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Léa et les puceaux - 2ème partie.

Léa et les puceaux - 2ème partie.

Récit entièrement fantasmé répondant à un fantasme d’une lectrice et non de l’auteur.
Ce récit est la suite de ce récit https://fr.xhamster.com/posts/10437775 et a été écrit par le pseudo magmeld


Liste des principaux personnages présents :
- Léa 31 ans.
- David puceau de 18 ans.
- Justine 45ans femme de confiance de Maître Emmanuel.

Hier j'ai suivi les consignes de mon maître. Une fois de plus il m'a mise dans des situations impossibles. J'ai toujours l'impression de ne rien maîtriser ; à contrario, lui, il domine sur les situations les plus inconcevable et tel un chat, il arrive toujours à retomber sur ses pattes, à surmonter les conjonctures les plus paradoxales. « Il est trop fort mon Maître » me dis-je souvent, il me surprendra toujours.
Ce matin je suis songeuse, la tête embrumée de cette journée d’hier ; sur mon nuage, comme les lendemains de séance un peu poussée. Ils m’ont fait mal les gamins, une fois de plus, douleur et plaisir se sont mélangés en un délicieux cocktail qui brouilla mes sens.
Le métro … Je me souviens de ce premier contact tendu, ces premiers regards échangés avec ces jeunes ; puis cette vieille qui m'a jugé dès le premier regard. Je voyais des croix de bannissement dans ses yeux ! Elle a dû prier longtemps après avoir quitté la rame tout en rouspétant. Le pire ce fût ces gamins, leur présence inopinée ; étaient-ils complices ? Ou pur fruit du hasard ? Ma tête était en ébullition, j'étais hypnotisée par mon Maître et les textos qu'il m'envoyait. Trop peu d’informations et les données qui arrivaient trop rapidement. Chaque vibration de mon téléphone m'envoyait comme une décharge dans tout le corps en faisant mouiller mon string un peu plus. Etais-ce prévu ? Pure improvisation ? Etais-je en danger ? La présence de mon Maître suffisait à ôter de mon esprit ces doutes.
Plus tard, au pied de ce bel immeuble, mon collier de muse, la laisse et … j'ai eu la larme aux yeux quand Emmanuel l’a remise à David. Geste purement symbolique, mais l'espace d'un instant, j'ai cru qu'il m'abandonnait aux mains de cet étranger ; ce gamin qui semblait si jeune et si inexpérimenté. Comment expliquer cette déchirure ? Mon cœur saignait.
Que dire … mon Maître est l'Essence même de ma vie, c'est un Tout, je lui appartiens, il ne me doit rien, il est l’Alpha et l’Oméga. S'il devait lui arriver malheur ou si pour une quelconque raison nous devions être séparé, ma vie n'aurait plus aucun sens. Il le sait, alors pourquoi me présenter David comme son « fidèle successeur » ? Jamais ce gamin ne lui arrivera à la cheville ! Il ne connait même pas les codes vestimentaires ; sur lui aucun tatouage, pas de bijou particulier, pas de bracelet, de chevalière, aucun Triskel inversé. Comment dire, ça veut jouer au dominant alors que ce n’est qu’un petit branleur qui jute en trente seconde.
J’aime « les vieux » … c’est faux, j’exulte dans les bras de l’expérimenté. Ce n’est pas la taille de sa bite ni les pattes d’oies qui gravissent autour de ses yeux qui renversent mes sens … non, c’est son expérience, sa connaissance, sa façon qu’il a de lire en moi, de tout connaitre du moindre de mes désirs avant même qu’ils se révèlent dans mon esprit. Mon fantasme de petits jeunes, c’est juste une passade, un petit « peps » que je me suis amusé à déclarer à mon Maître. Une folie en quelque sorte. Jamais oh grand jamais il ne pourra lui arriver à la cheville : une évidence.
Je tourne ma cuillère dans ce café pas terrible et ressasse cette belle journée d'hier. Mon Maître m'a fait ce plaisir que de m'offrir à des bites n'ayant jamais servies. Il est un amour, toujours aux petits soins pour sa salope, sa truie, sa vache laitière et qu'en sais-je encore. Quand j'ai accouchée, il m'a traitée de vache à lait tout le temps que j'ai allaitée. Il s'est régalé le salop. Oups … ma pensée s'est égarée. Je n'ose même pas imaginer ce qu'il se passerait si je le traitait de salopard. Une belle punition en perspective je pense ; une dérouillée magistrale … le fouet, de l’anal à sec, douche dorée, des clochards peut-être ou une mise en pâture attachée à un cheval d’Arçon dans un donjon. Là c’est sûr, je risque de ne plus être présentable.
Tiens, ça sonne à la porte. C'est lui peut-être. Un coup d'œil rapide au judas, je ne suis pas vraiment présentable (à poil sous ma robe de chambre), il n'est que 8 heures. Allez, j’ouvre. Une femme, disons 40 ou 45 ans, bien faite de sa personne, élégante et maquillée juste ce qu’il faut. Je ne la connais pas, mais elle m’inspire confiance.
– Bonjour madame, vous êtes Léa ?
– Oui effectivement, vous désirez ?
– J'imagine que vous êtes seule ? David n'est pas encore arrivé ?
– David ?
– … hier, David, avec ses copains ? ça vous dit quelque chose ?

Elle me montre son portable et je vois en gros plan la photo du fameux David qui m’encule, celui d'hier qui m'a prise en laisse à mon arrivée en bas de l'immeuble. Le gnome d’Emmanuel. Putain qu’est-ce qu’il lui prend de vouloir me céder à lui ? !
– Oui je connais mais il n'est pas là, d'ailleurs je ne savais pas qu'il devait venir, il ne connait même pas mon adresse, mais qui êtes-vous exactement ?

À ne rien comprendre. Elle présentait bien, voilà qu'elle me pousse, entre chez moi, ferme la porte avec le verrou, se retourne et me gifle à en tomber par terre.
– Ta gueule salope, ici c'est moi qui pose les questions. Ton maître m'envoie pour préparer le terrain. Hier c'était minable, tu veux vraiment te faire larguer par Emanuel ? !
– …
– Répond grognasse !
– Je … Euh non, je ne vois pas pourquoi...
– Ta gueule, les questions c'est moi qui les pose ! Tu réponds par oui ou par non ! … Capito ? !
– Oui madame.
– Ah ben voilà, ça commence à rentrer !
Je suis assise par terre, la main sur la joue à me frotter et …. cette bonne femme a de la poigne. Une assurance à en revendre et elle sait ce qu'elle veut. Elle me surplombe, lorgnant mes jambes. Dans ma chute, mon peignoir s'est ouvert et elle me scanne comme un mec. Je prends le pan du tissus et fait mine de refermer mon vêtement. Je suis nue dessous et ne souhaite pas être un spectacle.
– Il ne s’emmerde pas le vieux, t'es plutôt bonasse. Fermes pas, ouvre que je vois mieux. Écartes les cuisses salope, il paraît que tu sais y faire.

Je fais signe de me rebiffer, elle me montre qu'elle est prête à me remettre une gifle et une bien lourde. Je baisse les yeux, j'abdique … écartant le peignoir, fléchissant les genoux et ouvrant les cuisses. Cette quadra semble se délecter de la vision de mon intimité. Encore une brouteuse de minous.
– J't'explique. Hier Emmanuel n'a pas aimé la chorégraphie. Tu t'y es prise comme un manche avec eux. Des puceaux, ça se respecte, toi, t'as gâché la marchandise. Alors j'suis venue parfaire ton éducation en mode « grande vitesse ». On n'a pas beaucoup de temps. Je vais te fringuer et te préparer, il va falloir affoler la galerie tout à l'heure.
– Je ne comprends rien.
– T'es qu'un sac à foutre, un urinoir, un trou à bite, une raclure de bidet et t'es bandante à mort. Mais avec les gamins, il faut plus que ça. Moins de technique et plus de spontanéité. Ce qu'il faut surtout, c'est leur éviter de gicler dès la première minute. Ils doivent bander mais pas jouir trop vite sinon c'est terminé. Et pour le petit cadeau de bienvenue dans ce monde pervers, Ton Emmanuel souhaite que ça se fasse à nue.
– À nue ?
– Putain elle est naïve cette nana ! Il l'a trouvé où ? À la messe ? !
– …
– Regardes-moi petite salope. La bite, c'est sans capote avec les puceaux … compris ?
– J'veux pas retomber enceinte.
– T'as déjà eu des marmots ?
– Un, il va bientôt avoir 10 mois.
Elle se lève, m'aide à me relever et me plaque au mur. Je me prends une gifle au passage, puis deux, elle fait tomber mon peignoir au sol et recommence les gifles. Je fais mine de me débattre, de me protéger et ça tombe encore et encore. Tout se passe en silence, c'est surréaliste. Elle relève sa manche et me montre son bracelet … le bracelet d’Emmanuel. Je ne comprends rien mais cesse tout geste de défense. Si elle porte ce bracelet, c’est que mon Maître attend de moi une parfaite coopération.
Elle se penche sur moi, me roule une pelle tout en me pelotant, cherchant mon entrejambe et caressant mon sexe glabre. J'écarte les cuisses et lui rend son baiser. Nos langues se mélangent et des frissons parcourent mon corps. Quelques minutes plus tard, je suis de nouveau allongée au sol, ouverte à toute sorte de plaisir et pleinement consentante. Sa tête entre mes cuisses, les genoux fléchis, mes talons reposant sur son dos, elle me butine : un délice.
Putain qu'elle suce bien ! Je n'ai jamais eu droit à un cunni d'aussi bonne qualité. Je pars et monte haut, très haut. J'ai chaud, mes mains sont dans ses cheveux et je gémi au rythme de sa langue.
Elle se relève et ses doigts remplacent sa langue. Trois dans la chatte à la recherche de mon point G. La nana sait y faire. Nos yeux sont comme électrisés, aimantés les uns aux autres.
Soudain, elle me pince le clito très fort et me gifle de nouveau.
– T'es une rapide toi. Quelques coups de langue, une léchouille bien placée, quelques doigts et t'es prête à jouir ? !
– … je … oui c'était trop bon.
– Je ne t'ai pas demandé ton avis. Je constate, c'est tout. Par contre je ne t'ai pas autorisé à jouir. Emmanuel ne t'a donc rien appris ? …. Allez, lève-toi et montres-moi ta garde-robe.

Un quart d'heure plus tard, elle a fait le tour de mes armoires et ne semble pas apprécier ma lingerie ; pas même les derniers achats.
– Il faibli le vieux ? Il devient sénile ou quoi ?
– …
– Emmanuel … t'as rien d'autre de lui ?
– Euh … si, j'ai une valise mais elle est dans un autre placard. Je la planque, pour mon mari, mais mon Maître ne me la demande quasiment pas. Il sait où elle est et va se servir quand il veut un accessoire.
– Montre-moi salope.
– Là, derrière les vêtements.
– Humm, bien sympathique ça, il n'y a pas que des « accessoires ».
Elle me regarde d'un air très satisfait. Dix minutes plus tard, trônent devant mon lit une paire d'escarpins noirs, des bas auto fixant blanc avec de la dentelle, une mini jupette raz la moule, un blouson taille maxi-haute. Je ne le mets jamais, j'ai toujours froid au nombril quand je le met ; même en été. Clou du spectacle, un tas de lanières informe.
– C'est tout ?
– Ouai chérie, t'auras pas besoin de plus. Bon … petit rappel, as-tu retenue la leçon ? On fait quoi avec un puceau ?
– On joue la comédie. On est une petite fleur fragile qu'ils vont cueillir. On les regarde toujours droit dans les yeux avec de petits yeux apeurés, on les suce mais on fait souvent des pauses, on passe de l'un à l'autre sans arrêt et si par malheur l'un d'eux va gicler, on lui serre les couilles pour pas qu'il crache la purée.
– C'est à peu près ça. Continues …
– S'ils veulent quelque chose de spécial, on dit oui à tout et si on voit qu'ils paniquent, on leur pose des questions avec la réponse dans la question.
– Du genre ?
– Du genre … Tu mates mon cul depuis tout à l'heure, tu veux que je me mette à 4 pattes pour que tu m'encules ?
– Nan.
– …
– Du genre bouges pas, ton copain va m'enculer, mais je ne sais pas s'il veut me la mettre debout ou s'il veut s'allonger, moi je m'empale sur sa queue et après toi tu reviens me la planter dans la chatte.
– Ah ok … d'accord j'ai compris.
– … alors, Mamie Justine, elle est de bon conseils non ?
– Oui madame. Merci beaucoup.
– Allez, va à la douche, je vais t'aider, on a encore un peu de temps.

La salope voulait se faire payer en nature tous ses conseils. Elle a pris la valise et l'a ouverte en grand dans le salon. Moi je suis partie me doucher et me parfumer le corps. Quand elle est revenue à la salle de bain … purée j'ai mangé grave. Elle m'a fait jouir deux fois, puis j'ai dû la sucer, elle m'a pissé dans la bouche, doigtée, fait lécher son trou du cul. Une vraie dépravée cette nana.
Ensuite le défouloir s'est poursuivi sur le lit conjugal. Justine m'a attaché les jambes, genoux fléchis, cuisses écartées. Peu de ficelle, quelques nœuds seulement et je me suis retrouvée saucissonnée à ne plus pouvoir bouger. Une pro du bondage.
C’est après que ça s’est gâté ; j'ai pris peur quand j'ai vu ce qu'elle avait ramené de la valise de mon Maître : une pompe à clitoris.
Justine s'est fait plaisir et m'a fait mal. L'heure tournait et j'ai vu mes tétons doubler de volume et devenir hypersensible au moindre effleurement, quant à mon clito, il avait triplé de volume. Au premier coup de langue, j'étais déjà en transe. Quand elle m'a littéralement bouffé le clito, j'ai hurlé dans le bâillon boule qu'elle m'avait mise. J'ai gueulé comme rarement je ne l'avais fait. Douée la Justine. 45 ans mais un savoir-faire hors pair.
On a été dérangé par la sonnette de l'appartement. J'ai enfilé le peignoir et suis allé ouvrir. J’avais du mal à marcher, ma vulve gonflée me faisait horriblement souffrir avec le frottement de mes cuisses. A la porte, c'était David. A peine entré, il m'a giflé … lui aussi. Une manie décidément cette v******e !
– Justine est là ?
– Oui David.
Une gifle qui m'envoie par terre.
– Oui qui ?
– Oui … monsieur.
J’ai vu son regard se poser sur mes seins atrophiés par la pompe ainsi que sur mon entre-jambe. Le spectacle de mes muqueuses boursoufflées semblait l’amuser.
– C'est mieux. … Elle est là ?
– On prenait une douche.
– Elle t'a tout expliqué ?
– Oui … enfin je pense.
– Vous étiez en train de baiser j'imagine ?
– Je … Euh… mais...

Le regard était mauvais. Il était debout et me toisait, je suis restée de marbre, le sang glacé. Il a regardé sa montre, puis …
– Elle est où la chambre du cocu ?
– Suis-moi.
– Pardon ?
– Suivez-moi … monsieur.

Justine était assise dans un fauteuil, face au lit. Elle semblait nous attendre, persuadée du programme qui m'attendait.
David m'a giflé à nouveau … j'avais osé poser une question. Il m'a baisé en levrette, puis en amazone. Justine s'occupait de mes seins, de ma bouche. J'ai joui 1 fois, puis 2. Mon corps ne m'appartenait plus. David me besognait et Justine s'occupait de mes zones érogènes « oubliées ». Tantôt mes tétons qui pointaient, tantôt ma vulve démesurément gonflée et si sensible. David avait compris et n'y touchait pas, laissant ce soin à la salope de service, mon initiatrice. Il m’a enculé pendant une heure. Les effets de la pompe se sont estompés, tout du moins visuellement.
Vers onze heures, la comtoise du salon a sonné. J'avais encore la bite au cul du mâle dominant et les doigts de la salope dans mon con, la bouche ouverte, cherchant ma respiration et à deux doigts d'une nouvelle jouissance.
Les deux protagonistes se sont regardés … David s'est retiré et Justine a sorti de la valise magique un gode avec un tuyau et une boule. J'ai rapidement compris ce qu'il allait se passer. Le gode gonflable a fini au fond de mon cul, ils m'ont allongé sur le dos sur le lit, jambes relevées et posées sur les épaules de David …. Puis le marteau piqueur s'est remis en mouvement entre mes cuisses, la salope a alors gonflé le gode au maximum puis elle s'est penchée vers moi avec une main sur le clitoris hyper sensible et une autre sur ma poitrine.
Je n'ai pas pu réclamer l'autorisation de jouir … ça a duré une éternité et j'ai failli m'évanouir tellement la sensation était puissante et intense. Les enfoirés savaient ce qu'ils faisaient. J'ai dégusté … dans ma tête c’était Hiroshima.

Après une douche rapide, Justine m'a aidé à mettre ma tenue, et … midi approchait. J’ai suivi David jusqu’à l’appartement du 7e arrondissement. Dans le métro, il s’est assis et m’a ordonné de rester accroché à la barre, debout au milieu de la foule. Le salop s’amusait avec la télécommande du vibro figée dans mon con. Il m’a torturé en montant puis descendant les vitesses et intensité de vibration. A un moment donné, un type BCBG, costume 3 pièce, un nœud papillon et une mallette en main … ce snobinard me regardait droit dans les yeux, et … le niveaux ont été poussés au maximum … j’ai fermé les yeux et j’ai jouie, cramponnée à la barre. En sortant de la rame, il s’est tourné vers David et lui a fait un clin d’œil. Le salop avait tout compris.
C’est donc sous les rotules que je suis arrivée à l’appartement pour une deuxième séance.

À suivre ...
Published by caso29
1 year ago
Comments
12
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davidbeton
to caso29 : :frowning:   Pauvre toutou, il doit être triste de plus voir sa maîtresse Léa !!!
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caso29
to davidbeton : Pour le moment à la niche !!! et la suite en stand by
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davidbeton
...et que devient Tobby ???
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ccandau
to caso29 : normal avec une si bonne soumise
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caso29
to ccandau : En effet et c'est pas fini
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caso29
to 59 : Merci à voir pour le chapitre 3
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caso29
to Leaevasion : Content que la suite te plaise Léa
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Leaevasion
Magnifique j'ai l'impression de le vivre
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une belle suite qui monte en puissance
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ccandau
la suite est belle Léa est gatée
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caso29
to devintaylor : Merci, la partie 3 bientôt j'espère
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devintaylor
Belle prolongation, dans un style différent.
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