomiser à 2…
Elle se laissa conduire, puis explosa de douleur…
Je pris le relais, mais par devant, ils me prirent ensemble, explosant mon vagin avec leurs deux pénis… Je jouis pleinement, elle m’embrassait en se masturbant…
La maison vide résonna de nos frasques, on rangea, nettoya, en repensant à cette soirée hors-norme, un fantasme réalisé pour nous 2, avec Mariza… Nos hommes à la hauteur…
Paul me souriait, heureux et très satisfait de mon choix…
- Je ne pensais pas qu’elle était aussi sensuelle…
- Et lui, si gentil, si tendre, un vrai gentleman, comme toi…
- Tu n’as pas fait semblant alors ?
- Non, toi non plus, elle s’est envolée avec toi…
- Et tu as pu faire l’amour avec elle… Je t’ai observée, vous étiez vraiment naturelles toutes les 2… Elle t’a appréciée…
- Oui, cela va changer nos rapports, mais on va faire attention au bureau… Elle n’avait jamais fait l’amour avec une femme, comme ça, en partageant son amant avec un couple…
On était le premier janvier, repus tous les deux, en promettant de recommencer…
Mariza m’appela le soir…
Elle était vannée, et heureuse d’avoir fait ce deal…
Surtout avec moi…
Elle recommencerait bien le week-end prochain !...
FIN
Marika84 – décembre 2024
Mariza, 40 ans, en couple, 1 enfant de 14 ans, blonde comme un épi de blé, des yeux bleu délavé, un pur portrait russe, avec souvent des habits bariolés…
Robe brodée, ou avec des dentelles, ou corsage à frous-frous, et jupe en tartans…
Elle attirait les regards des hommes, elle en jouait innocemment, à tous les étages du siège social.
Elle était comptable, et malgré qu’elle vive en couple, elle n’était pas avare de ses charmes, qu’elle laissait parfois entrevoir, ce qui mettait ces messieurs en émoi…
Bref, cela faisait partie d’un jeu entre nous, on aimait notre travail, parfois très prenant, et on se permettait des plaisanteries ou des attitudes provocantes, bien innocentes en piquant nos collègues dans leur désirs machistes…
On se régalait, et on en récupérait les effets, quand ils nous coinçaient dans un local, ou nous prenaient virtuellement en otage…
Tout cela n’était que jeu, respect et camaraderie…
Ils nous relâchaient, après une traque dans les couloirs des archives pendant la pause déjeuner, ou dans les réserves, le plaisir de nous serrer dans leurs bras en riant aux éclats de ce cache-cache déstressant…
Parfois, un baiser était volé, un attouchement plus osé, un sein effleuré, caressé, c’est difficile de dire par qui, dans la pénombre des salles du dernier étage…
Jamais nous n’eûmes à nous plaindre de nos collègues en plus de 10 ans…
Mariza était mon soleil, elle éclairait mes matins chagrins, mes journées pluvieuses et mes coups de cafard…
Elle devint petit à petit mon amie, au point que Paul, que je fréquentais depuis peu, en était jaloux…
Mais quand il fit sa connaissance, un soir de fête au bureau, il changea d’avis…
Elle était ravissante, et ils fusionnèrent dès les premières secondes…
Elle aimait son regard acéré, son physique, je la voyais, mutine, coquine, parler à mon amant, avec sa façon d’onduler, de croiser ses doigts et de se pencher vers lui, corsage béant…
Paul lui plaisait…
Je la fis avouer dès qu’on s’isola dans les toilettes, pour une beauté…
- Oui, ton ami est très sexy, je perçois sa sensualité, et ses yeux font naître des papillons dans mon ventre…
- Tu as envie de lui ?
- Je ne dirais pas non…
- Mais c’est mon ami, tu me trahirais ?
- Non ! Je ne veux pas te le voler ! Juste sentir sa queue pénétrer mon vagin et libérer mes papillons, puis m’envoler quelques minutes… Tu serais jalouse ?
- Je n’avais pas envisagé de le partager… Mais avant de me marier, pourquoi ne pas le tester…
- Tu penses à quoi ?
- Je vais vous inviter, toi et ton mec, on va faire connaissance vraiment, ma chérie…
- Un quadrille ? Echanger nos amants ?
- Oui, et plus encore, nous dévorer toutes les deux devant eux, les pousser à bout, comme au bureau, mais sans filet cette fois, pour récolter leurs jus, nous faire ensemencer par tous les deux, les goûter, les sucer, avaler leur sperme en récompense !
- Génial, oui ma belle ! J’ai jamais été aussi loin avec 2 hommes… Me laisser caresser par les deux, oui ; en branler un en suçant l’autre, oui ; me planter sur la bite du premier, et masturber l’autre, oui, et le pied, les faire gicler ensemble…
- Et oui, ma chérie, un cran au-dessus maintenant, Paul est bien monté…
- Le mien n’est pas mal non plus… Je jouis à chaque fois… Et après, il aime savourer ma chatte, sucer mon clitoris à m’en faire perdre la tête !
- Et la sodo ?
- Oui… Je ne me suis donnée qu’à lui… Mais pas chaque fois…
- Paul aime me prendre en macho, glisser sa queue dans mon derche et savourer mes cris de hyène… Je n’ai jamais eu mal avec lui… Il est doux et puissant, je le sens jusque dans mes entrailles, et comme une salope, je jouis en me masturbant la nénette !
- Tu es géniale, tout ce que je n’ai pas osé ! Atavisme ancien, coutumes ancestrales, éducation religieuse…
- Fais-le avec Paul, laisse-toi prendre en levrette, et offre lui ton derrière, tu m’en diras des nouvelles…
- Toi aussi, alors… Profite du mien, suce-le à fond, offre-lui ta chatte, laisse-toi sucer, en 69, il adore, puis laisse-le te prendre, il va exploser ta vulve, et jouir en toi… Il ne peut pas se retenir quand il jouit… Je ne l’ai jamais partagé… Je t’aime comme une amie… J’aimerais être là… Te voir jouir de lui, t’entendre…
- Pas de soucis, ma douce… On le fait souvent Paul et moi, en vacances, en camping-car, on échange avec des couples de rencontre… Ou à la maison, avec nos amis, barbecue, soirée raclette, ou piscine partie…
- Dans le même espace ? Je veux dire ensemble, face à face ?
- Oui, ce sont des moments intimes que l’on partage avec nos amis les plus chers, les plus tendres, ceux qu’on connait depuis longtemps… Je me sens libre et cela décuple mes sensations, quand la femme jouit sous Paul, ou que j’orgasme sous son mari… Après on se rejoint toutes les deux, et on se laisse aller… On leur offre un spectacle…
Cela distrait nos mecs, et nous on jouit comme jamais avec une femme…
Parfois, on le fait en pleine nuit, dans le silence de notre couche, et tout y passe…
Deux lesbiennes, bien dans nos corps de femmes libertines !
Quelquefois cela les réveille et les stimulent, et on passe un sale quart d’heure, ils nous prennent ensemble, une récompense, du plaisir haut de gamme !
- Ensemble ? Un par devant et un par derrière ? J’ai jamais fait non plus… Une fois c’était pas loin, mais j’ai refusé que le second me sodomise, je lui ai offert mes seins, il s’est branlé dedans, tandis que l’autre se vidait dans ma culotte, trop pressé le bougre !…
- Tu es impayable, Mariza ! Tu étais mariée ?
- Non, c’était lors d’un réveillon à l’hôtel, on y était allé en bande… J’avais largué Jim déjà et j’avais besoin de sexe… Cette nuit-là, j’ai eu 5 rapports ! Avec 5 hommes… Les deux premiers dans les toilettes, juste une mise en bouche et crac-crac, puis les deux autres dans ma chambre vers 5 heures du mat, ils m’avaient raccompagnée, je les ai remercié sur mon canapé… Ah, j’oubliais un 5ème, avant de monter, il m’a labourée debout, dans les cuisines, dépoitraillée, et arcboutée sur un plan de travail… J’ai joui comme une salope, en orgasmant de tout mon *****, la croupe à l’air !
- Bon, on le fait quand ce quadrille ?
On n’avait pas encore la villa, mais Paul avait un ami Belge, parti aux Antilles pour 1 an…
Maison fabuleuse, calme, piscine, grandes pièces, cheminée, grand salon aux canapés immenses, tout le confort et une chambre à ****** de jalousie, lit 2m x 2m, SPA attenant, parfait pour notre but ultime…
On les met à l’aise, on fait connaissance de son ami, Stef, pas mal, très jovial, et le courant passe entre nous 4…
Je n’ai rien dit à Paul sur nos conversations, ni sur nos buts…
Elle a fait pareil, juste dit qu’on se marrait bien au bureau et qu’en dehors, on riait beaucoup, et que l’on s’était rapprochées depuis quelques temps, on se confiait nos fantasmes…
Après deux apéros, on était en septembre, le temps était encore propice à une baignade…
Paul, mis l’éclairage juste dans l’eau, on passa des maillots… Je restais seins nus…
- Ce n’est pas obligé, mais nous, c’est à poil qu’on se baigne !
Et j’enlevais le bas…
- Alors nous aussi ! La nature, on connait, hein chéri ? Quand tu m’emmenais à Agde dans les dunes…
- Oui, mais là, on n’est pas seuls !
- Mais si, vous êtes seuls, dans l’eau c’est pareil…
- Oh, que c’est bon !
- Oui, allez, courrez… Sautez, attrapez-nous !
Le vin et nous, plus la nouveauté, plus la liberté, plus des images qui viennent se greffer, souvenirs ou fantasmes, et la soirée prend un grand virage…
Stef est venu vers moi directement, en fendant les eaux transparentes, il m’a serrée contre lui puis ses mains se sont permises des caresses hardies, puis intimes…
J’ai senti son membre s’enflammer, je n’avais plus de doutes sur la suite…
Je me suis laissée caresser, embrasser, Mariza profitait déjà de Paul…
Mes doigts ont touché sa bite, je m’en suis saisie quand il a empaumé mes deux seins…
Dure, intense, vivante et vibrante, elle a déclenché mes humeurs de femme, tandis que ses lèvres pinçaient mes tétons, et ses doigts parcouraient mon sillon et débusquaient mes trésors cachés…
Je crevais de désir au bout d’un moment, j’avais la chatte en folie, j’imaginais son dard écarteler doucement mon puis d’amour, le pénétrer, offerte, détrempée… J’ai craqué !
Je me suis accrochée à son cou, cuisses autour de ses hanches, il a compris, m’a soutenue par les fesses, et je me suis pénétrée avec son attribut, qu’elle m’avait vanté…
Le plaisir de le sentir ouvrir mon antre, glisser dans mon vagin, distendre mes chairs, mes tissus, avec ses vas-et-viens lancinants, les papillons libérés, la chaleur dans mon ventre, ses lèvres sur les miennes, un doigt sur mon anus, j’ai explosé un orgasme puissant, mes yeux dans les siens, il m’a calée contre le mur, et m’a tringlée avec frénésie, je me tenais à la margelle, et défaillais de plaisir, en écartant mes cuisses, me donnant à lui…
Fusionnel ! Ce premier contact avec Stef…
De leur côté, Mariza embrochée, arcboutée sur les escaliers, ondulait de la croupe, à moitié hors de l’eau, Paul, debout la possédait avec passion, la portant au nirvana, chose qu’il me faisait très souvent…
Je me mis à la place de ma nouvelle amie et décuplais mon plaisir en le serrant dans mon ventre, pour le préparer à la jouissance suprême !
Nos mains se sont jointes, nos doigts se sont croisés, je me suis donnée à lui, jubilant de plaisir…
Il a joui en moi, j’ai joui de lui, de le sentir exploser dans mon ventre, en ahanant de grands coups de reins…
J’étais dans un état second, épuisée nerveusement, venant de jouir intensément de ce sexe qu’il maintenait en moi…
J’en jouissais, délicieusement… Comme un jouet interdit, je fermais les yeux, il coulissait lentement, encore ferme…
Je le savourais en égoïste, libérant mes dernières humeurs de femme, lui faisant un étui de soie…
Un moment de bien-être, de sexe entre adultes, un pur plaisir… Un orgasme particulier, intense et intime…
En le faisant glisser dans mon vagin, j’avais envie de me sodomiser avec…
Mariza avait eu un orgasme, elle avait poussé des gémissements de femme, des râles de plaisir, et embrassait mon Paul en frottant ses seins contre son torse…
On se regarda enfin, toutes les deux rassasiées pour un temps, heureuses de cette rencontre…
On sortit de l’eau les premières, nues et encore sous le joug de nos amants…
Je me drapais dans un peignoir, puis je servis du champagne, et on passa au plat de résistance, un rôti à ma façon, en habit de fête…
Ils se régalaient, je sentis la main de Mariza sur ma cuisse…
Je les écartais… Elle se plaqua sur ma vulve…
Ils plaisantaient, faisaient connaissance, nous titillaient, nous promettant des heures douces… Un dessert des plus tendres…
Un doigt glissa dans ma vulve et caressa mon clitoris…
Je fis glisser ma culotte en entrant dans la cuisine…
J’étais excitée… Mes tétons pointaient ardemment ma robe d’intérieur…
- On va se refaire une beauté quelques minutes… Prenez le temps, Paul, sers notre ami…
On s’échappa jusque dans la chambre, nos vêtements s’envolèrent, on se mit en 69, je goutais à son jus de femme, elle me faisait jouir, continuant à tourner mon clitoris entre ses doigts… Je feulais, me donnais, la caressais, elle sentait Paul, je me gorgeais de ce jus qui sourdait de son vagin…
On fit l’amour, le tendre, le lesbien, nous frottant avec tendresse, excitant, titillant, puis en ciseau, vulves encastrées, on escaladait les marches du plaisir ensemble…
Sa langue me donna le tournis, je jouissais sans m’arrêter…
Elle s’écartelait sous la mienne, se tordait, je la masturbais avec passion, allant jusqu’à pénétrer son anus, pour la faire jouir…
Elle me rendit ma caresse, fesses écartées, un doigt dans mes entrailles et les autres dans mon vagin, une double pénétration manuelle, irréelle…
Elle savoura à son tour, écartelée, puis en levrette, offerte, savourant mes doigts de fée, qui la portèrent au supplice…
Que de sexe ! Que de passion, de désirs enfouis, lâchés dans cet élan de partage…
On s’embrassait, on se massait, on se léchait…
Je découvris la vraie Mariza, femme, sensible, généreuse, aimante, amante, complice, et on fondit quand ils vinrent nous rejoindre…
Un festival de baise, partout, à 2, à 3, changeant de partenaire, ils nous emmenèrent au 7ème ciel, jusqu’à l’aube, épuisées, couvertes de sperme et de sueur, on s’isola dans la salle de bains, prises de folie sexuelle…
On dormit 3 heures, et on recommença…
Tous les 4 dans ce grand lit, sans aucune retenue, baisant à qui-mieux-mieux, nous offrant des sensations de salopes, engrossées par nos amants dans toutes les positions…
Puis ils essayèrent de la sodomiser à 2…
Elle se laissa conduire, puis explosa de douleur…
Je pris le relais, mais par devant, ils me prirent ensemble, explosant mon vagin avec leurs deux pénis… Je jouis pleinement, elle m’embrassait en se masturbant…
La maison vide résonna de nos frasques, on rangea, nettoya, en repensant à cette soirée hors-norme, un fantasme réalisé pour nous 2, avec Mariza… Nos hommes à la hauteur…
Paul me souriait, heureux et très satisfait de mon choix…
- Je ne pensais pas qu’elle était aussi sensuelle…
- Et lui, si gentil, si tendre, un vrai gentleman, comme toi…
- Tu n’as pas fait semblant alors ?
- Non, toi non plus, elle s’est envolée avec toi…
- Et tu as pu faire l’amour avec elle… Je t’ai observée, vous étiez vraiment naturelles toutes les 2… Elle t’a appréciée…
- Oui, cela va changer nos rapports, mais on va faire attention au bureau… Elle n’avait jamais fait l’amour avec une femme, comme ça, en partageant son amant avec un couple…
On était le premier janvier, repus tous les deux, en promettant de recommencer…
Mariza m’appela le soir…
Elle était vannée, et heureuse d’avoir fait ce deal…
Surtout avec moi…
Elle recommencerait bien le week-end prochain !...
FIN
Marika84 – décembre 2024
5 months ago
