Léa et les puceaux
Récit entièrement fantasmé répondant à un fantasme d’une lectrice et non de l’auteur.
Liste des principaux personnages présents :
- Léa 31 ans.
- David puceau de 18 ans.
- Sylvain puceau de 18 ans.
- Raoul puceau de 18ans.
- Monsieur Emmanuel 75 ans, Maitre de Léa depuis 13 ans déjà.
- Justine 45ans femme de ménage de David.
Je m’appelle Léa, j’ai 31 ans, mariée et jeune maman d’un enfant en bas âge. Cela fait 13 ans déjà que je suis la Soumise de Monsieur Emmanuel, il a 44 ans de plus que moi. Je l’ai connu alors que je venais d’avoir tout juste 18 ans lors d’une soirée chez des amis à mes parents. À l’époque il avait 62 ans, une aura et une prestance magnifique. Je suis de suite tombé sous son charme et il a immédiatement repéré que j’étais faîte pour la soumission. Dès le lendemain je lui ai offert ma virginité et mon âme. Il m’a fait basculé dans le monde de la soumission, du BDSM et j’ai connu toutes les expériences que vous pouvez vous imaginer ; il m’a aussi fait découvrir ma bisexualité.
Depuis c’est lui qui dirige ma vie. Vous aurez sans doute du mal à me croire, mais c’est lui qui m’a ordonné d’épouser celui qui est devenue mon mari et l’année dernière il m’a autorisé à avoir un enfant et à tomber enceinte. Mon mari ignore totalement cette relation Maître/Soumise et il ne sait pas bien sûr, que je l’ai épousé sur ordre de quelqu’un d’autre. Je tiens à lui mais je n’en suis pas amoureuse au sens romantique du terme. Pour lui je suis une femme fidèle avec une sexualité des plus classiques, le pauvre cocu s’il savait !!! J’ai de la chance qu’il ait un travail lui demandant d’être souvent absent de la maison, parfois me laissant la semaine seule.
Depuis que j’ai accouché, la relation avec Maître Emmanuel connaît une pause, c’est lui-même qui a pris un peu de distance. Mon enfant fête ses 10 mois et cela fait maintenant 3 mois que je ne l’ai pas vu physiquement et je commence à redouter qu’il cherche à me remplacer. Aussi je fus agréablement surprise quand hier il m’a envoyé ce texto :
- Monsieur Emmanuel : « Bonjour ma petite Chienne, j’ai une surprise pour toi. »
Sentant mon cœur bondir de joie, j’ai de suite répondu que j’étais impatient d’avoir de ces nouvelles et qu’il me manquait et que bien entendu, j’étais ravie d’obéir à ses ordres.
- Monsieur Emmanuel : « Pour une fois, ce ne sera pas un ordre, du moins pas tout à fait, mais j’ai réfléchi au dernier fantasmes dont tu m’avais parlé. »
Alors que je vous raconte, je suis depuis toujours attiré par les hommes âgés, vous avait du vous en rendre compte, mais depuis que j’ai eu un enfant, j’ai la nuit le fantasme de me faire une jeune puceau et qu’il m’utilise comme une vulgaire trainée.
- Léa : « Vous parlez de mon fantasme avec un puceau ? »
- Monsieur Emmanuel : « OUI ! demain rendez-vous 10h à la gare de Métro du Louvre, je t’y attendrais. Viens en habit de Salope, un simple manteau, chemisier transparent, jupe raz des fesses, un Rosebud dans tes fesses et bien sur aucun dessous. Par contre débrouilles toi pour annoncer à ton cocu que tu t’absentes au moins pour 2 jours. »
- Léa : « Mais il est justement absent pour son travail, qui va garder mon bébé ? »
- Monsieur Emmanuel : « Ne commence pas à m’énerver l’inutile, tu te débrouilles avec ton mouflet, ce ne sont pas mes affaires. »
Je sais que quand il m’appelle « l’inutile » il ne vaut mieux pas insister et encore plus le mettre en colère. Ce mot est d’une humiliation extrême pour moi, je lui rétorque alors que je le laisserais chez mes parents prétextant une grosse fatigue et un besoin de me reposer en étant enfin seule.
Le lendemain, me voici à l’heure, fébrile attendant sur le quai de métro et aucune vu de mon Maître, quand je reçois un texto de lui.
- Monsieur Emmanuel « Le prochain qui arrive tu montes dans la dernière rame et un siège t’attends au fond. »
Je l’aperçois debout, majestueux malgré son grand âge, toujours en costume avec sa grande cane dont mon corps a souvent porter la marque. Pas un mot n’est échangé quand il m’indique du regard, un siège vide juste à côté d’une mamie. Par contre face à moi se trouve 2 jeunes gamins, un black de forte corpulence et un blondinet qui discutent bruyamment. Un troisième, brun est debout et les écoute parler. Dès que je m’assois, les 2 jeunes cessent de discuter et me dévisagent intensément. Je ne sais pas si c’est mon Maître qui les a choisis mais je commence à avoir des picotements dans le bas-ventre.
Nouveau texto de mon Maître.
- Monsieur Emmanuel : « Vas-y CHIENNE, écartes les cuisses et montre leur ta chatte imberbe, ensuite tu ouvriras légèrement ton manteau qu’ils voient un de tes nichons. »
Malgré la honte de cette personne âgée juste à côté de moi, j’obéis instantanément, les yeux des gamins sont comme hypnotisés par la vue de mon sexe. Second texto :
- Monsieur Emmanuel : « Commence à ta caresser comme la bonne Truie que tu es. »
Je sais que certains sont choqués de la façon dont mon Maître me parle, mais moi cela m’a toujours excité et encore là il se retient pouvant être bien plus dégradant encore.
Mamie, à côté, commence à s’agiter car elle a du se rendre compte de mon manège, aussi elle se lève précipitamment et m’insulte en sortant à la station de métro suivante, disant que je devrais avoir honte. La place libre, je pense que le jeune brun va s’assoir près de moi mais il reste debout. L’absence soudaine de mamie délie la langue du blondinet et du black qui j’apprendrais plus tard se prénomme Sylvain et Raoul.
- Sylvain : « T’es bonne la MILF ! t’as envie de la bonne queue fraiche ? »
- Raoul : « Que t’es con, c’est juste une grosse allumeuse cette pute ! »
Leur copain que j’appelle dans ma tête « le taiseux » ne prononce toujours aucun mot mais son regard sur moi est le plus intense et insistant des 3. Je vois mon Maître écrire un autre texto quand soudain des contrôleurs de la rame entre faisant taire les 2 vicieux et me faire refermer les cuisses.
- Monsieur Emmanuel « Changement de plan, on sort, tu restes à mes côtés et on va les suivre. »
Une fois dehors, je sens mon Maître passer sa main autour de mon cou. Il m’installe mon collier de Chienne, où le mot SLUT est écrit dessus et avec un mousqueton il accroche la laisse qui laisse pendre négligemment le long de son corps.
Les jeunes sont 5 mètres devant nous et parfois Sylvain et Raoul se retournent en pouffant de rire, seul le silencieux m’ignore ne disant n’y n’exprimant rien. Nous arrivons devant un immeuble hyper classe dans le 7ème arrondissement. Quand le brun ouvre la porte, mon Maître lui tend ma laisse, il baisse les yeux à son regard et pour la première fois j’entends le son de sa voie
- « Moi c’est David, maintenant avance Salope. »
Dans l’ascenseur qui monte jusqu’au 7ème et dernier étage, les 3 jeunes se collent à moi, je devine aisément leurs sexes à travers leur jean et il n’y a pas de doute, ils bandent déjà tous les 3 bien fort.
L’appart est magnifique, un loft avec deux terrasses, l’une donnant sur la Tour Eiffel et l’autre sur le sacré cœur. J’ai du mal à imaginer, que ce brun puisse se payer un tel appart aussi je demande si on n’est pas plutôt chez ses parents et si ceux-ci ne risquent pas de débarquer à l’improviste.
Maitre Emmanuel prend de suite les choses en main en déclarant aux gamins, je vous la confie, faites en ce que vous voulez. Mais là de suite, ils ne font plus preuve d’arrogance ni d’autant d’assurance que dans le métro et ils ont du mal à de décider quand j’entends le blond dire.
- Sylvain : « C’est vrai que vous voulez vous faire des puceaux comme nous Madame ? »
Alors que j’allais lui répondre, Maître Emmanuel hausse la voie.
- Monsieur Emmanuel : « Je t’arrête de suite morveux, ici je ne vois aucune Madame, ce n’est pas une Pute non plus car avec elle c’est gratuit. Tu ne la traites pas avec respect, sinon on s’en va de suite. C’est ma Salope, ma Chienne, insulte là, elle ne vit que pour cela. Avec elle tout est permis et quand je dis TOUT c’est vraiment tout, c’est bien compris ?»
- Sylvain tout penaud : « Oui Monsieur c’est compris. »
- Monsieur Emmanuel : « Une dernière chose, je suppose que puceaux comme vous êtes, vous devez de longue vous branler sur des films culs et que vous avez souvent entendu dire que les films X, ce n’est pas la vraie vie ? »
- Raoul : « Oui, même quand on était au lycée, on nous disait cela en cours d’éducation sexuelle. »
- Monsieur Emmanuel : « Et bien pas ici avec ma Chienne, si vous avez vu un truc qui vous excite, ne demandez pas sa permission ou la mienne, vous l’avez déjà. Je serais juste là pour fixer des limites si vous allez trop loin, mais vu son expérience de soumission, ce ne sera pas le cas. Maintenant baisez moi cette souillure ! »
Sans plus attendre, je les vois quitter leur froc et je me retrouve à 4 pattes avec 3 bites déjà en érection devant mes yeux. Elles sont toutes les 3 différentes, celle de Raoul est la plus longue ne faisant pas mentir la réputation des blacks, celle de Sylvain reste correcte tandis que celle de David est la plus large des 3, celle-ci va bien me déformer la bouche.
Malgré la promesse qu’ils peuvent tout me faire, je sens leur inexpérience à ce moment-là. Vu qu’aucun n’ose prendre d’initiative, je m’approche de la première à ma portée et ouvrant grand la bouche je m’enfonce direct jusqu’à ses couilles velues.
- Sylvain : « Oh Putain ! j’y crois pas les gars, elle m’avale en entier. »
- Raoul : « Normal elle en a vu passer des bites cette MILF, la tienne ne lui fais pas peur. »
En même temps, je me mets à branler fort le sexe des 2 autres jeunes. Sans crier gare, David me balance une énorme claque sur mes seins, me faisant sursauter et en ayant presque mordu la queue de son copain.
- David : « Ne cherches pas à nous faire jouir de suite Connasse en nous branlant fort, on a tout notre temps. »
Je le vois partir et ouvrir un tiroir, il en ressort avec des pinces à seins. À son âge et surtout pour un puceau il est déjà bien équipé en matériel pervers ce p’tit con.
- David : « C’est un cadeau de mon grand-père, j’attendais juste la bonne chienne pour enfin l’étrenner. »
Tandis que j’alterne à sucer ses 2 potes, le petit vicieux commence à mordiller mes tétons et à les étirer un max avec sa bouche. Si c’est sa première fois, il se débrouille pas. Sans ménagement il m’installe ensuite les pinces reliés à une chainette. Il semble avoir pris le contrôle du groupe, il s’installe sur le canapé et m’ordonne :
- David : « Par ici Salope, rampe lentement, vient me gober les couilles et me lécher le cul avant de t’enfourner ma bite dans ta bouche à pipe. Et vous autres les gars, venez aussi à côté de moi qu’elle nous bouffe le cul à tous les 3 ce sac à foutre. »
Je vois le sourire satisfait de Maître Emmanuel aux mots ordurier que prend ce jeune homme. Moi je suis déjà hyper excité et ma chatte est en feu, ce que constate Sylvain en passant sa main dessous.
- Sylvain : « Elle mouille bien la Pute !!!, on va se régaler de la défoncer pendant qu’elle nous suce à tour de rôle. »
Maitre Emmanuel, leur demande s’ils ont fait un test de dépistage comme convenu avant et tous les 3 d’affirmer que oui et que les résultats sont sur la commode d’entrée.
- Monsieur Emmanuel : « Alors oubliez le plastique, vous baiserez ma PUTE à sec. »
- Sylvain : « Génial mais je risque de ne pas pouvoir me retenir, je ne voudrais pas qu’elle tombe enceinte. »
- Monsieur Emmanuel : « T’occupes pas de cela minot, si elle se fait engrosser tu n’en seras rien. »
Je suis au bord des larmes car je me sens toute humiliée, en plus je sais être en pleine ovulation et j’ai peur car ne veut pas retomber enceinte et j’imagine même de suite le pire, si c’était le black qui m’engrossait comment faire passer la chose à mon mari qui s’ignore cocu. Comment je me suis arrêté de lécher le cul de David, celui-ci me biffle le visage avec sa large queue.
- David : « Qui t’a dit d’arrêter Chienne, va bouffer maintenant le cul de Raoul et enfonce bien ta langue de Pute comme tu l’as fait avec dans le mien. »
Raoul et Sylvain s’installes à leur tour sur le canapé, David se relève et en passant derrière moi me balance une paire de claques sur mes fesses me faisant sursauter. Il s’adresse à Maître Emmanuel à voie basse et je n’entends pas leur conversation concentrée à lécher l’anus de ses 2 potes puceaux.
Soudain je sens les lanières d’un martinet effleurait mon dos. Me retournant je reconnais celui de mon Maitre dans les mains de David, c’est celui dont les lanières sont les plus souples. David commence à me cingler les fesses chacune leur tour, alternant gauche et droite avec une bonne dextérité pour un si jeune homme. Plus je me cambre au son du martinet, plus il y met de l’intensité.
- David : « Ton beau cul bien ferme me fait bien bander, espèce de sac à foutre. J’ai toujours rêver pour mon dépucelage de commencer par enculer une bonne Salope comme toi. »
Sans plus attendre, il lâche le martinet après une bonne vingtaine de coups et me crache dans le cul.
- David : « Ton Maître me dit que le gel est interdit, que je ne m’arrête pas tant que je ne suis pas jusqu’aux couilles, même si tu cries. »
En fait, je suis souvent habitué avec mon Maître à avoir le cul pris à sec, mes cris ne sont presque plus des cris de douleur mais des râles de plaisir. Je le sens coulisser en moi, progressivement mais malgré tout lentement, il n’y va pas comme une brute ce qui me surprend positivement. Quand ses couilles tapent au fond des mes entrailles, il m’assène une grosse paire de claque sur p’tit cul en m’ordonnant de bien me cambrer afin que ses 2 potes me baisent la bouche à tour de rôle. Pour un débutant il ne s’y prend pas trop mal mais je sens assez vite qu’il ne vas pas tarder à jouir ce qui me frustre car je commençais à avoir du plaisir par le cul. Il retire son sexe épais de mon cul et m’ordonne de le nettoyer, qu’il va jouir au fond de ma bouche de Salope.
- David : « Je veux te voir jouer avec mon foutre avant de l’avaler, espèce de sac à foutre. »
Malgré qu’il m’ait assez bien enculé, je commence à détester ce jeune. Avoir un tel appart et être apparemment riche, alors qu’il ne doit même pas encore travailler à son jeune âge me rend jalouse de lui. Je lui recracherai bien son foutre sur sa petite gueule d’ange mais je sais que cela mettrait mon Maître dans une rage folle aussi je lui présente mon plus beau sourire de Salope tout en étant bien faux-cul.
- Léa : « Avec plaisir David, j’aime me faire traiter de sac à foutre et avaler de toute façon. Par contre les autres, venaient me baiser la chatte ou le cul. »
C’est Raoul le plus rapide et lui aussi choisit mon anus. Pff ces ados sont tellement prévisibles.
- Raoul : « Mon pote t’a bien élargi le cul pouffiasse avec sa large teub, maintenant goûte à la mienne qui est plus longue. »
Quel ignorant et prétentieux !!! bien sur qu’il a une belle et longue queue mais s’il savait les engins que je me suis prise, il ferait moins le beau mais je joue à fond le jeu de la soumise.
- Léa : « Oh oui mais attention quand même de ne pas me déchirer le cul avec ton gros engin. Et toi Sylvain si tu venais un peu t’occuper de mon minou. »
- Sylvain : « Elle a raison Raoul, attends on va la prendre en double cette pute. »
Me voilà enfin les trois orifices remplis m’amusant avec le sexe de David dans ma bouche. Experte comme je suis, il ne tarde pas à m’envoyer une bonne rasade de foutre sur ma gueule. Satisfait de lui il va rejoindre dans un coin Maître Emmanuel et tous les deux discutent, j’aimerais tellement savoir ce qu’ils se disent à messe basse mais pas de temps à perdre car les 2 ex-puceaux se retirent de moi, pour eux aussi m’asperger de leur foutre.
Je suis frustré car ils ont été rapides mais je me doutais qu’en tant que puceau que cela n’allait pas durer longtemps. Malgré tout ils ont une bonne quantité de jus à me donner et je me régale d’appliquer leurs foutres sur nichons, les masser avec puis tout prendre dans la main et bien sucer mes doigts devant leurs yeux ébahis d’ados réalisant enfin qu’ils ont été dépucelés par une Salope.
De leur côté, Maitre Emmanuel et David ont une discussion qui allait avoir des répercutions sur la vie future de cette belle Salope.
- David : « Merci papy pour ce cadeau de me prêter ta Soumise pour mon dépucelage. »
- Monsieur Emmanuel : « Parles moins fort, elle doit encore ignorer les liens familiaux qui nous unissent, j’espère que tu n’as rien dit à tes potes au moins ? »
- David : « Non, ils me savent que tu es mon grand-père. Quand ils m’ont demandé d’où je te connaissais, je leur ai dit une connaissance de ma mère. »
- Monsieur Emmanuel : « Bon écoutes moi bien, je ne suis pas content de la prestation de cette Chienne, elle vous a fait jouir bien trop vite, pourtant elle sait faire durer le plaisir chez un homme d’habitude. Alors si tu veux que je t’initie à la domination il va falloir me montrer de quoi tu es capable dans l’heure qui vienne, je ne te donnerais aucun conseil mais j’ai besoin de savoir si tu as cela en toi, si je t’ai transmis ce gêne de la perversion. C’est bien compris mon petit ? »
- David : « Oui, je pense y arriver. Je t’ai toujours bien écouté quand tu me parlais d’elle, laisses moi te prouver ce que je vaux. »
- Monsieur Emmanuel : « Si tout se passe bien, demain je ferais intervenir une très bonne amie Justine qui viendra chez elle pour lui faire savoir mon mécontentement, maintenant montres toi digne de moi fiston. »
Je commence à me redresser et à vouloir récupérer mes vêtements qui trainent par terre quand David revient et me lance une gifle sur le visage, pas forte mais suffisamment claquante pour étonner ces potes et me troubler, me demandant pourquoi et ce que j’ai fait pour mériter cela
- Léa : « Pourquoi ? qu’ai-je fait pour mériter cela ? »
- David : « Ta gueule Salope, ici c’est pas toi qui pose les question alors écoutes bien l’inutile, je te soupçonne de nous avoir fait jouir de suite pour te débarrasser de nous. Mais il n’est pas question que tu partes encore, ton Maître me donne encore toute la journée pour abuser de toi. Alors maintenant tu vas me suivre dans la douche et on va te nettoyer un peu, tu pues le foutre connasse et je veux vérifier cette autre surnom que tu as. »
Je sais de quoi il parle et comme une idiote je ne peux m’empêcher de lui demander.
- Léa : « Quel surnom ? »
- David : « Chiotte, urinoir à toi de choisir. »
Je deviens rouge pivoine, j’aimerais m’enfuir de suite. C’est une chose de se faire traiter ainsi par son Maître mais c’est autre chose que ce soit par un jeune, super humiliant d’autant plus que je viens de le dépuceler en lui offrant mon cul en plus.
Ses deux potes ont des yeux qui leur sortent presque des orbites.
- Raoul : « Qu’est-ce que tu veux dire par là Dav ? »
- David : « Elle va rentrer dans la douche et on va lui pisser dessus, elle aime ça, son vioque de Maître me l’a affirmer. »
- Raoul : « Désolé mais moi je ne marche pas, je ne pourrais pas y arriver, désolé. »
- David : « Je ne t’y oblige pas, tu peux regarder ou partir. Et toi Sylvain tu marches. »
- Sylvain : « Ben oui putain d’autant plus que j’ai une de ses envies. »
David me reprends par la laisse, m’oblige à ramper à 4 pattes jusqu’à sa grande douche à l’italienne. On peut facilement y entrer à 4 sans soucis mais Raoul reste sur le devant de la porte tout comme Maître Emmanuel qui a un sourire pervers à me glacer le dos.
Le premier jet chaud arrive de la part de Sylvain qui se contente de m’arroser les seins et le bas-ventre. David le laisse faire et finir. Je sens que lui ne va pas se contenter d’uriner sur moi.
- David : « Ouvres la bouche en grand Salope. »
J’obéis en jetant un regard à Monsieur Emmanuel pour qu’il soit fière de moi à cet instant présent.
- David : « Sylvain, t’es trop con !!! quand on pisse dans un urinoir tu balances tout à côté toi ou bien tu vises le trou ? »
Un liquide puissant et chaud me parvient directement dans la bouche. Comme il y en a beaucoup d’entrée, du liquide coule le long de mon menton. Monsieur Emmanuel secoue la tête sans rien dire et je vois son regard des mauvais jours. David me redonne une gifle.
- David : « Appliques toi et avale ! sinon tu vas goûter au cuir de ma ceinture où à la badiane. »
- Léa : « Oui pardon, je vais faire attention mais pitié pas la badiane, cela laisse des traces et je dois me cacher de mon mari ensuite. »
Finalement j’arrive à tout prendre sans en perdre une goutte et voyant ce spectacle, Raoul s’est remet à bander et rentre dans la douche avec nous. Il attends que j’avale tout et me rentre sa queue au plus profond de ma gorge. Il me pince les narines tout me pissant directement au fond du gosier. Je suis à la limite du vomissement et tape sur sa cuisse pour lui intimer l’ordre de me laisser respirer. Heureusement il en a terminé et je recrache une toute petite dernière giclée. De suite je me protège le visage craignant une autre gifle de David mais celui-ci me souris et me félicite même pour ma performance.
Moi qui pensait que j’aller être rebaiser, voilà que Sylvain et Raoul disent à David qu’ils doivent rentrer. Je me sens inutile car j’ai envie de baise et que je suis loin d’avoir eu mon compte. Toujours dans la salle de bain, Monsieur Emmanuel me lance mes habits, m’ordonne de me rhabiller et de les rejoindre au salon toujours en rampant à 4 pattes.
Quand j’arrive, David tiens dans ses mains une paire de menotte. Je souris pensant à un jeu de soumission mais après en avoir serré une sur mon poignet il m’attache l’autre au radiateur.
- David : « Avec ton Maître, nous allons manger un morceau et on revient sois sage Chienne. »
Je vais pour protester à ce petit con mais le regard qu’il me lance ainsi que le visage de Monsieur Emmanuel me font taire avant que je ne proteste. J’ose de moins dire.
- Léa : « S’il vous plait, j’ai soif et besoin d’aller aux toilettes. »
David ne dit rien, part un moment et reviens avec 2 gamelles. Il les pose à mes pieds.
- David : « Tiens ! l’une contient de l’eau fraiche, tu n’auras qu’à la laper avec ta langue de Chienne. Pour l’autre tu peux uriner dedans comme un bon toutou. T’avais qu’à pisser pendant qu’on était dans la douche. par contre t’as pas intérêt d’en mettre à côté et à dégueulasser le parquet, tu t’en mordras les doigts. »
Mon Dieu, quelle humiliation, je suis étonné que mon Maître ne dit rien, seul lui d’ordinaire me traite ainsi, à la rigueur certains de ses vieux amis pervers mais certainement pas un minot. Et c’est donc avec stupeur que je les vois partir.
2 heures plus tard la porte s’ouvre et ils ont une sourire démoniaque en voyant l’autre gamelle toujours vide.
- David : « C’était pas si urgent finalement. Mais si tu veux que je te détache, pisse devant nous ! »
Honteuse et en larmes je m’exécute en poussant malgré tout un soulagement tellement ma vessie n’en pouvait plus. Une fois terminé, David me détache et m’amène aux pieds de mon Maître car celui-ci a une annonce urgente à me faire. J’ai des frissons pleins le dos, je redoute son discours, je sens que quelque chose ne va pas et je ne veux pas le perdre, il est toute ma vie bien plus encore que mon mari. Il voit que je suis en train de trembler et ce n’est pas de froid.
- Monsieur Emmanuel : « N’ait pas peur ma belle. »
Putain, cela commence mal, il me parle gentiment, ce n’est pas son style, je ferme les yeux et penche la tête vers le sol. Il me la relève et m’ordonne de le regarder ainsi que David.
- Monsieur Emmanuel : « Je te dois toute la vérité. Ici tu es chez un des mes nombreux appart que je possède sur Paris. »
- Léa : « Ah bon ? mais je croyais que c’était celui de ce jeune ? »
- Monsieur Emmanuel : « Oui c’est aussi le sien car je te présente David, mon petit-fils, sa mère est ma seule et aucune enfant. »
Un blanc s’installe, j’encaisse cette nouvelle finalement assez bien sur le coup.
- Monsieur Emmanuel : « Je ne pouvais pas rêver mieux que toi pour son dépucelage. Mais vois-tu je ne serais pas immortel et je me fais vieux. »
- Léa : « Non Maître ne dites pas cela, vous êtes encore performant et vous seul savez me contenter psychiquement. »
- Monsieur Emmanuel : « Laisses moi finir. Je t’ai toujours interdit d’avoir 2 Maitres mais dorénavant je vais te partager avec David et le préparer à ma succession te concernant. Comme tu m’appartiens et que tu as signé un contrat à vie, j’ai le droit de lui léguer ce contrat à ma mort que j’espère venir bien sur le plus tard possible. Mais à partir de maintenant je vais le former pour qu’il devienne un Maître et toi aussi tu vas participer activement à son émancipation. Il ne fait aucun doute à mes yeux qu’il a les capacités physiques, intellectuelles et mentales pour devenir un excellent dominateur. »
Je continue de pleurer en silence car je ne veux pas penser au jour où Monsieur Emmanuel ne sera plus là. Malgré tout, j’accepte mon triste sort en regardant alors David avec un autre regard voyant maintenant ce que j’aurais pu et du deviner si j’y avais fais plus attention. Ils ont clairement des traits physique en commun et je m’imagine ainsi comment a pu être mon Maître jeune.
David veut me rebaiser mais son grand-père lui indique qu’il a des choses à faire et qu’il me fera un autre jour. Je lui sa déception sur son visage moi je souris car c’est un mini revanche, ça lui fait les pieds lui qu’il croyait me posséder dès maintenant. Mais si j’avais su la suite je n’aurais pas eu ce sourire triomphant.
À suivre...
Liste des principaux personnages présents :
- Léa 31 ans.
- David puceau de 18 ans.
- Sylvain puceau de 18 ans.
- Raoul puceau de 18ans.
- Monsieur Emmanuel 75 ans, Maitre de Léa depuis 13 ans déjà.
- Justine 45ans femme de ménage de David.
Je m’appelle Léa, j’ai 31 ans, mariée et jeune maman d’un enfant en bas âge. Cela fait 13 ans déjà que je suis la Soumise de Monsieur Emmanuel, il a 44 ans de plus que moi. Je l’ai connu alors que je venais d’avoir tout juste 18 ans lors d’une soirée chez des amis à mes parents. À l’époque il avait 62 ans, une aura et une prestance magnifique. Je suis de suite tombé sous son charme et il a immédiatement repéré que j’étais faîte pour la soumission. Dès le lendemain je lui ai offert ma virginité et mon âme. Il m’a fait basculé dans le monde de la soumission, du BDSM et j’ai connu toutes les expériences que vous pouvez vous imaginer ; il m’a aussi fait découvrir ma bisexualité.
Depuis c’est lui qui dirige ma vie. Vous aurez sans doute du mal à me croire, mais c’est lui qui m’a ordonné d’épouser celui qui est devenue mon mari et l’année dernière il m’a autorisé à avoir un enfant et à tomber enceinte. Mon mari ignore totalement cette relation Maître/Soumise et il ne sait pas bien sûr, que je l’ai épousé sur ordre de quelqu’un d’autre. Je tiens à lui mais je n’en suis pas amoureuse au sens romantique du terme. Pour lui je suis une femme fidèle avec une sexualité des plus classiques, le pauvre cocu s’il savait !!! J’ai de la chance qu’il ait un travail lui demandant d’être souvent absent de la maison, parfois me laissant la semaine seule.
Depuis que j’ai accouché, la relation avec Maître Emmanuel connaît une pause, c’est lui-même qui a pris un peu de distance. Mon enfant fête ses 10 mois et cela fait maintenant 3 mois que je ne l’ai pas vu physiquement et je commence à redouter qu’il cherche à me remplacer. Aussi je fus agréablement surprise quand hier il m’a envoyé ce texto :
- Monsieur Emmanuel : « Bonjour ma petite Chienne, j’ai une surprise pour toi. »
Sentant mon cœur bondir de joie, j’ai de suite répondu que j’étais impatient d’avoir de ces nouvelles et qu’il me manquait et que bien entendu, j’étais ravie d’obéir à ses ordres.
- Monsieur Emmanuel : « Pour une fois, ce ne sera pas un ordre, du moins pas tout à fait, mais j’ai réfléchi au dernier fantasmes dont tu m’avais parlé. »
Alors que je vous raconte, je suis depuis toujours attiré par les hommes âgés, vous avait du vous en rendre compte, mais depuis que j’ai eu un enfant, j’ai la nuit le fantasme de me faire une jeune puceau et qu’il m’utilise comme une vulgaire trainée.
- Léa : « Vous parlez de mon fantasme avec un puceau ? »
- Monsieur Emmanuel : « OUI ! demain rendez-vous 10h à la gare de Métro du Louvre, je t’y attendrais. Viens en habit de Salope, un simple manteau, chemisier transparent, jupe raz des fesses, un Rosebud dans tes fesses et bien sur aucun dessous. Par contre débrouilles toi pour annoncer à ton cocu que tu t’absentes au moins pour 2 jours. »
- Léa : « Mais il est justement absent pour son travail, qui va garder mon bébé ? »
- Monsieur Emmanuel : « Ne commence pas à m’énerver l’inutile, tu te débrouilles avec ton mouflet, ce ne sont pas mes affaires. »
Je sais que quand il m’appelle « l’inutile » il ne vaut mieux pas insister et encore plus le mettre en colère. Ce mot est d’une humiliation extrême pour moi, je lui rétorque alors que je le laisserais chez mes parents prétextant une grosse fatigue et un besoin de me reposer en étant enfin seule.
Le lendemain, me voici à l’heure, fébrile attendant sur le quai de métro et aucune vu de mon Maître, quand je reçois un texto de lui.
- Monsieur Emmanuel « Le prochain qui arrive tu montes dans la dernière rame et un siège t’attends au fond. »
Je l’aperçois debout, majestueux malgré son grand âge, toujours en costume avec sa grande cane dont mon corps a souvent porter la marque. Pas un mot n’est échangé quand il m’indique du regard, un siège vide juste à côté d’une mamie. Par contre face à moi se trouve 2 jeunes gamins, un black de forte corpulence et un blondinet qui discutent bruyamment. Un troisième, brun est debout et les écoute parler. Dès que je m’assois, les 2 jeunes cessent de discuter et me dévisagent intensément. Je ne sais pas si c’est mon Maître qui les a choisis mais je commence à avoir des picotements dans le bas-ventre.
Nouveau texto de mon Maître.
- Monsieur Emmanuel : « Vas-y CHIENNE, écartes les cuisses et montre leur ta chatte imberbe, ensuite tu ouvriras légèrement ton manteau qu’ils voient un de tes nichons. »
Malgré la honte de cette personne âgée juste à côté de moi, j’obéis instantanément, les yeux des gamins sont comme hypnotisés par la vue de mon sexe. Second texto :
- Monsieur Emmanuel : « Commence à ta caresser comme la bonne Truie que tu es. »
Je sais que certains sont choqués de la façon dont mon Maître me parle, mais moi cela m’a toujours excité et encore là il se retient pouvant être bien plus dégradant encore.
Mamie, à côté, commence à s’agiter car elle a du se rendre compte de mon manège, aussi elle se lève précipitamment et m’insulte en sortant à la station de métro suivante, disant que je devrais avoir honte. La place libre, je pense que le jeune brun va s’assoir près de moi mais il reste debout. L’absence soudaine de mamie délie la langue du blondinet et du black qui j’apprendrais plus tard se prénomme Sylvain et Raoul.
- Sylvain : « T’es bonne la MILF ! t’as envie de la bonne queue fraiche ? »
- Raoul : « Que t’es con, c’est juste une grosse allumeuse cette pute ! »
Leur copain que j’appelle dans ma tête « le taiseux » ne prononce toujours aucun mot mais son regard sur moi est le plus intense et insistant des 3. Je vois mon Maître écrire un autre texto quand soudain des contrôleurs de la rame entre faisant taire les 2 vicieux et me faire refermer les cuisses.
- Monsieur Emmanuel « Changement de plan, on sort, tu restes à mes côtés et on va les suivre. »
Une fois dehors, je sens mon Maître passer sa main autour de mon cou. Il m’installe mon collier de Chienne, où le mot SLUT est écrit dessus et avec un mousqueton il accroche la laisse qui laisse pendre négligemment le long de son corps.
Les jeunes sont 5 mètres devant nous et parfois Sylvain et Raoul se retournent en pouffant de rire, seul le silencieux m’ignore ne disant n’y n’exprimant rien. Nous arrivons devant un immeuble hyper classe dans le 7ème arrondissement. Quand le brun ouvre la porte, mon Maître lui tend ma laisse, il baisse les yeux à son regard et pour la première fois j’entends le son de sa voie
- « Moi c’est David, maintenant avance Salope. »
Dans l’ascenseur qui monte jusqu’au 7ème et dernier étage, les 3 jeunes se collent à moi, je devine aisément leurs sexes à travers leur jean et il n’y a pas de doute, ils bandent déjà tous les 3 bien fort.
L’appart est magnifique, un loft avec deux terrasses, l’une donnant sur la Tour Eiffel et l’autre sur le sacré cœur. J’ai du mal à imaginer, que ce brun puisse se payer un tel appart aussi je demande si on n’est pas plutôt chez ses parents et si ceux-ci ne risquent pas de débarquer à l’improviste.
Maitre Emmanuel prend de suite les choses en main en déclarant aux gamins, je vous la confie, faites en ce que vous voulez. Mais là de suite, ils ne font plus preuve d’arrogance ni d’autant d’assurance que dans le métro et ils ont du mal à de décider quand j’entends le blond dire.
- Sylvain : « C’est vrai que vous voulez vous faire des puceaux comme nous Madame ? »
Alors que j’allais lui répondre, Maître Emmanuel hausse la voie.
- Monsieur Emmanuel : « Je t’arrête de suite morveux, ici je ne vois aucune Madame, ce n’est pas une Pute non plus car avec elle c’est gratuit. Tu ne la traites pas avec respect, sinon on s’en va de suite. C’est ma Salope, ma Chienne, insulte là, elle ne vit que pour cela. Avec elle tout est permis et quand je dis TOUT c’est vraiment tout, c’est bien compris ?»
- Sylvain tout penaud : « Oui Monsieur c’est compris. »
- Monsieur Emmanuel : « Une dernière chose, je suppose que puceaux comme vous êtes, vous devez de longue vous branler sur des films culs et que vous avez souvent entendu dire que les films X, ce n’est pas la vraie vie ? »
- Raoul : « Oui, même quand on était au lycée, on nous disait cela en cours d’éducation sexuelle. »
- Monsieur Emmanuel : « Et bien pas ici avec ma Chienne, si vous avez vu un truc qui vous excite, ne demandez pas sa permission ou la mienne, vous l’avez déjà. Je serais juste là pour fixer des limites si vous allez trop loin, mais vu son expérience de soumission, ce ne sera pas le cas. Maintenant baisez moi cette souillure ! »
Sans plus attendre, je les vois quitter leur froc et je me retrouve à 4 pattes avec 3 bites déjà en érection devant mes yeux. Elles sont toutes les 3 différentes, celle de Raoul est la plus longue ne faisant pas mentir la réputation des blacks, celle de Sylvain reste correcte tandis que celle de David est la plus large des 3, celle-ci va bien me déformer la bouche.
Malgré la promesse qu’ils peuvent tout me faire, je sens leur inexpérience à ce moment-là. Vu qu’aucun n’ose prendre d’initiative, je m’approche de la première à ma portée et ouvrant grand la bouche je m’enfonce direct jusqu’à ses couilles velues.
- Sylvain : « Oh Putain ! j’y crois pas les gars, elle m’avale en entier. »
- Raoul : « Normal elle en a vu passer des bites cette MILF, la tienne ne lui fais pas peur. »
En même temps, je me mets à branler fort le sexe des 2 autres jeunes. Sans crier gare, David me balance une énorme claque sur mes seins, me faisant sursauter et en ayant presque mordu la queue de son copain.
- David : « Ne cherches pas à nous faire jouir de suite Connasse en nous branlant fort, on a tout notre temps. »
Je le vois partir et ouvrir un tiroir, il en ressort avec des pinces à seins. À son âge et surtout pour un puceau il est déjà bien équipé en matériel pervers ce p’tit con.
- David : « C’est un cadeau de mon grand-père, j’attendais juste la bonne chienne pour enfin l’étrenner. »
Tandis que j’alterne à sucer ses 2 potes, le petit vicieux commence à mordiller mes tétons et à les étirer un max avec sa bouche. Si c’est sa première fois, il se débrouille pas. Sans ménagement il m’installe ensuite les pinces reliés à une chainette. Il semble avoir pris le contrôle du groupe, il s’installe sur le canapé et m’ordonne :
- David : « Par ici Salope, rampe lentement, vient me gober les couilles et me lécher le cul avant de t’enfourner ma bite dans ta bouche à pipe. Et vous autres les gars, venez aussi à côté de moi qu’elle nous bouffe le cul à tous les 3 ce sac à foutre. »
Je vois le sourire satisfait de Maître Emmanuel aux mots ordurier que prend ce jeune homme. Moi je suis déjà hyper excité et ma chatte est en feu, ce que constate Sylvain en passant sa main dessous.
- Sylvain : « Elle mouille bien la Pute !!!, on va se régaler de la défoncer pendant qu’elle nous suce à tour de rôle. »
Maitre Emmanuel, leur demande s’ils ont fait un test de dépistage comme convenu avant et tous les 3 d’affirmer que oui et que les résultats sont sur la commode d’entrée.
- Monsieur Emmanuel : « Alors oubliez le plastique, vous baiserez ma PUTE à sec. »
- Sylvain : « Génial mais je risque de ne pas pouvoir me retenir, je ne voudrais pas qu’elle tombe enceinte. »
- Monsieur Emmanuel : « T’occupes pas de cela minot, si elle se fait engrosser tu n’en seras rien. »
Je suis au bord des larmes car je me sens toute humiliée, en plus je sais être en pleine ovulation et j’ai peur car ne veut pas retomber enceinte et j’imagine même de suite le pire, si c’était le black qui m’engrossait comment faire passer la chose à mon mari qui s’ignore cocu. Comment je me suis arrêté de lécher le cul de David, celui-ci me biffle le visage avec sa large queue.
- David : « Qui t’a dit d’arrêter Chienne, va bouffer maintenant le cul de Raoul et enfonce bien ta langue de Pute comme tu l’as fait avec dans le mien. »
Raoul et Sylvain s’installes à leur tour sur le canapé, David se relève et en passant derrière moi me balance une paire de claques sur mes fesses me faisant sursauter. Il s’adresse à Maître Emmanuel à voie basse et je n’entends pas leur conversation concentrée à lécher l’anus de ses 2 potes puceaux.
Soudain je sens les lanières d’un martinet effleurait mon dos. Me retournant je reconnais celui de mon Maitre dans les mains de David, c’est celui dont les lanières sont les plus souples. David commence à me cingler les fesses chacune leur tour, alternant gauche et droite avec une bonne dextérité pour un si jeune homme. Plus je me cambre au son du martinet, plus il y met de l’intensité.
- David : « Ton beau cul bien ferme me fait bien bander, espèce de sac à foutre. J’ai toujours rêver pour mon dépucelage de commencer par enculer une bonne Salope comme toi. »
Sans plus attendre, il lâche le martinet après une bonne vingtaine de coups et me crache dans le cul.
- David : « Ton Maître me dit que le gel est interdit, que je ne m’arrête pas tant que je ne suis pas jusqu’aux couilles, même si tu cries. »
En fait, je suis souvent habitué avec mon Maître à avoir le cul pris à sec, mes cris ne sont presque plus des cris de douleur mais des râles de plaisir. Je le sens coulisser en moi, progressivement mais malgré tout lentement, il n’y va pas comme une brute ce qui me surprend positivement. Quand ses couilles tapent au fond des mes entrailles, il m’assène une grosse paire de claque sur p’tit cul en m’ordonnant de bien me cambrer afin que ses 2 potes me baisent la bouche à tour de rôle. Pour un débutant il ne s’y prend pas trop mal mais je sens assez vite qu’il ne vas pas tarder à jouir ce qui me frustre car je commençais à avoir du plaisir par le cul. Il retire son sexe épais de mon cul et m’ordonne de le nettoyer, qu’il va jouir au fond de ma bouche de Salope.
- David : « Je veux te voir jouer avec mon foutre avant de l’avaler, espèce de sac à foutre. »
Malgré qu’il m’ait assez bien enculé, je commence à détester ce jeune. Avoir un tel appart et être apparemment riche, alors qu’il ne doit même pas encore travailler à son jeune âge me rend jalouse de lui. Je lui recracherai bien son foutre sur sa petite gueule d’ange mais je sais que cela mettrait mon Maître dans une rage folle aussi je lui présente mon plus beau sourire de Salope tout en étant bien faux-cul.
- Léa : « Avec plaisir David, j’aime me faire traiter de sac à foutre et avaler de toute façon. Par contre les autres, venaient me baiser la chatte ou le cul. »
C’est Raoul le plus rapide et lui aussi choisit mon anus. Pff ces ados sont tellement prévisibles.
- Raoul : « Mon pote t’a bien élargi le cul pouffiasse avec sa large teub, maintenant goûte à la mienne qui est plus longue. »
Quel ignorant et prétentieux !!! bien sur qu’il a une belle et longue queue mais s’il savait les engins que je me suis prise, il ferait moins le beau mais je joue à fond le jeu de la soumise.
- Léa : « Oh oui mais attention quand même de ne pas me déchirer le cul avec ton gros engin. Et toi Sylvain si tu venais un peu t’occuper de mon minou. »
- Sylvain : « Elle a raison Raoul, attends on va la prendre en double cette pute. »
Me voilà enfin les trois orifices remplis m’amusant avec le sexe de David dans ma bouche. Experte comme je suis, il ne tarde pas à m’envoyer une bonne rasade de foutre sur ma gueule. Satisfait de lui il va rejoindre dans un coin Maître Emmanuel et tous les deux discutent, j’aimerais tellement savoir ce qu’ils se disent à messe basse mais pas de temps à perdre car les 2 ex-puceaux se retirent de moi, pour eux aussi m’asperger de leur foutre.
Je suis frustré car ils ont été rapides mais je me doutais qu’en tant que puceau que cela n’allait pas durer longtemps. Malgré tout ils ont une bonne quantité de jus à me donner et je me régale d’appliquer leurs foutres sur nichons, les masser avec puis tout prendre dans la main et bien sucer mes doigts devant leurs yeux ébahis d’ados réalisant enfin qu’ils ont été dépucelés par une Salope.
De leur côté, Maitre Emmanuel et David ont une discussion qui allait avoir des répercutions sur la vie future de cette belle Salope.
- David : « Merci papy pour ce cadeau de me prêter ta Soumise pour mon dépucelage. »
- Monsieur Emmanuel : « Parles moins fort, elle doit encore ignorer les liens familiaux qui nous unissent, j’espère que tu n’as rien dit à tes potes au moins ? »
- David : « Non, ils me savent que tu es mon grand-père. Quand ils m’ont demandé d’où je te connaissais, je leur ai dit une connaissance de ma mère. »
- Monsieur Emmanuel : « Bon écoutes moi bien, je ne suis pas content de la prestation de cette Chienne, elle vous a fait jouir bien trop vite, pourtant elle sait faire durer le plaisir chez un homme d’habitude. Alors si tu veux que je t’initie à la domination il va falloir me montrer de quoi tu es capable dans l’heure qui vienne, je ne te donnerais aucun conseil mais j’ai besoin de savoir si tu as cela en toi, si je t’ai transmis ce gêne de la perversion. C’est bien compris mon petit ? »
- David : « Oui, je pense y arriver. Je t’ai toujours bien écouté quand tu me parlais d’elle, laisses moi te prouver ce que je vaux. »
- Monsieur Emmanuel : « Si tout se passe bien, demain je ferais intervenir une très bonne amie Justine qui viendra chez elle pour lui faire savoir mon mécontentement, maintenant montres toi digne de moi fiston. »
Je commence à me redresser et à vouloir récupérer mes vêtements qui trainent par terre quand David revient et me lance une gifle sur le visage, pas forte mais suffisamment claquante pour étonner ces potes et me troubler, me demandant pourquoi et ce que j’ai fait pour mériter cela
- Léa : « Pourquoi ? qu’ai-je fait pour mériter cela ? »
- David : « Ta gueule Salope, ici c’est pas toi qui pose les question alors écoutes bien l’inutile, je te soupçonne de nous avoir fait jouir de suite pour te débarrasser de nous. Mais il n’est pas question que tu partes encore, ton Maître me donne encore toute la journée pour abuser de toi. Alors maintenant tu vas me suivre dans la douche et on va te nettoyer un peu, tu pues le foutre connasse et je veux vérifier cette autre surnom que tu as. »
Je sais de quoi il parle et comme une idiote je ne peux m’empêcher de lui demander.
- Léa : « Quel surnom ? »
- David : « Chiotte, urinoir à toi de choisir. »
Je deviens rouge pivoine, j’aimerais m’enfuir de suite. C’est une chose de se faire traiter ainsi par son Maître mais c’est autre chose que ce soit par un jeune, super humiliant d’autant plus que je viens de le dépuceler en lui offrant mon cul en plus.
Ses deux potes ont des yeux qui leur sortent presque des orbites.
- Raoul : « Qu’est-ce que tu veux dire par là Dav ? »
- David : « Elle va rentrer dans la douche et on va lui pisser dessus, elle aime ça, son vioque de Maître me l’a affirmer. »
- Raoul : « Désolé mais moi je ne marche pas, je ne pourrais pas y arriver, désolé. »
- David : « Je ne t’y oblige pas, tu peux regarder ou partir. Et toi Sylvain tu marches. »
- Sylvain : « Ben oui putain d’autant plus que j’ai une de ses envies. »
David me reprends par la laisse, m’oblige à ramper à 4 pattes jusqu’à sa grande douche à l’italienne. On peut facilement y entrer à 4 sans soucis mais Raoul reste sur le devant de la porte tout comme Maître Emmanuel qui a un sourire pervers à me glacer le dos.
Le premier jet chaud arrive de la part de Sylvain qui se contente de m’arroser les seins et le bas-ventre. David le laisse faire et finir. Je sens que lui ne va pas se contenter d’uriner sur moi.
- David : « Ouvres la bouche en grand Salope. »
J’obéis en jetant un regard à Monsieur Emmanuel pour qu’il soit fière de moi à cet instant présent.
- David : « Sylvain, t’es trop con !!! quand on pisse dans un urinoir tu balances tout à côté toi ou bien tu vises le trou ? »
Un liquide puissant et chaud me parvient directement dans la bouche. Comme il y en a beaucoup d’entrée, du liquide coule le long de mon menton. Monsieur Emmanuel secoue la tête sans rien dire et je vois son regard des mauvais jours. David me redonne une gifle.
- David : « Appliques toi et avale ! sinon tu vas goûter au cuir de ma ceinture où à la badiane. »
- Léa : « Oui pardon, je vais faire attention mais pitié pas la badiane, cela laisse des traces et je dois me cacher de mon mari ensuite. »
Finalement j’arrive à tout prendre sans en perdre une goutte et voyant ce spectacle, Raoul s’est remet à bander et rentre dans la douche avec nous. Il attends que j’avale tout et me rentre sa queue au plus profond de ma gorge. Il me pince les narines tout me pissant directement au fond du gosier. Je suis à la limite du vomissement et tape sur sa cuisse pour lui intimer l’ordre de me laisser respirer. Heureusement il en a terminé et je recrache une toute petite dernière giclée. De suite je me protège le visage craignant une autre gifle de David mais celui-ci me souris et me félicite même pour ma performance.
Moi qui pensait que j’aller être rebaiser, voilà que Sylvain et Raoul disent à David qu’ils doivent rentrer. Je me sens inutile car j’ai envie de baise et que je suis loin d’avoir eu mon compte. Toujours dans la salle de bain, Monsieur Emmanuel me lance mes habits, m’ordonne de me rhabiller et de les rejoindre au salon toujours en rampant à 4 pattes.
Quand j’arrive, David tiens dans ses mains une paire de menotte. Je souris pensant à un jeu de soumission mais après en avoir serré une sur mon poignet il m’attache l’autre au radiateur.
- David : « Avec ton Maître, nous allons manger un morceau et on revient sois sage Chienne. »
Je vais pour protester à ce petit con mais le regard qu’il me lance ainsi que le visage de Monsieur Emmanuel me font taire avant que je ne proteste. J’ose de moins dire.
- Léa : « S’il vous plait, j’ai soif et besoin d’aller aux toilettes. »
David ne dit rien, part un moment et reviens avec 2 gamelles. Il les pose à mes pieds.
- David : « Tiens ! l’une contient de l’eau fraiche, tu n’auras qu’à la laper avec ta langue de Chienne. Pour l’autre tu peux uriner dedans comme un bon toutou. T’avais qu’à pisser pendant qu’on était dans la douche. par contre t’as pas intérêt d’en mettre à côté et à dégueulasser le parquet, tu t’en mordras les doigts. »
Mon Dieu, quelle humiliation, je suis étonné que mon Maître ne dit rien, seul lui d’ordinaire me traite ainsi, à la rigueur certains de ses vieux amis pervers mais certainement pas un minot. Et c’est donc avec stupeur que je les vois partir.
2 heures plus tard la porte s’ouvre et ils ont une sourire démoniaque en voyant l’autre gamelle toujours vide.
- David : « C’était pas si urgent finalement. Mais si tu veux que je te détache, pisse devant nous ! »
Honteuse et en larmes je m’exécute en poussant malgré tout un soulagement tellement ma vessie n’en pouvait plus. Une fois terminé, David me détache et m’amène aux pieds de mon Maître car celui-ci a une annonce urgente à me faire. J’ai des frissons pleins le dos, je redoute son discours, je sens que quelque chose ne va pas et je ne veux pas le perdre, il est toute ma vie bien plus encore que mon mari. Il voit que je suis en train de trembler et ce n’est pas de froid.
- Monsieur Emmanuel : « N’ait pas peur ma belle. »
Putain, cela commence mal, il me parle gentiment, ce n’est pas son style, je ferme les yeux et penche la tête vers le sol. Il me la relève et m’ordonne de le regarder ainsi que David.
- Monsieur Emmanuel : « Je te dois toute la vérité. Ici tu es chez un des mes nombreux appart que je possède sur Paris. »
- Léa : « Ah bon ? mais je croyais que c’était celui de ce jeune ? »
- Monsieur Emmanuel : « Oui c’est aussi le sien car je te présente David, mon petit-fils, sa mère est ma seule et aucune enfant. »
Un blanc s’installe, j’encaisse cette nouvelle finalement assez bien sur le coup.
- Monsieur Emmanuel : « Je ne pouvais pas rêver mieux que toi pour son dépucelage. Mais vois-tu je ne serais pas immortel et je me fais vieux. »
- Léa : « Non Maître ne dites pas cela, vous êtes encore performant et vous seul savez me contenter psychiquement. »
- Monsieur Emmanuel : « Laisses moi finir. Je t’ai toujours interdit d’avoir 2 Maitres mais dorénavant je vais te partager avec David et le préparer à ma succession te concernant. Comme tu m’appartiens et que tu as signé un contrat à vie, j’ai le droit de lui léguer ce contrat à ma mort que j’espère venir bien sur le plus tard possible. Mais à partir de maintenant je vais le former pour qu’il devienne un Maître et toi aussi tu vas participer activement à son émancipation. Il ne fait aucun doute à mes yeux qu’il a les capacités physiques, intellectuelles et mentales pour devenir un excellent dominateur. »
Je continue de pleurer en silence car je ne veux pas penser au jour où Monsieur Emmanuel ne sera plus là. Malgré tout, j’accepte mon triste sort en regardant alors David avec un autre regard voyant maintenant ce que j’aurais pu et du deviner si j’y avais fais plus attention. Ils ont clairement des traits physique en commun et je m’imagine ainsi comment a pu être mon Maître jeune.
David veut me rebaiser mais son grand-père lui indique qu’il a des choses à faire et qu’il me fera un autre jour. Je lui sa déception sur son visage moi je souris car c’est un mini revanche, ça lui fait les pieds lui qu’il croyait me posséder dès maintenant. Mais si j’avais su la suite je n’aurais pas eu ce sourire triomphant.
À suivre...
1 year ago
La suite prochainement j'espère