Léa, les vieux et Tobby (1)
Récit entièrement fantasmé répondant à un fantasme d’une lectrice et non de l’auteur.
Liste des principaux personnages présents :
- Moi Jean-Guy, dit Papy Jean 81 ans, grand père de Léa.
- Léa 26 ans.
- Michel 73 ans voisin de Jean-Guy.
- Bernard 79 ans ami de Jean-Guy.
- et Tobby fidèle compagnie de Jean-Guy.
Bonjour je me présente, Jean-Guy, 81 ans retraité, ancien menuisier, veuf depuis une dizaine d’année. L’histoire que je vais vous narrer, n’est pas à mettre entre toutes les mains. Je vais vous parler de ma petite fille, Léa 26 ans. Celle-ci est ce qu’on appelle couramment une nympho, une Salope n’ayant aucune limite. Longtemps je l’ai imaginé comme une femme sage mais en fait c’est une traînée au-delà de votre imagination.
Vu mon âge et mon veuvage, vous vous doutez bien que ma vie sexuelle est morne plaine, quelques vidéos sur Internet le soir pour ranimer un peu la machine. Depuis quelques temps je suis de plus en plus attiré par les vidéos SM en voyant de jeune femme en proie à des hommes vicieux.
Ne voulant plus rester chez moi dans le Nord-Ouest, je vis dans un petit village dans les Cévennes gardoise depuis à peine 3 mois. Calme, tranquillité et soleil, je me sens rajeunir. Je me suis immédiatement fait deux camarades, Bernard un ancien Maître d’école et Michel mon plus proche voisin qui est agriculteur. Je vous reparlerais d’eux bientôt.
Je fus surpris quand 2 mois à peine après mon départ, Léa m’a indiqué qu’elle venait me rejoindre dans le Sud, ayant demandé une mutation auprès de la compagnie d’assurance pour laquelle elle bosse. Je vous la cite :
- Léa : « Mon cher papy, je ne compte pas te laisser aussi seul, qui va te préparer de bons p’tits plat maintenant ? »
Elle s’est trouvé un petit appart dans la plus proche ville à environ 20 minutes de chez moi. J’ai toujours été très proche d’elle, j’ai 2 autres petits-enfants mais ce sont des garçons et ils donnent rarement de leur nouvelle. Maintenant, il ne se passe pas 2 jours sans qu’elle passe me voir et même en mon absence, elle vient pour entretenir un peu la maison, arroser les plantes, me cuisiner de bons petits plats que nous partageons souvent ensemble le midi. Elle possède bien sur un double des clés de ma maison.
Léa est belle comme un cœur, yeux et cheveux châtain. Niveau sentimental elle n’a toujours pas rencontré un homme avec qui se mettre ne ménage. Souvent à table je lui demande si elle a un chéri mais elle me répond qu’elle se contacte de quelques aventures avec des copains mais qu’elle n’aime pas particulièrement les gens de son âge préférant des hommes murs. Si j’avais su qu’en parlant d’hommes murs elle voulait surtout dire des vieux, j’aurais mieux compris ce qui allait suivre.
J’ai aussi un fidèle compagnon Tobby, un rottweiler qui depuis quelques temps à un comportement étrange dès que Léa arrive à la maison, c’en est tellement gênant que je suis obligé de l’attacher à son arrivée. Pour rigoler un jour Michel le voisin m’a dit qu’il veut sauter ma p’tite fille, je lui ai souffler dans les bronches lui ordonnant d’arrêter de suite ses odieuses et perverses pensées.
Voici maintenant l’histoire du jour où tout a basculé…
Vendredi 3 Juin 2022 :
Cela fait maintenant plusieurs jours voir semaine que Léa vient non-stop à la maison, elle doit même passer plus de temps chez moi que dans son appart. Du coup maintenant pour lui éviter des trajets, j’ai aménagé une seconde chambre pour qu’elle puisse rester ici le weekend. Ce vendredi matin je reçois ce texto de sa part
Léa : « Bonjour papy, je vais venir vers 14h, j’ai pris mon après-midi, j’avais des heures en récup. »
Je lui réponds que je ne serais pas là car avec Michel et Bernard on doit participer à un concours de pétanque.
Léa « Pas de souci, je me prélasserais au Soleil en bouquinant. »
Moi : « Attaches Tobby s’il est trop pénible. »
Léa : « Oui ne t’inquiètes pas, il ne me fera aucun mal. »
Point de vue de Léa.
Mon papy Jean ne se doute de rien. Je savais qu’il avait un concours de pétanque et que donc je serais enfin seule chez lui. Il faut que je vous raconte un peu ma particularité, je suis une véritable perverse, j’ai une relation hyper sale et tabou avec Tobby le rottweiler de mon papy. Cela remonte 1 semaine avant leur départ dans le Sud. À cette époque j’avais une relation avec un homme mûr sévère d’une cinquantaine d’année que j’appelais « Maître David », faut dire que j’adore aussi tout ce qui est SM. Celui-ci a de suite deviné ce que je refoulais sans arrêt en moi, c’est-à-dire mon désir d’être une véritable Chienne. Il m’a montré 2-3 vidéos avec des femmes perverses baisant leur proche chien et j’ai de suite eu un orgasme fulgurant en me masturbant violemment. Il m’a alors dit que j’étais un PAC refoulé. Ne sachant pas ce que voulait dire PAC, il m’a dit que cela voulait dire vulgairement « Pute A Chien » et que je devais laisser libre cours à mon envie. J’ai hésité quelques jours juste ce que je craque et je suis allé voir Papy Jean, je lui ai proposé de prendre Tobby avec moi pendant que j’allais promener longuement à la campagne faisant un peu de marche active. Quand je fus sure d’être seule dans les sous-bois, je commençais à caresser le flan de Tobby d’une main, tout en quittant mon short. N’ayant pas mise de culotte, je me suis très vite caressé le bouton, j’avais déjà la chatte trempée pendant le parcours en imaginant ce que j’allais faire. Au départ Tobby n’a eu aucune réaction particulière mais au bout de 2-3 minutes où je commençais à haletais bruyamment, son museau s’est approché de mes lèvres vaginales qui suintaient abondamment. Sa langue est venue faire une léchouille puis il s’est redressé mais rapidement il est revenue à la charge, mon odeur de femelle en chaleur devait lui plaire. Je ne fus pas longue à jouir à ses coups de langue et même après mon premier orgasme je suis resté ainsi à me faire lécher pendant une bonne dizaine de minutes. Je pense lui avoir presque pisser au museau à la fin tellement j’étais hors de contrôle. Ce qui l’a d’ailleurs fait fuir. Ayant retrouvé un peu de clairvoyance je me suis vite rhabillé et on est rentré mais Tobby avait de longue sa truffe au niveau de mon cul. Je voyais bien qu’il essayait de grimper sur moi, mais je n’étais pas encore prête à aller jusque-là. On a remis cela tous les jours, c’était sa sortie « promenade », mon papy ne se doutait bien entendu de rien.
Au moment où je pensais être prête à me faire saillir par lui, Papy Jean m’a annoncé son départ pour le Gard. Ce fût soudain, je pensais que je m’en remettrais facilement mais au bout de 3 jours, autant mon Papy que Tobby me manquaient énormément, alors sur un coup de tête et avec les conseils de Maître David qui fût très compréhensif qu’on mette un terme à notre relation, j’ai demandé ma mutation dans le Sud.
Depuis que j’ai aménagé, je n’ai jamais eu l’occasion d’être seule avec Tobby. Chaque fois qu’il me voyait, il me sautait dessus, Papy Jean ne comprenant pas sa réaction, il l’a à chaque fois attaché et rentré dans sa niche, j’en avais presque la boule au ventre, le sentant si proche et désirant me faire du bien. Mais aujourd’hui je vais enfin comblé ce désir et je compte même franchir le pas et me faire saillir comme une vulgaire Chienne.
Sachant que Papy Jean et ses 2 amis allaient à un concours de pétanque et connaissant leur niveau, je me doute qu’ils vont rentrer tard, j’ai donc toute l’aprèm pour me livrer à ma honteuse envie. Toute la matinée j’ai eu du mal à me concentrer au travail, ma culotte est déjà toute humide, c’est parfait pour que Tobby retrouve l’odeur de sa chienne adorée. En arrivant dans le jardin, je constate que Papy Jean l’a rentré dans sa niche, me voyant il pousse de puissant aboiement, sautant déjà partout dans sa niche. Avant d’aller le détacher, je rentre mes affaires dans la chambre que m’a aménagé mon grand-père. Ayant une envie tordu, je sors de ma valise, le collier de soumise que m’avait offert mon ex Maître David avec le mot SLUT inscrit dessus, puis j’y attache une laisse, me sentant immédiatement devenir une bonne femelle. Je quitte ma jupe et sors avec juste un t-shirt moulant mes seins, sans soutif et avec ma culotte odorante. Dans la remise, je sors un transat avec une grande serviette de bain et le positionne pour être face au soleil. Puis je vais délivrer Tobby, il saute tellement que j’ai peur qu’il me fasse mal et me renverse avec son poids, mais j’arrive plus ou moins à le calmer, avant d’aller m’allonger dans le transat.
Dans la seconde qui suit son museau vient se coller à ma culotte, lui aussi il est comme moi en manque de sa femelle. Très rapidement ma culotte a volé en l’air et il m’a procuré orgasme sur orgasme avec sa langue. Comme il tente de me monter dessus, je vois que lui aussi veut me pénétrer, mais j’ai trop peur de me faire surprendre dans le jardin, déjà que j’ai des frayeurs quand j’entend une voiture au loin. Aussi je me relève et malgré ses multiples sauts arrive difficilement à le maitriser avec la laisse et nous nous dirigeons dans la maison. Je me dirige en direction de ma chambre mais dans un dernier saut, Tobby me fait tomber en chemin dans le salon. En voulant me relever, je me retrouve à 4 pattes et comme je suis nue, il est très vite sur mon dos, tentant maladroitement de me pénétrer. J’essaye de me relever mais son poids m’en empêche, à bout de force, je me dis qu’après tout pourquoi pas se faire prendre à même le parquet du salon. Voyant qu’il gigote tellement, j’arrive à prendre son gland et à le positionner à l’entrée de ma chatte gluante. Putain qu’il est gros, il y en comme une énorme boule juste après le gland qui lui est moins gros qu’un gland humain, il m’arrache un cri de douleur mais hors de question de changer d’avis, j’ai envie de le sentir en moi. Il s’active un peu maladroitement et il me lâche une énorme quantité de foutre à l’intérieur de mon vagin mais à ma surprise il reste encore un moment emprisonné en moi. Toute prise à mon plaisir, je n’ai pas entendu une voiture se garer dans l’allée et la porte de la maison s’ouvrir quand soudain j’entends la voie horrifiée de Papy Jean
- Papy Jean : « PUTAIN !!! mais c’est quoi ce bordel !!!??? »
Il est à peine 16h30 que nous revenons penaud de notre tournoi de pétanque. Bernard, Michel et moi avons joué comme des manches. Nous qui allons souvent au minimum en demi-finale on revient dégouté et assez énervé de notre performance. Dans le jardin, je constate que Tobby n’est pas dans sa cage, c’est signe qu’enfin il s’est calmé vis-à-vis de Léa sinon celle-ci l’aurait laissé dedans. Bernard est rentré directement chez moi mais je propose à Michel mon voisin de venir prendre un verre. Comme je suis un peu dur d’oreille, je n’entends pas des bruits étranges provenant du salon mais je vois Michel avec un drôle de sourire pervers.
- Moi : « Pourquoi tu souris ainsi, c’est nos deux parties de pétanque perdu qui te mettent en joie ? »
- Michel : « Mais non couillon, t’entends pas des bruits particulier ? »
- Moi : « Non pourquoi ? »
- Michel : « Et bien j’ai comme l’impression qu’il y a une coquine qui ne s’ennuie pas à l’intérieur et tu risques d’avoir une syncope. »
- Moi : « Pfff idiot, il n’y a que Léa dedans et jamais elle n’amènerait un homme sans ma permission. »
- Michel : « Qui te parle d’homme, rentre tu verras bien, je connais ce genre de bruit, mais je t’aurais prévenu, attention à ton cœur. »
Pensant qu’il se fout de moi, je rentre sans réfléchir n’osant pas imaginer l’acte odieux que je découvre dans le salon. Léa à 4 pattes en train de se faire saillir par Tobby. Je pousse un hurlement d’horreur.
- Moi : « PUTAIN !!! mais c’est quoi ce bordel !!!??? »
Horrifié je ne bouge pas, Léa pousse elle aussi un hurlement et tente de se défaire du sexe de Tobby qui est en elle, mais à cause de la panique, elle n’y arrive pas au contraire, Tobby s’accroche encore plus à elle. Toujours pétrifié, c’est Michel qui prend les choses en main en lui parlant d’un ton sévère et vulgaire.
- Michel : « Alors petite Salope, t’es vraiment qu’une grosse traînée. Débarrasses toi de ce vicieux de clébard ! »
- Léa : « Je ne peux pas, je suis bloqué. Son nœud est encore trop gros pour sortir malgré sa jouissance. »
Éberlué je reviens un peu à moi, prends la laisse de Tobby qui est suspendue à la porte d’entrée. Tant bien que mal j’arrive à défaire mon chien des fesses de Léa. Celle-ci s’écroule sur le sol du salon et une marre mélangé de foutre et de cyprine s’écoule de sa chatte béante. D’un coup, une énorme érection s’empare de moi, mais honteux je me retourne pour que personne s’en aperçoive et amène Tobby dehors dans sa niche.
Une fois revenue au salon, Michel a tendu une serpillère à Léa qui essuies les traces laissées sur le sol. Il nous laisse seul et rentre chez lui pour que je règle cela en famille. Furieux j’insulte ma p’tite fille comme jamais je ne m’aurais cru permit lui parler un jour. Pour finir je lui intime de prendre la porte.
- Moi : « Tu n’es qu’une sale dépravée, hors de ma vue, je ne veux plus jamais te voir. Rassemble tes affaires et quitte définitivement ma maison. »
Ses pleurs intenses ne m’amadoue pas, elle a juste le temps d’enfiler un vêtement décent que je la fous dehors un coup de pieds aux fesses, jetant son sac de voyage par la porte, elle atterrit le nez dans le gazon, incapable de se relever vu ses larmes incessantes. Dehors il s’est mis à pleuvoir à torrent, je remarque que Michel est devant le portail et qu’il ramasse le sac de Léa, me regardant il me dit :
- Michel : « Jean je m’en occupe, vu son état physique et émotionnel, il ne faut mieux pas qu’elle prenne la route avec cet orage violent. »
- Moi : « Rien à foutre !!! »
En colère je claque la porte et des larmes me montent aux yeux. J’éprouve de la trahison mais aussi de la honte car de voir le corps nue de Léa m’a procuré un plaisir inavouable.
à suivre...
Liste des principaux personnages présents :
- Moi Jean-Guy, dit Papy Jean 81 ans, grand père de Léa.
- Léa 26 ans.
- Michel 73 ans voisin de Jean-Guy.
- Bernard 79 ans ami de Jean-Guy.
- et Tobby fidèle compagnie de Jean-Guy.
Bonjour je me présente, Jean-Guy, 81 ans retraité, ancien menuisier, veuf depuis une dizaine d’année. L’histoire que je vais vous narrer, n’est pas à mettre entre toutes les mains. Je vais vous parler de ma petite fille, Léa 26 ans. Celle-ci est ce qu’on appelle couramment une nympho, une Salope n’ayant aucune limite. Longtemps je l’ai imaginé comme une femme sage mais en fait c’est une traînée au-delà de votre imagination.
Vu mon âge et mon veuvage, vous vous doutez bien que ma vie sexuelle est morne plaine, quelques vidéos sur Internet le soir pour ranimer un peu la machine. Depuis quelques temps je suis de plus en plus attiré par les vidéos SM en voyant de jeune femme en proie à des hommes vicieux.
Ne voulant plus rester chez moi dans le Nord-Ouest, je vis dans un petit village dans les Cévennes gardoise depuis à peine 3 mois. Calme, tranquillité et soleil, je me sens rajeunir. Je me suis immédiatement fait deux camarades, Bernard un ancien Maître d’école et Michel mon plus proche voisin qui est agriculteur. Je vous reparlerais d’eux bientôt.
Je fus surpris quand 2 mois à peine après mon départ, Léa m’a indiqué qu’elle venait me rejoindre dans le Sud, ayant demandé une mutation auprès de la compagnie d’assurance pour laquelle elle bosse. Je vous la cite :
- Léa : « Mon cher papy, je ne compte pas te laisser aussi seul, qui va te préparer de bons p’tits plat maintenant ? »
Elle s’est trouvé un petit appart dans la plus proche ville à environ 20 minutes de chez moi. J’ai toujours été très proche d’elle, j’ai 2 autres petits-enfants mais ce sont des garçons et ils donnent rarement de leur nouvelle. Maintenant, il ne se passe pas 2 jours sans qu’elle passe me voir et même en mon absence, elle vient pour entretenir un peu la maison, arroser les plantes, me cuisiner de bons petits plats que nous partageons souvent ensemble le midi. Elle possède bien sur un double des clés de ma maison.
Léa est belle comme un cœur, yeux et cheveux châtain. Niveau sentimental elle n’a toujours pas rencontré un homme avec qui se mettre ne ménage. Souvent à table je lui demande si elle a un chéri mais elle me répond qu’elle se contacte de quelques aventures avec des copains mais qu’elle n’aime pas particulièrement les gens de son âge préférant des hommes murs. Si j’avais su qu’en parlant d’hommes murs elle voulait surtout dire des vieux, j’aurais mieux compris ce qui allait suivre.
J’ai aussi un fidèle compagnon Tobby, un rottweiler qui depuis quelques temps à un comportement étrange dès que Léa arrive à la maison, c’en est tellement gênant que je suis obligé de l’attacher à son arrivée. Pour rigoler un jour Michel le voisin m’a dit qu’il veut sauter ma p’tite fille, je lui ai souffler dans les bronches lui ordonnant d’arrêter de suite ses odieuses et perverses pensées.
Voici maintenant l’histoire du jour où tout a basculé…
Vendredi 3 Juin 2022 :
Cela fait maintenant plusieurs jours voir semaine que Léa vient non-stop à la maison, elle doit même passer plus de temps chez moi que dans son appart. Du coup maintenant pour lui éviter des trajets, j’ai aménagé une seconde chambre pour qu’elle puisse rester ici le weekend. Ce vendredi matin je reçois ce texto de sa part
Léa : « Bonjour papy, je vais venir vers 14h, j’ai pris mon après-midi, j’avais des heures en récup. »
Je lui réponds que je ne serais pas là car avec Michel et Bernard on doit participer à un concours de pétanque.
Léa « Pas de souci, je me prélasserais au Soleil en bouquinant. »
Moi : « Attaches Tobby s’il est trop pénible. »
Léa : « Oui ne t’inquiètes pas, il ne me fera aucun mal. »
Point de vue de Léa.
Mon papy Jean ne se doute de rien. Je savais qu’il avait un concours de pétanque et que donc je serais enfin seule chez lui. Il faut que je vous raconte un peu ma particularité, je suis une véritable perverse, j’ai une relation hyper sale et tabou avec Tobby le rottweiler de mon papy. Cela remonte 1 semaine avant leur départ dans le Sud. À cette époque j’avais une relation avec un homme mûr sévère d’une cinquantaine d’année que j’appelais « Maître David », faut dire que j’adore aussi tout ce qui est SM. Celui-ci a de suite deviné ce que je refoulais sans arrêt en moi, c’est-à-dire mon désir d’être une véritable Chienne. Il m’a montré 2-3 vidéos avec des femmes perverses baisant leur proche chien et j’ai de suite eu un orgasme fulgurant en me masturbant violemment. Il m’a alors dit que j’étais un PAC refoulé. Ne sachant pas ce que voulait dire PAC, il m’a dit que cela voulait dire vulgairement « Pute A Chien » et que je devais laisser libre cours à mon envie. J’ai hésité quelques jours juste ce que je craque et je suis allé voir Papy Jean, je lui ai proposé de prendre Tobby avec moi pendant que j’allais promener longuement à la campagne faisant un peu de marche active. Quand je fus sure d’être seule dans les sous-bois, je commençais à caresser le flan de Tobby d’une main, tout en quittant mon short. N’ayant pas mise de culotte, je me suis très vite caressé le bouton, j’avais déjà la chatte trempée pendant le parcours en imaginant ce que j’allais faire. Au départ Tobby n’a eu aucune réaction particulière mais au bout de 2-3 minutes où je commençais à haletais bruyamment, son museau s’est approché de mes lèvres vaginales qui suintaient abondamment. Sa langue est venue faire une léchouille puis il s’est redressé mais rapidement il est revenue à la charge, mon odeur de femelle en chaleur devait lui plaire. Je ne fus pas longue à jouir à ses coups de langue et même après mon premier orgasme je suis resté ainsi à me faire lécher pendant une bonne dizaine de minutes. Je pense lui avoir presque pisser au museau à la fin tellement j’étais hors de contrôle. Ce qui l’a d’ailleurs fait fuir. Ayant retrouvé un peu de clairvoyance je me suis vite rhabillé et on est rentré mais Tobby avait de longue sa truffe au niveau de mon cul. Je voyais bien qu’il essayait de grimper sur moi, mais je n’étais pas encore prête à aller jusque-là. On a remis cela tous les jours, c’était sa sortie « promenade », mon papy ne se doutait bien entendu de rien.
Au moment où je pensais être prête à me faire saillir par lui, Papy Jean m’a annoncé son départ pour le Gard. Ce fût soudain, je pensais que je m’en remettrais facilement mais au bout de 3 jours, autant mon Papy que Tobby me manquaient énormément, alors sur un coup de tête et avec les conseils de Maître David qui fût très compréhensif qu’on mette un terme à notre relation, j’ai demandé ma mutation dans le Sud.
Depuis que j’ai aménagé, je n’ai jamais eu l’occasion d’être seule avec Tobby. Chaque fois qu’il me voyait, il me sautait dessus, Papy Jean ne comprenant pas sa réaction, il l’a à chaque fois attaché et rentré dans sa niche, j’en avais presque la boule au ventre, le sentant si proche et désirant me faire du bien. Mais aujourd’hui je vais enfin comblé ce désir et je compte même franchir le pas et me faire saillir comme une vulgaire Chienne.
Sachant que Papy Jean et ses 2 amis allaient à un concours de pétanque et connaissant leur niveau, je me doute qu’ils vont rentrer tard, j’ai donc toute l’aprèm pour me livrer à ma honteuse envie. Toute la matinée j’ai eu du mal à me concentrer au travail, ma culotte est déjà toute humide, c’est parfait pour que Tobby retrouve l’odeur de sa chienne adorée. En arrivant dans le jardin, je constate que Papy Jean l’a rentré dans sa niche, me voyant il pousse de puissant aboiement, sautant déjà partout dans sa niche. Avant d’aller le détacher, je rentre mes affaires dans la chambre que m’a aménagé mon grand-père. Ayant une envie tordu, je sors de ma valise, le collier de soumise que m’avait offert mon ex Maître David avec le mot SLUT inscrit dessus, puis j’y attache une laisse, me sentant immédiatement devenir une bonne femelle. Je quitte ma jupe et sors avec juste un t-shirt moulant mes seins, sans soutif et avec ma culotte odorante. Dans la remise, je sors un transat avec une grande serviette de bain et le positionne pour être face au soleil. Puis je vais délivrer Tobby, il saute tellement que j’ai peur qu’il me fasse mal et me renverse avec son poids, mais j’arrive plus ou moins à le calmer, avant d’aller m’allonger dans le transat.
Dans la seconde qui suit son museau vient se coller à ma culotte, lui aussi il est comme moi en manque de sa femelle. Très rapidement ma culotte a volé en l’air et il m’a procuré orgasme sur orgasme avec sa langue. Comme il tente de me monter dessus, je vois que lui aussi veut me pénétrer, mais j’ai trop peur de me faire surprendre dans le jardin, déjà que j’ai des frayeurs quand j’entend une voiture au loin. Aussi je me relève et malgré ses multiples sauts arrive difficilement à le maitriser avec la laisse et nous nous dirigeons dans la maison. Je me dirige en direction de ma chambre mais dans un dernier saut, Tobby me fait tomber en chemin dans le salon. En voulant me relever, je me retrouve à 4 pattes et comme je suis nue, il est très vite sur mon dos, tentant maladroitement de me pénétrer. J’essaye de me relever mais son poids m’en empêche, à bout de force, je me dis qu’après tout pourquoi pas se faire prendre à même le parquet du salon. Voyant qu’il gigote tellement, j’arrive à prendre son gland et à le positionner à l’entrée de ma chatte gluante. Putain qu’il est gros, il y en comme une énorme boule juste après le gland qui lui est moins gros qu’un gland humain, il m’arrache un cri de douleur mais hors de question de changer d’avis, j’ai envie de le sentir en moi. Il s’active un peu maladroitement et il me lâche une énorme quantité de foutre à l’intérieur de mon vagin mais à ma surprise il reste encore un moment emprisonné en moi. Toute prise à mon plaisir, je n’ai pas entendu une voiture se garer dans l’allée et la porte de la maison s’ouvrir quand soudain j’entends la voie horrifiée de Papy Jean
- Papy Jean : « PUTAIN !!! mais c’est quoi ce bordel !!!??? »
Il est à peine 16h30 que nous revenons penaud de notre tournoi de pétanque. Bernard, Michel et moi avons joué comme des manches. Nous qui allons souvent au minimum en demi-finale on revient dégouté et assez énervé de notre performance. Dans le jardin, je constate que Tobby n’est pas dans sa cage, c’est signe qu’enfin il s’est calmé vis-à-vis de Léa sinon celle-ci l’aurait laissé dedans. Bernard est rentré directement chez moi mais je propose à Michel mon voisin de venir prendre un verre. Comme je suis un peu dur d’oreille, je n’entends pas des bruits étranges provenant du salon mais je vois Michel avec un drôle de sourire pervers.
- Moi : « Pourquoi tu souris ainsi, c’est nos deux parties de pétanque perdu qui te mettent en joie ? »
- Michel : « Mais non couillon, t’entends pas des bruits particulier ? »
- Moi : « Non pourquoi ? »
- Michel : « Et bien j’ai comme l’impression qu’il y a une coquine qui ne s’ennuie pas à l’intérieur et tu risques d’avoir une syncope. »
- Moi : « Pfff idiot, il n’y a que Léa dedans et jamais elle n’amènerait un homme sans ma permission. »
- Michel : « Qui te parle d’homme, rentre tu verras bien, je connais ce genre de bruit, mais je t’aurais prévenu, attention à ton cœur. »
Pensant qu’il se fout de moi, je rentre sans réfléchir n’osant pas imaginer l’acte odieux que je découvre dans le salon. Léa à 4 pattes en train de se faire saillir par Tobby. Je pousse un hurlement d’horreur.
- Moi : « PUTAIN !!! mais c’est quoi ce bordel !!!??? »
Horrifié je ne bouge pas, Léa pousse elle aussi un hurlement et tente de se défaire du sexe de Tobby qui est en elle, mais à cause de la panique, elle n’y arrive pas au contraire, Tobby s’accroche encore plus à elle. Toujours pétrifié, c’est Michel qui prend les choses en main en lui parlant d’un ton sévère et vulgaire.
- Michel : « Alors petite Salope, t’es vraiment qu’une grosse traînée. Débarrasses toi de ce vicieux de clébard ! »
- Léa : « Je ne peux pas, je suis bloqué. Son nœud est encore trop gros pour sortir malgré sa jouissance. »
Éberlué je reviens un peu à moi, prends la laisse de Tobby qui est suspendue à la porte d’entrée. Tant bien que mal j’arrive à défaire mon chien des fesses de Léa. Celle-ci s’écroule sur le sol du salon et une marre mélangé de foutre et de cyprine s’écoule de sa chatte béante. D’un coup, une énorme érection s’empare de moi, mais honteux je me retourne pour que personne s’en aperçoive et amène Tobby dehors dans sa niche.
Une fois revenue au salon, Michel a tendu une serpillère à Léa qui essuies les traces laissées sur le sol. Il nous laisse seul et rentre chez lui pour que je règle cela en famille. Furieux j’insulte ma p’tite fille comme jamais je ne m’aurais cru permit lui parler un jour. Pour finir je lui intime de prendre la porte.
- Moi : « Tu n’es qu’une sale dépravée, hors de ma vue, je ne veux plus jamais te voir. Rassemble tes affaires et quitte définitivement ma maison. »
Ses pleurs intenses ne m’amadoue pas, elle a juste le temps d’enfiler un vêtement décent que je la fous dehors un coup de pieds aux fesses, jetant son sac de voyage par la porte, elle atterrit le nez dans le gazon, incapable de se relever vu ses larmes incessantes. Dehors il s’est mis à pleuvoir à torrent, je remarque que Michel est devant le portail et qu’il ramasse le sac de Léa, me regardant il me dit :
- Michel : « Jean je m’en occupe, vu son état physique et émotionnel, il ne faut mieux pas qu’elle prenne la route avec cet orage violent. »
- Moi : « Rien à foutre !!! »
En colère je claque la porte et des larmes me montent aux yeux. J’éprouve de la trahison mais aussi de la honte car de voir le corps nue de Léa m’a procuré un plaisir inavouable.
à suivre...
1 year ago
https://xhamster.com/posts/10356254