Claudette, prise à son propre piège (1)
Récit virtuel exprimant le désir d’une personne du site.
Liste des personnages présents :
- Claudette B. 65 ans
- Nathalie 42 ans, fille de Françoise.
- David 49 ans mari de Nathalie.
- Françoise dite Fanfan 62 ans, cousine de Claudette et maman de Nathalie.
Bonjour je me présente Claudette B. 65 ans, 1m60, cheveux gris et blanc, yeux noisette, 95 C voire D en tour de poitrine et la peau laiteuse. Je suis normande et je peux dire sans honte que je suis une grosse perverse.
J’aime le SEXE, mais surtout le sexe bien hard avec les femmes. Car oui j’ai un gros faible pour le sexe féminin, surtout les plus jeunes que moi que j’ai tendance à dominer. Pour certaines, je suis un peu comme leur « TATA. »
Mariée depuis plus de 35 ans mon couple bât de l’aile, il faut dire que mon époux n’assure plus depuis un moment et le contact d’un homme puissant et endurant se fait sacrément sentir ; car oui je ne l’ai jamais trompé avec un homme, seulement avec des femmes. Cet été, je pars en vacances sans lui. Je descends dans le Sud de la France que je ne connais pas rejoindre certains membres de ma famille.
Je vais enfin revoir ma cousine Françoise (que tout le monde appelle Fanfan) et qui sait peut-être sa fille Nathalie sur qui j’avais des vues impures il y a longtemps. Fanfan est une magnifique brune, d’1m 65, yeux noir profond, des seins énormes, jolie visage, typé un peu comme les « Bella » italienne, style Sophia Loren ou Monica Bellucci.
Mais revenons un peu 27 ans en arrière, en 1995. À l’époque j’avais 38 ans, Fanfan 35 et sa fille Nath 15 ans. Fanfan et moi on a toujours été proches, une relation i****tueuse s’était installée entre nous au fil des années. Mais ce jour fût triste pour moi, car Fanfan et sa famille quittait notre Normandie pour partir vivre à l’étranger, à Dubaï en plus, le mari de Fanfan ayant eu une promotion qui ne se refuse pas. J’étais loin de me douter qu’on se prendrait de vue et qu’il me faudrait 27 ans pour les revoir en vraie. Hormis les coups de fil de plus en plus rare avec la distance, on a fini par perdre le contact. Mais voilà qu’enfin ils sont de retour en France depuis le début de l’année s’installant dans le Gard pour une retraite paisible à la campagne cévenole.
Même si j’ai eu des tas d’aventure féminine depuis, Fanfan m’a manqué. Je me souviens encore comme si c’était hier de notre « première fois », automne 1985.
Octobre 1985
Parlant de chose exclusivement féminine, Fanfan m’avouait avoir le sexe épilé intégral, alors que moi j’avais une bonne touffe. Je lui posais des questions sur les sensations que cela procurait et Fanfan m’avait dit, elle si pudique d’habitude :
Fanfan : « C’est super agréable quand une langue te lèche de haut en bas, tu devrais essayer au moins une fois. »
Claudette : « Je n’oserais jamais, trop peur que cela fasse mal. »
Fanfan : « Je ne dis pas que cela ne picote pas. Si tu as peur, je peux te le faire un jour. »
Par défi sans réfléchir je lui ai répondu : « OK, pourquoi pas maintenant ? »
Installé dans la salle de bain de ma cousine, celle-ci s’est appliqué à m’épiler correctement. Quand elle m’a passée de la pommade pour apaiser les sensations de brûlures, j’ai ressenti le besoin d’être butiner aussi j’ai pris sa tête et lui ai appliqué sur mon clito déjà bien gonflée. Fanfan a tenté de résister mais ma main sur sa tête était plus forte.
Claudette : « Lèches-moi cousine, regardes dans l’état que tu m’as mis. Et puis c’est toi qui m’as parlé de sensations quand une langue lèche, alors applique toi. »
C’est là qu’elle est devenue sous mon emprise et que pour la première fois sa langue a goûté à ma chatte. Mais ce fut bref car interrompu par les bruits que faisait nos hommes en rentrant d’un match de foot.
J’ai dû attendre un mois plus tard, à Noël pour enfin lui faire l’amour. Depuis le coup de la salle de bain, Fanfan faisait tous pour m’éviter et fuyait souvent mon regard insistant. Regard qui s’attardait sur ses gros seins, encore plus gros que les miens.
Noël 1985
Arrive donc le soir de Noël, je n’avais jamais vu Fanfan aussi bien apprêté, elle qui était si souvent mal habillé, jamais en harmonie entre le dessus et le dessous. Là elle portait un ensemble sexy et classe qui soulignait bien sa silhouette. Ce soir-là je ne sais trop pourquoi, elle a picolé un peu plus que de raison et ne tenant pas spécialement l’alcool, elle a commencé à se sentir mal. J’ai fait la bonne samaritaine vis-à-vis des autres membres de la famille, en me dévouant pour la ramener chez elle. Son mari s’amusait si bien, il ne voulait pas encore quitter la fête. Mon mari s’est proposé de le ramener à point d’heure. Nathalie leur fille à l’époque avait 5 ans et dormait chez ses grands-parents donc je savais qu’on serait enfin seule un long moment et j’allais mettre mon plan en action pour enfin « la baiser ».
La soutenant par un bras, car elle ne tenait quand même une bonne, je l’allonge tant bien que mal sur le lit. De temps en temps je l’entends me dire « T’es gentille Claudette » et moi lui répondant que c’était normal et qu’elle ferait pareil pour moi.
Une fois allongée, Fanfan s’est de suite endormie. J’aurais dû, si la morale existait en rester là, mais j’avais envie de voir ses gros seins, j’ai dégrafé lentement son soutif. Elle avait de grosses auréoles presque noires avec des gros tétons un peu comme des dés à coudre. Je me suis jetée dessus et ma langue a commencé à les lécher, tortiller et mordiller. Fanfan commençait à réagir en poussant des « hummm » qui m’encourageait à continuer. J’avais la chatte en feu, alors j’ai profité de son demi-sommeil pour me déshabiller. Ma culotte était déjà trempée et je lui ai mise sur ses narines afin qu’elle hume mon odeur de femme en chaleur. À califourchon j’ai positionné ma chatte contre sa bouche. Ne réagissant pas au départ, je lui ai tapoter un peu le visage et lui ai donné un ordre très bref.
« Sors ta langue !!! »
Et là par reflexe, Fanfan s’est mis à m’obéir. Elle ne m’a pas techniquement léchée mais c’est moi qui ai frottée mon sexe sur son visage. Un rapide orgasme est venu, plus par la perversité du moment que par le plaisir que sa langue me procurait. Le visage recouvert de ma cyprine, Fanfan s’est réveillé et voyant ma position s’est mise à crier de surprise. Très vite, je lui ai exprimé mon désir d’elle et elle ne fût pas longue à craquer et se laisser faire.
Par la suite et pendant 10 ans, nous avons butiner par période. Je lui ai fait découvrir aussi le goût pour la belle lingerie et s’habiller de façon sexy. Comme moi fini les collants, bas exclusif soutenue parfois par des porte-jarretelles. Avec elle, j’ai compris deux choses sur ma personnalité.
- 1) Que j’aimais dominer les nanas. Elle fût la première et pas la dernière à subir mes perversions.
- 2) Et à la toute fin de notre relation, j’ai eu des envies de sa fille Nathalie. Elle ne l’a jamais su, et j’ai su que mes pulsions me portaient vers des femmes bien plus jeune que moi.
J’ai connu de tas de femmes bien plus jeunes que moi, mais jamais mineures, et à toutes je leur imposais de m’appeler « Tata Claudette » pour me rappeler Nathalie.
Hummm Nathalie !!! ma petite cousine. 15 ans, châtain, la même taille que moi et des seins gros et fermes déjà pour son âge comme ceux de sa maman. Elle trainait sans arrêt avec des copines, jamais de p’tit copain. J’étais un peu sa confidente, m’appelant « tata », n’osant pas avouer certaines choses à sa mère. Un jour où elle était triste, je voyais qu’elle venait de pleurer, je lui demandais ce qui n’allait pas et elle m’a ouvert son cœur.
« Je suis lesbienne tata. Si mes parents l’apprennent je suis bonne pour la pension. »
Elle n’a pas vu mon sourire carnassier et j’avais envie de lui dire que sa mère était une excellente bouffeuse de chatte mais au lieu de cela, je l’ai rassurée lui disant que ce n’était pas la fin du monde et en lui caressant les cheveux ce qui a fini par la calmer. Elle m’a alors fait un simple bisou sur la bouche qui a électrisé tout mon corps. Je n’ai jamais rien tenter d’autre la concernant, le tabou de l’âge naturellement mais sa fraicheur et son innocence de la vie me donnait envie de me caresser tous les soirs pensant à ses seins et à sa fine bouche sur mes lèvres et sur mon sexe. Ce fût sa dernière confession car 1 semaine après ils partaient tous pour Dubaï.
Par lettres, j’ai appris par l’intermédiaire de Fanfan, que Nath lui faisait en voir de toutes les couleurs et cette garce ingrate de cousine lui reprochait d’aimer les femmes, elle qui fût ma Soumise pendant 10 ans. Il faut dire que Fanfan a toujours mal vécue son côté bi me le reprochant souvent mais revenant assez vite entre mes mains expertes.
Nathalie est revenue en France avant ses parents, j’eu aucune nouvelle d’elle hormis par de rares lettres de sa mère. J’ai su à un moment donné qu’elle vivait depuis 3 ans avec une dénommée Céline, qu’elle envisageait de se pacser. Mais depuis 1 an plus rien, même de la part de Fanfan quand je la questionnais sur sa fille, comme si celle-ci n’existait plus pour elle, du coup je n’insistais pas plus.
Nous voici revenue au présent. Je fus agréablement surprise par la proposition soudaine de Fanfan de venir les voir dans les Cévennes cet été. Dans nos derniers échanges par téléphone, je lui ai fait part que mon couple allait mal et elle a de suite émise l’idée que je vienne me ressourcer chez elle.
Fanfan : « Tu verras le calme de la nature te feront le plus grand bien. »
J’osais enfin reparler de Nathalie.
Claudette : « Nathalie sera là ? »
Après un moment d’hésitation, elle se décide enfin de me répondre.
Fanfan : « On a perdu le contact depuis 1 an, je t’expliquerais. Mais si tu veux la voir je te donnerais son adresse, elle vit à 20 km de chez moi. »
Été 2021
Je me fais une joie de retrouver Fanfan et qui sait peut-être aurions-nous l’occasion de rebutiner.
Elle habite dans un grand appartement luxueux. On est heureuse de se revoir après tous ce temps perdu, nos étreintes sont un peu plus appuyées qu’entre deux personnes disons normale. Elle a toujours le même parfum qui me faisait perdre la tête. Vu la fortune amassée par son mari, elle ne porte que des vêtements de grande marque, elle qui ne savait pas s’habiller dans sa jeunesse.
Le premier soir, son mari nous laisse entre cousine papoter, je tente de la séduire comme à notre « époque » et voilà qu’elle me repousse poliment mais fermement.
Fanfan : « Ne te fais pas des idées, cette période là est révolue. Oubliée la fanfan qui se laissait faire à toutes les cochonneries. Je suis une femme respectable maintenant et si tu ne veux pas que je mette dehors, je te prie de respecter ceci. »
Surprise qu’elle tire un trait aussi facilement à notre vieille histoire, je lui demande alors de me parler de sa brouille avec sa fille Nathalie.
Fanfan : « Ah celle-là elle m’aura TOUT fait !!! vois-tu qu’elle s’est mariée il y a un an. »
Claudette : « Enfin elle s’est unie avec Cécile ! »
Fanfan : « L’autre gouine ??? mais ça ne va pas la tête !!! son père l’aurait déshérité immédiatement, non elle a épousée un homme. »
Claudette : « Bon alors c’est quoi le problème si elle a fait comme tu le voulais. »
Fanfan : « Le problème c’est son type, David. Elle s’est mariée sans nous le dire, n’y sans nous inviter. De suite il ne nous a pas plus. Il a une réputation ultra sulfureuse dans le village. Des rumeurs circulent sur son sujet, comme quoi il aurait eu plusieurs amantes et toutes de notre âge en plus, des femmes mariées comme des veuves et cette cruche qui nous assure que c’est un ange. Tu ne me croiras pas mais quand je l’ai rencontré pour la première fois, je suis persuadé que ce salopard m’a palpé le cul, mais je ne peux pas le prouver. »
Je suis amusée par son récit mais je lui présente un visage grave. En voyant les photos du mariage je suis encore éblouie par la beauté de sa fille qui dépasse celle de sa mère à son âge. Cela lui fait 42 ans maintenant mais elle en paraît 10 de moins. Sur les photos, David me paraît bien inoffensif et je me dis que ma cousine se fait encore des films dans sa tête.
Claudette : « Ne sois pas si négative, tu sais que dans les petits villages, le pire ce sont les rumeurs. Elle est heureuse au moins ? »
Fanfan : « Son père est tellement en colère par rapport au mariage qu’on a limité au maximum les contacts mais on dirait que oui elle est heureuse, elle parle de bébé à son âge, il est un peu tard je trouve. »
Claudette : « J’aimerais beaucoup lui rendre visite demain, tu viendrais avec moi ? »
Fanfan : « Demain, non je suis prise la journée, mais tiens voici son numéro de téléphone, envoie-lui un texto pour savoir si elle est dispo et je te prêterais ma voiture. »
Saisissant de suite son offre j’envoie un simple message à Nathalie lui demandant si je peux venir lui faire un coucou dans l’après-midi, en signant juste Claudette pensant qu’elle saurait qui je suis. Mais stupeur sa réponse est juste : « Mais qui êtes-vous ? »
Je me sens idiote, après tout elle avait 15 ans la dernière fois qu’elle m’a vue et forcément ne sait pas que je suis chez sa mère alors je m’empresse de lui répondre.
Claudette : « Pardon Nathalie, je suis la cousine de ta maman, je ne sais pas si tu te souviens de moi, normal de m’avoir oublié 27 ans après. En ce moment tes parents m’hébergent pour ma semaine de vacances. »
Après 5 minutes d’attente sa réponse me remplit de joie.
Nathalie : « Ohhh Tata Claudette !!! bien sur que non je ne t’ai pas oubliée, sur le coup je n’avais pas fait le rapprochement. Oui viens je serais hyper contente de te revoir. Demain matin je ne serais pas là mais viens en début d’aprèm et prends ton maillot, on a une piscine et j’insiste pour que tu restes diner le soir que je te présente mon mari David, il sera au travail la journée. »
Cette année la canicule est impressionnante, deux jours que je suis ici et il fait 40 degrés et 26 la nuit. Moi la Normande je ne suis pas habitué à de telles températures. Je suis toute la journée en nage donc je suis bien contente de savoir que Nathalie possède une piscine ce qui en plus me donnera une occasion d’admirer ses beaux gros nibards.
Ne sachant comment m’habiller, surtout si je dois rester le soir pour le repas, je prends en réserve une tenue de soirée afin de me faire sexy. J’ai bien un plan pour enfin la faire tomber dans mes filets après toutes ses années où j’ai pensé à elle.
Avec son mari, elle habite dans une maison isolée, aucun voisinage à moins de 200 mètres. Des pins et des châtaigniers entourent la maison. On entend les cigales, on se croirait dans un tableau tellement l’endroit est idyllique, calme et reposant.
Il est 15 heures quand je sonne chez elle. 27 ans cela vous change une personne mais je l’ai reconnu immédiatement, la même taille que moi 1m60. Cheveux châtains, elle a toujours son jolie sourire avec une belle petite bouche. Ado elle était un brin potelé pour son âge mais maintenant cela lui va à merveille. Des hanches bien marquées, un cul rond mais que je devine bien ferme, elle m’avouera faire souvent du vélo et de la gym. Nous échangeons une étreinte brève mais joyeuse. Nathalie m’a presque sauté au coup quand elle m’a ouvert la porte.
Nath : « Comme je suis heureuse de te voir Tata Claudette. »
Cela me fait toujours aussi chaud au cœur de l’entendre m’appeler Tata.
Claudette : « Moi aussi ma chérie, 27 ans c’est trop long. En tout cas tu es devenue une belle jeune femme. »
Nath : « T’es gentille pour le « jeune » mais j’ai 42 ans, fini l’adolescence depuis un moment. »
Claudette : « Oui mais à mes yeux tu resteras toujours jeune. »
Pour fêter nos retrouvailles et malgré le fait qu’ils soient que 15 heures, Nath a préparé un cocktail un peu alcoolisé et nous papotons de choses futiles. Ne voulant pas trop la brusquer, je n’essaye pas de suite de la séduire mais parfois je balance quelques allusions coquines.
Claudette : « Je t’avoue avoir été surprise quand Fanfan m’a dit que tu étais marié à un homme, mais qui te croyais heureuse avec Cécile ? »
Nath : « Ne me parles plus de cette Salope !!! »
Claudette : « Pourquoi ? que sait-il passé ? tu sais que tu peux tout me dire comme à l’époque où j’étais ta confidente. »
Nath : « Homme ou femme en fait on est tous les mêmes. Cette garce me faisait cocu avec toutes nos soi-disant « amies » gay. J’ai mis longtemps avant de m’en apercevoir. »
Claudette : « Je suis désolée ma puce, ça du te faire un choc je comprends, par contre je ne savais pas que tu aimais les garçons. »
Et là sans que je m’y attende, elle me balance une réplique dont j’aurais dû me méfier mais sur le coup je n’ai pas trop prêté attention.
Nath : « Je suis comme toi Tata, j’ai toujours été bi avant Cécile. »
J’aurai dû me demander comment elle savait pour mon côté bi, vu que mes aventures avec des femmes ont toujours été discrètes et secrètes et ce n’est surement pas Fanfan sa mère qui lui a dit pour toutes les deux. Même mon mari ignore ce côté de ma personnalité.
Elle me raconte sa rencontre avec David, peu de temps après sa rupture avec Cécile et m’avoue avoir eu un vrai coup de foudre, chose qu’il ne lui était jamais arrivé.
Claudette : « Pourquoi tu l’as cachée à tes parents, s’il te rend si heureuse. »
Nath : « Père est un CON et maman une grosse jalouse c’est tout. Toujours à me critiquer quoi que je fasse dans la vie. Ado c’était pareil, rappelle-toi quand je me confiais à toi. Toi seule me comprenait à l’époque. »
Claudette : « Pourquoi ta mère serait jalouse de ton mari ? »
Nath : « Il a de suite été clair et limpide avec moi, disant que les rumeurs comme quoi il baisait des femmes mûres étaient la vérité mais qu’il attendait une personne comme moi pour mettre fin à ses délires. Et sache qu’il y a 2 ans ma mère lui a fait du rentre dedans et il a dit non, pour cela qu’elle est jalouse cette hypocrite. »
Ayant du mal à croire que Fanfan ait pu draguer un mec plus jeune qu’elle, je demande à Nath si elle a des preuves de ce que David raconte.
Nath : « Facile, sur son tél, il garde absolument tous ces textos et j’ai vu ce que lui avait envoyé ma mère et leur conversation. Elle avait eu son numéro par une femme mariée qu’il baisait et d’entrée elle lui a envoyé la photo de ses grosses loches comme simple bonjour. Et le pire c’est que la semaine de notre voyage de noces, cette Salope l’a relancé en lui disant s’il ne préférait pas plutôt l’original à sa fille en lui montrant sa vieille chatte imberbe. David m’a retenu d’aller lui casser la gueule. Donc en résumé, c’est moi qui suis fâchée avec eux que le contraire. »
Je suis abasourdie par sa confidence et le fait que Fanfan ait été aussi dépravée au point de draguer son propre gendre.
Nath : « Bon assez parlé d’eux s’il te plait, aujourd’hui c’est un jour de fête. Viens, on va s’installer à la piscine et prendre un bain, j’en peux plus de cette chaleur. »
Elle m’indique la salle de bain, afin que je puisse me changer. Quand je la rejoins dehors, j’ai mis un maillot 2 pièces et je la découvre seins nus. Mon regard est captivé par sa grosse poitrine, ses auréoles sont comme ceux de sa mère, bien noires avec de très gros tétons qui sont déjà bien durs. Voyant mon regard, Nath rigole.
Nath : « Allez Tata, on est qu’entre nous tu peux faire tomber le haut tu sais. D’ailleurs quand je suis seule, je vais nue intégral mais bon là je sais me retenir quand même. »
Me sentant alors pousser des ailes je lui rétorque.
Claudette : « Alors ne te gêne pas pour moi ma Puce, si tu en as l’habitude fais le et qui sait peut-être que j’oserais le faire aussi. » tout cela en éclatant de rire.
Nath : « Ce n’est pas que je n’oserais pas devant toi, mais David peut rentrer d’un moment à l’autre et je ne voudrais pas que pour un premier contact il te voit entièrement à poil. »
C’est à son tour de rire et finalement on opte toutes les deux, de ne garder que le bas du maillot.
L’eau est à une température exquise, 28 degrés, mon corps se détend enfin de cette chaleur étouffante mais c’est mon esprit qui lui n’est pas lui de refroidir. Voir les seins de ma petite cousine se balloter dans l’eau me donne envie d’y mettre ma tête entre et de les téter goulument. Je suis toute humide de la chatte mais heureusement avec le maillot tout mouillée elle ne remarquera pas l’effet qu’elle me produit.
On passe notre temps entre les transat et l’eau se racontant 27 ans de nos vies. Elle ayant plus de choses à me raconter que moi, ayant vécu à l’étranger. Je lui avoue qu’entre Christophe mon mari et moi rien ne va plus depuis quelques temps déjà et que je pense à me séparer de lui mais pour aller où et pour faire quoi. Pensant que j’allais pleurer elle me prend un court instant dans ses bras, ma bouche se retrouve à quelques centimètres à peine d’un nichon dont je me retiens fortement de sucer.
Aussi je décide d’être plus directe dans mes questions personnelles pour l’attirer un peu dans mes filets.
Claudette : « Ton corps est superbe ma petite Nath, je t’envie. »
Nath : « Mais tu plaisantes tata, à mon âge le tien aussi était super et j’espère au contraire d’avoir encore le tien à ton âge. »
Claudette : « Oh tu sais pour ce qu’il sert, je devrais peut-être me faire nonne. »
Nath : « Arrête de dire n’importe quoi, je suis sure qu’il y a pleins d’hommes qui te trouvent désirables encore. »
Claudette : « Oh les hommes !!! faciles c’est tous des pervers et pardon pour ton David que je ne connais pas. Mais ce n’est pas des hommes dont je parlais. »
Nath qui n’est pas née de la dernière pluie comprends très bien mes sous-entendus mais ne se débinent pas pour autant et avec un large sourire me réponds.
Nath : « T’inquiètes Tata, si une femme te plait, il n’y a pas de raison qu’elle ne craque pas sur toi, si elle aime cela aussi. »
Je pose délicatement une main sur sa cuisse et la caresse lentement.
Claudette : « Tu es trop gentille ma nièce. Tu le savais que j’étais bi ? »
Nath : « Pour tout te dire, je m’en doutais depuis très longtemps en effet, tu étais la seule à ne pas me faire la morale quand je sortais avec des filles pendant mon adolescence. Et j’en ai déduit que tu n’étais pas non plus indifférente aux charmes féminins. »
Me voilà en partie soulager pour la suite de mon plan, en espérant malgré tout qu’elle ne se doutait de rien pour sa mère et moi.
Claudette : « Et les garçons alors ? Ne me dis pas quand même que David est le premier ? »
Elle éclate de rire en m’affirmant qu’elle n’a en fait aucune préférence entre les deux sexes. Qu’elle fréquence des garçons depuis qu’elle a 20 ans et que David est au courant pour ses penchants lesbien et qu’il ne la juge pas pour cela bien au contraire, le tout avec un clin d’œil des plus coquins. Je fais semblant de jouer la fausse indignée !
Claudette : « Non !!! ne me dis pas que vous faîtes des plans à 3 ? Si ton père l’apprend il en meurt tellement il est coincé du cul. »
Nath éclate de rire et entre deux fous rires.
Nath : « Ben quoi il n’y a pas de mal ! moi je peux combler ma passion pour les deux sexes et David a 2 femmes rien que pour lui, le fantasme de tout mec. Il ne risque pas de se plaindre. Mais je te rassure c’est hyper rare, on a dû le faire 3 fois depuis 2 ans que l’on se connait et une seule fois depuis le mariage, alors ne nous fais pas passer pour de gros pervers. »
Claudette : « Oh non ma chérie, pas avec moi. Vous avez bien raison d’en profiter. Dommage que Christophe n’ait jamais été comme ton David. »
Ma main insiste encore un peu sur sa cuisse et je ne sais pas si mon esprit me joue des tours mais il me semble que ses tétons pointent légèrement alors qu’on est séchées depuis un moment. Mais je cesse de rêvasser quand j’entends les graviers crisser, une voiture est en train de se garer. Nath me dit que c’est David alors par pudeur mais un peu à contrecœur j’enfile le haut de mon maillot ainsi qu’une nuisette de place large mais transparente.
Quand David ouvre la porte vitrée de la véranda et nous rejoins sur la terrasse, il a un énorme bouquet à la main. Nathalie se jette à son coup pour le remercier de cette attention et lui taquin qui lui réponds.
David : « Mais ce n’est pas pour toi mon cœur, c’est en l’honneur de ta Tata dont tu me rabâches les oreilles depuis hier soir. »
Nath fait semblant d’être offensée puis le traite de charmeur et le trouve mignon de me faire cette gentille attention. Je balbutie un simple « merci » surprise de cette gentillesse inattendue.
David : « Ce sont des fleurs provençales que vous n’avez pas l’habitude d’avoir chez vous. Vous le garderez chez Fanfan mais cela fanera vite malheureusement. »
Claudette : « Merci David, je suis très touchée par votre attention, nous qui ne nous connaissons même pas. »
David : « Oh vous savez moi depuis hier, je sais tout de vous, Nath était intarissable sur sa Tata. Tata Claudette pour ci, Tata Claudette par-là, hier c’est comme si vous étiez déjà parmi nous. Elle s’est reproché mille fois de ne pas avoir fait le rapport quand elle a vu le texto signe Claudette. »
Nath : « Arrête de faire l’idiot, imbécile. Tu exagères comme tout bon méditerranéen que tu es. J’ai dû y faire allusion à peine deux fois. »
J’espère malgré tout qu’il ne sait pas TOUT de moi et que Nath a un peu retenu sa langue surtout si elle lui a avouée savoir que j’aimais les femmes. Mais bon j’espère qu’aucun des 2 ne se doute que j’aime DOMINER des bien plus jeunes que moi.
Nous prenons un apéritif dehors mais le temps devient très rapidement orageux et sans y faire attention, une énorme averse s’abat sur nous. Nous avons à peine le temps de rentrer à la maison que Nath et moi sommes trempées de la tête aux pieds. Je ressemble à une serpillère tellement mes cheveux dégoulinent sur moi. Avec Nath on rigole malgré tout de ce petit moment de panique. Mon maillot trempé ne peut cacher à David le fait que mes gros tétons pointent. Je vois bien à son regard qu’il me mate parfois mais cela ne me gêne pas, bien au contraire.
Vu le temps, il est décidé que nous mangerions dans leur grande salle à manger Gentiment pendant qu’il va préparer le repas et la table, Nath me tend des affaires de toilettes afin que je puisse prendre une bonne douche. Comme j’ai envie de lui dire de m’accompagner mais le fait que son mari soit là m’en empêche. Heureusement que dans mon sac, j’avais prévu de prendre une tenue de soirée. Une fois dans la salle de bain, en plus en bonne perverse, j’ai fouillée les sacs à linges sales et j’ai pu renifler 2-3 strings bien odorants ce qui a décuplé encore plus l’envie de venir brouter sa chatte. Sous la douche, je n’ai pas pu me retenir et je me suis caressée en pensant aux gros seins de ma p’tite cousine. Je me suis retenue de me faire jouir car j’ai eu peur de trop partir dans les vocalises et qu’ils m’entendent.
Une fois bien rincée et séchée, j’enfile la tenue de soirée hyper sexy que j’avais apporté. Une culotte blanche en dentelle et voulant quand être provocante, je ne mets pas de soutien-gorge. Des bas blancs pour paraitre encore plus sexy et un porte-jarretelle blanc lui aussi, le tout de la marque Aubade. Par-dessus, une robe légère blanche, mélange de coton et de lin, que j’échancre le plus possible.
Quand Nathalie me voit sortir ainsi elle ne peut pousser qu’un sifflement d’admiration.
Nathalie : « Et bien Tata !!! Que tu es sexy, je n’étais pas au courant que c’était une soirée blanche ce soir. » me fit-elle dans un grand clin d’œil.
Et moi je prends mon air le plus innocente possible.
Claudette : « Ah bon tu trouves que cela fait trop sexy et trop osée ? Je peux me changer si c’est gênant. »
Pourvu qu’elle ne dise pas oui car je n’ai rien d’autres à me mettre ce soir.
Nathalie : « Non, non reste comme tu es. Tu as raison de vouloir te faire belle à ton âge, bon alors par contre tu vas m’obliger à mettre une jolie tenue aussi moi qui avait prévu un simple short et T-shirt. »
Claudette : « Ne t’embêtes pas pour moi, tu seras toujours sexy avec n’importe quel vêtement. »
Il me semble qu’elle rougit légèrement et me claque un petit baiser sur la joue et me disant que je suis toujours autant gentille avec elle, ce n’est pas comme sa mère Fanfan. David lui aussi affirme que je suis très à mon avantage et me propose un second apéritif pendant que Nathalie va vite sous la douche.
David est un hôte charmant qui ne me pose pas des questions indiscrètes. Nous parlons surtout de Nathalie et je comprends qu’il en est raide dingue.
David : « Vous savez avant elle, j’ai eu une vie dissolue je l’avoue en toute franchise mais maintenant c’est terminé, elle est tout pour moi. On parle même d’avoir des enfants malgré nos âges un peu avancé et si cela ne se fait pas, pourquoi pas tenter l’adoption. »
Claudette : « Je suis très heureuse pour elle et pour vous aussi bien sûr. Vous savez qu’on a été quasiment sans nouvelles l’une de l’autre depuis très longtemps, pour moi la dernière fois elle était encore avec cette Cécile. »
David : « Si vous ne voulez pas assombrir cette soirée, je crois qu’il vaudra mieux ne pas parler de cette nana, elle risque de devenir maussade. Sortie de cette relation, elle était une vraie loque, j’ai eu du mal à lui faire reprendre confiance en elle et dans les êtres humains. »
Claudette : « Oui c’est noté. En tout cas, on voit qu’elle transpire de bonheur en parlant de vous. »
David : « Vous pouvez me tutoyer voici Claudette. »
Me sentant pousser des ailes, je veux malgré tout le pousser un peu dans ses retranchements, vu que Nath m’a avouée pour quelques trios parfois.
Claudette : « Tu as raison ! Mais dis-moi tu ne t’es pas si assagi que cela il me semble !!! Nath m’a parlé de vos plans à 3. »
David éclate de rire : « Ah celle-là elle n’a pas pu retenir sa langue. En effet mais c’est hyper rare et c’est surtout pour combler son désir bi. »
Claudette : « Mais son côté bi n’est pas fait pour te déplaire !!! »
C’est en nous voyant plier de rire que Nathalie est de retour. Elle est sublime, je suis tout en blanc et elle, elle a choisi le noir avec une robe classe, sexy et non vulgaire qui dévoile ses gros seins, vu comme la robe est échancrée. David fait le mec indifférent mais moi je suis bouche bée. Déjà que je fantasmais sur elle depuis son adolescence, là je retrouve une femme hyper sexy et glamour qui assume totalement sa part de féminité.
Je suis tellement absorbée pour Nath que je n’entends pas David me parler. Il se reprend à trois fois, il doit me prendre pour une gourde ou une sourde au choix !!!
David : « Tenez Claudette, installée vous ici. »
Il me tient la chaise galamment. Nathalie s’installe à ma gauche, tandis que David se mets face à nous. Je sens le parfum de ma p’tite cousine qui commence à m’envouter.
L’orage fait toujours rage dehors avec une v******e inouïe et quelques grêlons sont en train de tomber. Heureusement que nos voitures sont abritées. Je leur dis que ce temps m’inquiète pour le retour, moi qui en plus ne connait pas la route. Nathalie me dit de ne pas m’en faire et prenant son portable, elle téléphone à sa mère.
Nathalie : « Oui c’est moi. Je t’appelle juste pour te dire que Tata Claudette dormira là ce soir, vu la pluie et la grêle, c’est plus prudent. Allez salut. »
Je remarque que la discussion avec sa mère fût brève et surtout hyper sèche. Elle ne lui a pas laisser le temps de lui répondre en raccrochant immédiatement. Je les remercie pour leur proposition et je suis gênée de leur causer ce dérangement. David me dit que c’est normal et que de toute façon, ils ont 2 grandes chambres d’amis qui sont inoccupées, je n’aurais qu’à choisir celle qui me convient.
À cause de ce temps pluvieux, David n’a pas fait les grillades comme il était prévu. Mais il a eu le temps de préparer une grande salade de saison ainsi que du poisson frais en papillote.
De voir Nath si près de moi et si sexy, je suis obligé de tenter quelque chose car cela fait plus de 27 ans que je fantasme sur elle. Aussi pendant qu’on mange la salade et que l’on parle boulot avec son mari, je passe ma main gauche sous la table et je la pose délicatement sur la cuisse droite dénudée de Nath. Elle ne dit rien mais deux secondes plus tard, enlève ma main discrètement. C’est mal me connaître que de me croire vaincu, aussi j’y reviens immédiatement mais de façon plus ferme. Nath continue de manger sa salade sans rien faire paraître, alors je m’enhardie et je commence à lui caresser la cuisse. Le contact de sa peau m’électrise et je sens que j’ai les tétons qui commence à pointer. Ma main remonte le long de sa cuisse, au départ Nath tente de serrer les jambes mais étant toujours ferme, je les lui fais écarter sans qu’elle ne les referme. Je suis au contact de son string et oh surprise je sens qu’il est un petit peu trempé ce qui m’encourage dans mon entreprise.
David ne se doute de rien, il débarrasse l’entrée et part chercher le plat principal. Quand il est hors de vue, Nath se retourne et timidement me dit :
Nath : « Mais que fais-tu Claudette ? Arrête ce n’est pas bien, je te considère comme ma propre tante. »
Je décide de monter mon caractère dominant.
Claudette : « Mais c’est toi ma petite Salope qui m’allume avec ta tenue et de me montrer tes seins cet aprèm. Tu veux que j’arrête alors que tu mouilles avoue !!! »
Elle rougit et va pour répondre quand David ressurgit avec le poisson. J’en profite pour entrer un doigt dans sa chatte directement à travers son string. Nath sursaute et David lui demande ce qu’il y a.
Nath : « Non rien, une mouche qui m’ennuie. »
Elle aurait très bien pu tout arrêter à cet instant, mais je vois qu’elle se laisse faire. Aussi pour qu’elle éprouve de la frustration je retire de suite ma main et la remets sur la table. David retourne en cuisine pour chercher les légumes.
Nath : « S’il te plait TATA continue, maintenant que tu m’as chauffée. »
Cette petite garce n’a pas été longue à manipuler.
Claudette : « Ce n’est pas toi qui décides ma chérie mais c’est Tata, à ton tour de venir me caresser. »
Nath : « Mais je suis droitière, je ne sais pas manger de la main gauche. »
Claudette : « Ce n’est pas mon problème, obéis petite gouine. »
Nath : « T’es vraiment une vieille garce de me parler ainsi…mais Putain j’adore quand on me parle ainsi. »
David de retour ne fait pas attention que la main droite de Nath a disparue, elle a relevé ma robe et elle commence à caresser mes bas, ma peau et découvre que j’ai un porte-jarretelle. Il faut que je me concentre sur mon assiette pour que je n’exprime pas trop le plaisir qui est en train de m’envahir. Nos petits jeux durent un certain temps, Nath a voulu retirer sa main mais j’ai serré les cuisses et l’y ait emprisonnée. Elle a passée le repas à devoir manger avec sa main gauche. Finalement je l’ai libérée pour qu’elle puisse saucer son plat. Quand David se lève pour débarrasser, je me penche vers elle et lui dit :
Claudette : « Vas aux toilettes je te rejoins. »
Elle ne se le fait pas dire deux fois, David me précise que l’on va prendre le dessert dans le salon, qu’on sera plus à l’aise. Je prétexte que je dois aller dans ma chambre un court moment et file rejoindre sa femme dans les WC.
À peine franchie la porte, celle-ci est debout et me dis que je suis folle. Je la fais taire en l’embrassant avec fougue tout en caressant ses gros nichons qui m’ont tant fait fantasmer avant.
Claudette : « Ils sont bien comme je les imaginais, ferme et dur en main. Viens goûtes les miens et mordilles mes mamelons, j’adore cela. »
Nath : « T’es folle Tata !!! David va se douter de quelque chose. Juste une tétée et on repart. »
D’un ton autoritaire je lui affirme que c’est moi qui décide et que si elle veut partir vite, il faut qu’elle me promettre de venir ce soir dans ma chambre, quand David sera endormi. Elle prend le temps de réfléchir puis dans un grand sourire me dit.
Nath : « Ça marche je te le promets mais maintenant on reste sage jusqu’à ce qu’on se couche. Je ne veux éveiller les soupçons de mon homme. »
Et bien qui la croyait hyper amoureuse de lui et qui ne lui cachait rien de ses envies lesbiennes, je constate qu’elle est une bonne petite Salope cachotière.
Claudette : « Je vais me retenir mais je languis déjà ta langue experte dans ma fente. »
Nath : « Putain arrête de me parler comme cela Tata, je mouille. »
Non sans peine, on arrive sagement au salon. Dans le couloir je me suis régalée de lui palper les fesses en lui disant que j’allais me régaler de les faire rougir plus tard. Nath en a gloussée et j’ai bien compris que les fessées ne lui faisaient pas peur.
Lors du dessert, je me suis installé dans le divan à côté de David et je n’ai pas arrêtée de croiser, décroiser mes jambes. Ayant très bien mangé, on s’est contenté d’un cône glacé, accompagné d’un digestif, un bon GET27. Cette garce de Nath me regardait suçant sa glace de façon très suggestible. J’ai même vu que David lui faisait les gros yeux. Un réel besoin urgent me fait m’absenter un court moment, quand je reviens Nath parle à son homme qui me voyant revenir m’informe.
David : « Désolé Claudette mais je suis épuisé par le boulot, la chaleur de la journée et je ne vais pas pouvoir veiller tard. Je vais me coucher tôt si cela ne nous dérange pas. »
Claudette : « Mais vous êtes chez vous, je vous en prie, je vais y aller aussi. »
David : « Demain je ne serais sans doute pas là à votre réveil, j’ai été enchanté de faire votre connaissance et j’espère que vous reviendrez nous voir avant votre départ. »
Claudette : « Oh sans aucun doute, ce fût un plaisir pour moi aussi. Nathalie a trouvé une perle rare il me semble. »
Je ne peux m’empêcher d’adresser à David un clin d’œil coquin. Juste avant d’aller au lit, il me montre les deux chambres de disponible. Une est à l’étage tranquille, tandis que l’autre est mitoyenne à leur chambre et elle possède sa propre salle de bain privative. Par perversité je choisis de m’installer à côté d’eux, cela sera encore plus pervers quand je baiserai sa lesbienne de femme pendant qu’il dort juste à côté. Je vois que Nath est toute gênée de mon choix, me faisant signe derrière son dos de prendre celle du haut.
Claudette : « Non celle du bas sera parfaite. Je ne préfère pas monter 1 étage, je serais capable de tomber dans les escaliers si je dois descendre dans la nuit ne connaissant pas bien votre maison. »
Nath me lance un regard furieux, elle ne perd rien pour attendre si elle croit qu’elle peut me faire des gros yeux.
Il est à peine 23 h quand on se quitte. David me fait une simple bise mais il me semble que sa main s’attarde un peu trop longuement dans mon dos, comme s’il vérifiait si je porte un soutif…mais je dois me faire des idées. Nath ne m’embrasse pas et me fait juste un signe de la main en me souhaitant une bonne nuit. Avec cette excitation je n’ai absolument pas sommeil, j’allume la télévision pour mater un programme insipide en attendant la venue de Nath.
Très vite il me semble détecter un bruit provenant de l’autre chambre. Les murs sont épais mais j’ai bien l’impression qu’ils sont en train de baiser. Il n’avait pas si sommeil que cela le David alors je tente de coller mon oreille contre le mur mais impossible de distinguer quelque chose. N’y tenant plus, je sors discrètement de la chambre et je vais jeter un coup d’œil dans le couloir. Pur hasard ou pas, leur porte n’est pas entièrement fermée, je peux facilement voir ce qu’il se passe. David a le dos tourné et ainsi il ne peut pas me voir. Nath est totalement à poil, à 4 pattes à même le sol. Elle se fait défoncer la rondelle et elle halète si fort, qu’on voit qu’elle aime bien se faire enculer. David n’y va pas de main morte et il se plait aussi de l’insulter.
David : « T’es une petite Salope d’allumeuse, tu crois que je ne t’ai pas vu jouer avec le cône de la glace à faire comme si suçais ma bite. Et en plus devant ta chère Tata. »
Nath : « Oui punie moi, je suis ta grosse Chienne. Encules-moi fort, j’aime sentir tes couilles qui tapent sur mon cul. »
Je suis en transe de les voir ainsi et je commence à me caresser les seins, mais il faut que je fasse attention à ne pas faire de bruit. David s’active dans sa rondelle, on voit qu’elle a l’habitude d’encaisser fort et elle jouie du cul, il n’y a pas de doute là-dessus. David lui affirme qu’il va jouir.
Nath : « Non pas dans mon cul !!! viens que je te suce et jouis au fond de ma gorge de Pute. »
David : « T’aimes ça Salope goûter ma bite qui sort de ton cul ? »
Nath : « Oh oui cela me rend dingue d’être aussi cochonne. »
Cela fait longtemps que je n’avais pas vu, un couple en action, à part bien sur dans les films de cul que je matte, mais je suis impressionné par la grande quantité de sperme qui sort de sa belle et grosse queue. Nath ne peut pas tout avaler d’un coup et du foutre coule le long de son cou jusqu’à ses seins. Elle se les masse avec et aspire avec ses doigts le sperme de son homme. Il la regarde vicieusement et lui donne une bonne claque sur ses miches.
David : « Putain ! t’es de plus en plus Salope Nath. Et dire que tu m’as demandé de laisser la porte ouverte, toi t’avais envie que ta tante nous entende on dirait ? »
Elle prend son air le plus innocent possible et d’un grand rire lui réponds :
Nath : « Moi ??? non je n’oserais pas voyons !!! »
Putain c’est elle qui a tout manigancé en étant sure que j’entendrais et que j’aurais le vice de venir les regarder. Nièce ou pas nièce, je vais en faire ma bonne Soumise, j’ai l’habitude de ce genre de nana faussement timide qui cache son jeu. La dernière que j’ai matée se prénommait Alice et c’est devenu la plus cochonne femme que je connaisse. Sans qu’aucun des deux m’ait vu, je retourne dans ma chambre en laissant moi aussi la porte ouverte pour sa future venue dans la nuit. J’ai du mal à trouver le sommeil, le réveil indique 1h et toujours personne, si elle ne vient pas, elle va me le payer demain matin étant que toutes les 2. Je me sens partir, j’ai beau lutter mais la fatigue est plus forte que tout et je m’endors.
Soudain je sens une main qui me secoue lentement, j’ai un peu de mal à réaliser où je suis. Il me faut une dizaine de seconde pour me rappeler que je suis chez Nath. En me retournant le réveil indique 2h30 et je la vois dans une nuisette noire hyper sexy.
Pour ma part, ma nuisette est blanche. D’habitude je dors nue mais sachant qu’elle allait venir j’avais revêtu cette noisette sexy car il est important à mes yeux de lui plaire et de lui donner envie de moi.
Mais je ne veux pas jouer à la tata gentille alors je prends de suite une voix grave et sévère.
Claudette : « Il t’en a fallu du temps Salope ! »
Nath : « Oui excuse mais là je suis sure qu’on sera tranquille, je suis retournée dans la cuisine lui chercher un verre d’eau et j’ai mis un somnifère pour qu’on ne soir pas déranger si l’on vient à faire trop de bruit. J’ai attendu 2 heures qu’il fasse bien effet pour venir. J’avais mis la sonnerie de mon téléphone et il n’a pas bronché quand cela a sonné. »
De suite je m’apaise et je constate qu’elle a pensé à tout. Alors qu’elle s’approche de moi, je lui envoie une légère gifle qui l’a fait sursauter plus de surprise que de douleur. Elle me demande pourquoi cette gifle.
Claudette : « Espèce de petite garce, tu m’as bien allumée tout à l’heure dans le couloir en te faisant baiser comme une vulgaire Chienne par ton mari. »
Elle sourit et avoue qui oui elle l’a fait exprès. Alors elle s’approche lentement et me donne un premier baiser chaste. Elle retire sa tête mais je l’empoigne par les cheveux et nous échangeons un second baiser bien plus profond et intense. Au départ nos corps s’entremêlent de façon érotique, nos seins sont plaqués les uns sur les autres et c’est seulement nos langues qui sont en action. Puis je quitte ma nuisette et commence à vouloir la dominer.
Claudette : « Allez !!! j’ai envie de ta langue sur mon corps. Descends et va de mes seins à mon cul. Tu ne t’arrêtes que quand je te l’ordonne. »
Nath : « Avec plaisir Tata !!! Tu aimes dominer pas vrai ? »
Claudette : « Évidemment, les femmes sont pour moi de simples proies et toi tu es dans mon collimateur depuis si longtemps. Tu hantes mes nuits. »
Nath : « Merci Tata, même si j’aime les femmes aussi, sache que tu es ma première Mature. »
Claudette : « Allez, ferme-là et montres-moi tes talents de brouteuse de minou. »
Elle m’a amenée au septième ciel en un temps record et pourtant j’en ai eu des langues qui sont passées entre mes cuisses. Rapidement c’est moi qui est enfin pu goûter à son odeur, elle est enivrante et sachant que David dormait profondément elle s’est lâchée et à exprimer ses jouissances d’une façon très salace.
Nath : « Hummm oui ne t’arrête pas ma salope de TATA. Tu suces mieux que Cécile et pourtant elle était ma championne…Oh Putain j’aime ta langue dans mon trou du cul…Je suis ta chose…Fais de moi ta p’tite PUTE… »
Claudette : « Mais c’est bien mon intention ma chérie, tu m’appartiens tu m’entends ? je t’interdit de voir d’autre femmes tant que je reste ici. »
Nath : « Oui je suis à toi et à tes ordres TATA. »
Je sors du fond de mon sac le gode ceinture cachée dans un recoin et je lui baise ses deux orifices. 27 ans de frustration fait que je l’ai déglinguée et déchirée comme rarement je l’ai fais avec une autre femme. Après deux heures de baise sans aucune retenue, nos corps transpirant sont malgré enlacés. Avant qu’elle retourne dans sa chambre, je lui ordonne de venir prendre une douche avec moi et malgré nos fatigues mutuelles nous nous faisons encore du bien.
Quand on se quitte il est presque 5 h du mat et la nuit risque d’être courte. Je sais que David doit partir bosser vers 8h30. Aussi quand elle s’apprête à me quitter, je lui donne un dernier ordre.
Claudette : « Demain tu me laisses dormir. Viens me réveiller à 10 h avec ta langue dans mon minou. »
Nath : « À vos ordres Tata Claudette. »
Le lendemain quand je me réveille il est 11 h et aucune trace de cette petite Salope. Je me dirige avec la même chemise de nuit dans la cuisine pour lui passer une soufflante mais personne. Au lieu de cela une simple enveloppe est posée sur la table avec écrit dessus : « Pour toi Claudette. »
Si je ne l’avais pas ouvert, je ne serais pas là à vous raconter cette histoire. Sachez juste que cette enveloppe allait changer à tout jamais ma vie. Mais ça c’est une autre histoire.
À suivre…
Liste des personnages présents :
- Claudette B. 65 ans
- Nathalie 42 ans, fille de Françoise.
- David 49 ans mari de Nathalie.
- Françoise dite Fanfan 62 ans, cousine de Claudette et maman de Nathalie.
Bonjour je me présente Claudette B. 65 ans, 1m60, cheveux gris et blanc, yeux noisette, 95 C voire D en tour de poitrine et la peau laiteuse. Je suis normande et je peux dire sans honte que je suis une grosse perverse.
J’aime le SEXE, mais surtout le sexe bien hard avec les femmes. Car oui j’ai un gros faible pour le sexe féminin, surtout les plus jeunes que moi que j’ai tendance à dominer. Pour certaines, je suis un peu comme leur « TATA. »
Mariée depuis plus de 35 ans mon couple bât de l’aile, il faut dire que mon époux n’assure plus depuis un moment et le contact d’un homme puissant et endurant se fait sacrément sentir ; car oui je ne l’ai jamais trompé avec un homme, seulement avec des femmes. Cet été, je pars en vacances sans lui. Je descends dans le Sud de la France que je ne connais pas rejoindre certains membres de ma famille.
Je vais enfin revoir ma cousine Françoise (que tout le monde appelle Fanfan) et qui sait peut-être sa fille Nathalie sur qui j’avais des vues impures il y a longtemps. Fanfan est une magnifique brune, d’1m 65, yeux noir profond, des seins énormes, jolie visage, typé un peu comme les « Bella » italienne, style Sophia Loren ou Monica Bellucci.
Mais revenons un peu 27 ans en arrière, en 1995. À l’époque j’avais 38 ans, Fanfan 35 et sa fille Nath 15 ans. Fanfan et moi on a toujours été proches, une relation i****tueuse s’était installée entre nous au fil des années. Mais ce jour fût triste pour moi, car Fanfan et sa famille quittait notre Normandie pour partir vivre à l’étranger, à Dubaï en plus, le mari de Fanfan ayant eu une promotion qui ne se refuse pas. J’étais loin de me douter qu’on se prendrait de vue et qu’il me faudrait 27 ans pour les revoir en vraie. Hormis les coups de fil de plus en plus rare avec la distance, on a fini par perdre le contact. Mais voilà qu’enfin ils sont de retour en France depuis le début de l’année s’installant dans le Gard pour une retraite paisible à la campagne cévenole.
Même si j’ai eu des tas d’aventure féminine depuis, Fanfan m’a manqué. Je me souviens encore comme si c’était hier de notre « première fois », automne 1985.
Octobre 1985
Parlant de chose exclusivement féminine, Fanfan m’avouait avoir le sexe épilé intégral, alors que moi j’avais une bonne touffe. Je lui posais des questions sur les sensations que cela procurait et Fanfan m’avait dit, elle si pudique d’habitude :
Fanfan : « C’est super agréable quand une langue te lèche de haut en bas, tu devrais essayer au moins une fois. »
Claudette : « Je n’oserais jamais, trop peur que cela fasse mal. »
Fanfan : « Je ne dis pas que cela ne picote pas. Si tu as peur, je peux te le faire un jour. »
Par défi sans réfléchir je lui ai répondu : « OK, pourquoi pas maintenant ? »
Installé dans la salle de bain de ma cousine, celle-ci s’est appliqué à m’épiler correctement. Quand elle m’a passée de la pommade pour apaiser les sensations de brûlures, j’ai ressenti le besoin d’être butiner aussi j’ai pris sa tête et lui ai appliqué sur mon clito déjà bien gonflée. Fanfan a tenté de résister mais ma main sur sa tête était plus forte.
Claudette : « Lèches-moi cousine, regardes dans l’état que tu m’as mis. Et puis c’est toi qui m’as parlé de sensations quand une langue lèche, alors applique toi. »
C’est là qu’elle est devenue sous mon emprise et que pour la première fois sa langue a goûté à ma chatte. Mais ce fut bref car interrompu par les bruits que faisait nos hommes en rentrant d’un match de foot.
J’ai dû attendre un mois plus tard, à Noël pour enfin lui faire l’amour. Depuis le coup de la salle de bain, Fanfan faisait tous pour m’éviter et fuyait souvent mon regard insistant. Regard qui s’attardait sur ses gros seins, encore plus gros que les miens.
Noël 1985
Arrive donc le soir de Noël, je n’avais jamais vu Fanfan aussi bien apprêté, elle qui était si souvent mal habillé, jamais en harmonie entre le dessus et le dessous. Là elle portait un ensemble sexy et classe qui soulignait bien sa silhouette. Ce soir-là je ne sais trop pourquoi, elle a picolé un peu plus que de raison et ne tenant pas spécialement l’alcool, elle a commencé à se sentir mal. J’ai fait la bonne samaritaine vis-à-vis des autres membres de la famille, en me dévouant pour la ramener chez elle. Son mari s’amusait si bien, il ne voulait pas encore quitter la fête. Mon mari s’est proposé de le ramener à point d’heure. Nathalie leur fille à l’époque avait 5 ans et dormait chez ses grands-parents donc je savais qu’on serait enfin seule un long moment et j’allais mettre mon plan en action pour enfin « la baiser ».
La soutenant par un bras, car elle ne tenait quand même une bonne, je l’allonge tant bien que mal sur le lit. De temps en temps je l’entends me dire « T’es gentille Claudette » et moi lui répondant que c’était normal et qu’elle ferait pareil pour moi.
Une fois allongée, Fanfan s’est de suite endormie. J’aurais dû, si la morale existait en rester là, mais j’avais envie de voir ses gros seins, j’ai dégrafé lentement son soutif. Elle avait de grosses auréoles presque noires avec des gros tétons un peu comme des dés à coudre. Je me suis jetée dessus et ma langue a commencé à les lécher, tortiller et mordiller. Fanfan commençait à réagir en poussant des « hummm » qui m’encourageait à continuer. J’avais la chatte en feu, alors j’ai profité de son demi-sommeil pour me déshabiller. Ma culotte était déjà trempée et je lui ai mise sur ses narines afin qu’elle hume mon odeur de femme en chaleur. À califourchon j’ai positionné ma chatte contre sa bouche. Ne réagissant pas au départ, je lui ai tapoter un peu le visage et lui ai donné un ordre très bref.
« Sors ta langue !!! »
Et là par reflexe, Fanfan s’est mis à m’obéir. Elle ne m’a pas techniquement léchée mais c’est moi qui ai frottée mon sexe sur son visage. Un rapide orgasme est venu, plus par la perversité du moment que par le plaisir que sa langue me procurait. Le visage recouvert de ma cyprine, Fanfan s’est réveillé et voyant ma position s’est mise à crier de surprise. Très vite, je lui ai exprimé mon désir d’elle et elle ne fût pas longue à craquer et se laisser faire.
Par la suite et pendant 10 ans, nous avons butiner par période. Je lui ai fait découvrir aussi le goût pour la belle lingerie et s’habiller de façon sexy. Comme moi fini les collants, bas exclusif soutenue parfois par des porte-jarretelles. Avec elle, j’ai compris deux choses sur ma personnalité.
- 1) Que j’aimais dominer les nanas. Elle fût la première et pas la dernière à subir mes perversions.
- 2) Et à la toute fin de notre relation, j’ai eu des envies de sa fille Nathalie. Elle ne l’a jamais su, et j’ai su que mes pulsions me portaient vers des femmes bien plus jeune que moi.
J’ai connu de tas de femmes bien plus jeunes que moi, mais jamais mineures, et à toutes je leur imposais de m’appeler « Tata Claudette » pour me rappeler Nathalie.
Hummm Nathalie !!! ma petite cousine. 15 ans, châtain, la même taille que moi et des seins gros et fermes déjà pour son âge comme ceux de sa maman. Elle trainait sans arrêt avec des copines, jamais de p’tit copain. J’étais un peu sa confidente, m’appelant « tata », n’osant pas avouer certaines choses à sa mère. Un jour où elle était triste, je voyais qu’elle venait de pleurer, je lui demandais ce qui n’allait pas et elle m’a ouvert son cœur.
« Je suis lesbienne tata. Si mes parents l’apprennent je suis bonne pour la pension. »
Elle n’a pas vu mon sourire carnassier et j’avais envie de lui dire que sa mère était une excellente bouffeuse de chatte mais au lieu de cela, je l’ai rassurée lui disant que ce n’était pas la fin du monde et en lui caressant les cheveux ce qui a fini par la calmer. Elle m’a alors fait un simple bisou sur la bouche qui a électrisé tout mon corps. Je n’ai jamais rien tenter d’autre la concernant, le tabou de l’âge naturellement mais sa fraicheur et son innocence de la vie me donnait envie de me caresser tous les soirs pensant à ses seins et à sa fine bouche sur mes lèvres et sur mon sexe. Ce fût sa dernière confession car 1 semaine après ils partaient tous pour Dubaï.
Par lettres, j’ai appris par l’intermédiaire de Fanfan, que Nath lui faisait en voir de toutes les couleurs et cette garce ingrate de cousine lui reprochait d’aimer les femmes, elle qui fût ma Soumise pendant 10 ans. Il faut dire que Fanfan a toujours mal vécue son côté bi me le reprochant souvent mais revenant assez vite entre mes mains expertes.
Nathalie est revenue en France avant ses parents, j’eu aucune nouvelle d’elle hormis par de rares lettres de sa mère. J’ai su à un moment donné qu’elle vivait depuis 3 ans avec une dénommée Céline, qu’elle envisageait de se pacser. Mais depuis 1 an plus rien, même de la part de Fanfan quand je la questionnais sur sa fille, comme si celle-ci n’existait plus pour elle, du coup je n’insistais pas plus.
Nous voici revenue au présent. Je fus agréablement surprise par la proposition soudaine de Fanfan de venir les voir dans les Cévennes cet été. Dans nos derniers échanges par téléphone, je lui ai fait part que mon couple allait mal et elle a de suite émise l’idée que je vienne me ressourcer chez elle.
Fanfan : « Tu verras le calme de la nature te feront le plus grand bien. »
J’osais enfin reparler de Nathalie.
Claudette : « Nathalie sera là ? »
Après un moment d’hésitation, elle se décide enfin de me répondre.
Fanfan : « On a perdu le contact depuis 1 an, je t’expliquerais. Mais si tu veux la voir je te donnerais son adresse, elle vit à 20 km de chez moi. »
Été 2021
Je me fais une joie de retrouver Fanfan et qui sait peut-être aurions-nous l’occasion de rebutiner.
Elle habite dans un grand appartement luxueux. On est heureuse de se revoir après tous ce temps perdu, nos étreintes sont un peu plus appuyées qu’entre deux personnes disons normale. Elle a toujours le même parfum qui me faisait perdre la tête. Vu la fortune amassée par son mari, elle ne porte que des vêtements de grande marque, elle qui ne savait pas s’habiller dans sa jeunesse.
Le premier soir, son mari nous laisse entre cousine papoter, je tente de la séduire comme à notre « époque » et voilà qu’elle me repousse poliment mais fermement.
Fanfan : « Ne te fais pas des idées, cette période là est révolue. Oubliée la fanfan qui se laissait faire à toutes les cochonneries. Je suis une femme respectable maintenant et si tu ne veux pas que je mette dehors, je te prie de respecter ceci. »
Surprise qu’elle tire un trait aussi facilement à notre vieille histoire, je lui demande alors de me parler de sa brouille avec sa fille Nathalie.
Fanfan : « Ah celle-là elle m’aura TOUT fait !!! vois-tu qu’elle s’est mariée il y a un an. »
Claudette : « Enfin elle s’est unie avec Cécile ! »
Fanfan : « L’autre gouine ??? mais ça ne va pas la tête !!! son père l’aurait déshérité immédiatement, non elle a épousée un homme. »
Claudette : « Bon alors c’est quoi le problème si elle a fait comme tu le voulais. »
Fanfan : « Le problème c’est son type, David. Elle s’est mariée sans nous le dire, n’y sans nous inviter. De suite il ne nous a pas plus. Il a une réputation ultra sulfureuse dans le village. Des rumeurs circulent sur son sujet, comme quoi il aurait eu plusieurs amantes et toutes de notre âge en plus, des femmes mariées comme des veuves et cette cruche qui nous assure que c’est un ange. Tu ne me croiras pas mais quand je l’ai rencontré pour la première fois, je suis persuadé que ce salopard m’a palpé le cul, mais je ne peux pas le prouver. »
Je suis amusée par son récit mais je lui présente un visage grave. En voyant les photos du mariage je suis encore éblouie par la beauté de sa fille qui dépasse celle de sa mère à son âge. Cela lui fait 42 ans maintenant mais elle en paraît 10 de moins. Sur les photos, David me paraît bien inoffensif et je me dis que ma cousine se fait encore des films dans sa tête.
Claudette : « Ne sois pas si négative, tu sais que dans les petits villages, le pire ce sont les rumeurs. Elle est heureuse au moins ? »
Fanfan : « Son père est tellement en colère par rapport au mariage qu’on a limité au maximum les contacts mais on dirait que oui elle est heureuse, elle parle de bébé à son âge, il est un peu tard je trouve. »
Claudette : « J’aimerais beaucoup lui rendre visite demain, tu viendrais avec moi ? »
Fanfan : « Demain, non je suis prise la journée, mais tiens voici son numéro de téléphone, envoie-lui un texto pour savoir si elle est dispo et je te prêterais ma voiture. »
Saisissant de suite son offre j’envoie un simple message à Nathalie lui demandant si je peux venir lui faire un coucou dans l’après-midi, en signant juste Claudette pensant qu’elle saurait qui je suis. Mais stupeur sa réponse est juste : « Mais qui êtes-vous ? »
Je me sens idiote, après tout elle avait 15 ans la dernière fois qu’elle m’a vue et forcément ne sait pas que je suis chez sa mère alors je m’empresse de lui répondre.
Claudette : « Pardon Nathalie, je suis la cousine de ta maman, je ne sais pas si tu te souviens de moi, normal de m’avoir oublié 27 ans après. En ce moment tes parents m’hébergent pour ma semaine de vacances. »
Après 5 minutes d’attente sa réponse me remplit de joie.
Nathalie : « Ohhh Tata Claudette !!! bien sur que non je ne t’ai pas oubliée, sur le coup je n’avais pas fait le rapprochement. Oui viens je serais hyper contente de te revoir. Demain matin je ne serais pas là mais viens en début d’aprèm et prends ton maillot, on a une piscine et j’insiste pour que tu restes diner le soir que je te présente mon mari David, il sera au travail la journée. »
Cette année la canicule est impressionnante, deux jours que je suis ici et il fait 40 degrés et 26 la nuit. Moi la Normande je ne suis pas habitué à de telles températures. Je suis toute la journée en nage donc je suis bien contente de savoir que Nathalie possède une piscine ce qui en plus me donnera une occasion d’admirer ses beaux gros nibards.
Ne sachant comment m’habiller, surtout si je dois rester le soir pour le repas, je prends en réserve une tenue de soirée afin de me faire sexy. J’ai bien un plan pour enfin la faire tomber dans mes filets après toutes ses années où j’ai pensé à elle.
Avec son mari, elle habite dans une maison isolée, aucun voisinage à moins de 200 mètres. Des pins et des châtaigniers entourent la maison. On entend les cigales, on se croirait dans un tableau tellement l’endroit est idyllique, calme et reposant.
Il est 15 heures quand je sonne chez elle. 27 ans cela vous change une personne mais je l’ai reconnu immédiatement, la même taille que moi 1m60. Cheveux châtains, elle a toujours son jolie sourire avec une belle petite bouche. Ado elle était un brin potelé pour son âge mais maintenant cela lui va à merveille. Des hanches bien marquées, un cul rond mais que je devine bien ferme, elle m’avouera faire souvent du vélo et de la gym. Nous échangeons une étreinte brève mais joyeuse. Nathalie m’a presque sauté au coup quand elle m’a ouvert la porte.
Nath : « Comme je suis heureuse de te voir Tata Claudette. »
Cela me fait toujours aussi chaud au cœur de l’entendre m’appeler Tata.
Claudette : « Moi aussi ma chérie, 27 ans c’est trop long. En tout cas tu es devenue une belle jeune femme. »
Nath : « T’es gentille pour le « jeune » mais j’ai 42 ans, fini l’adolescence depuis un moment. »
Claudette : « Oui mais à mes yeux tu resteras toujours jeune. »
Pour fêter nos retrouvailles et malgré le fait qu’ils soient que 15 heures, Nath a préparé un cocktail un peu alcoolisé et nous papotons de choses futiles. Ne voulant pas trop la brusquer, je n’essaye pas de suite de la séduire mais parfois je balance quelques allusions coquines.
Claudette : « Je t’avoue avoir été surprise quand Fanfan m’a dit que tu étais marié à un homme, mais qui te croyais heureuse avec Cécile ? »
Nath : « Ne me parles plus de cette Salope !!! »
Claudette : « Pourquoi ? que sait-il passé ? tu sais que tu peux tout me dire comme à l’époque où j’étais ta confidente. »
Nath : « Homme ou femme en fait on est tous les mêmes. Cette garce me faisait cocu avec toutes nos soi-disant « amies » gay. J’ai mis longtemps avant de m’en apercevoir. »
Claudette : « Je suis désolée ma puce, ça du te faire un choc je comprends, par contre je ne savais pas que tu aimais les garçons. »
Et là sans que je m’y attende, elle me balance une réplique dont j’aurais dû me méfier mais sur le coup je n’ai pas trop prêté attention.
Nath : « Je suis comme toi Tata, j’ai toujours été bi avant Cécile. »
J’aurai dû me demander comment elle savait pour mon côté bi, vu que mes aventures avec des femmes ont toujours été discrètes et secrètes et ce n’est surement pas Fanfan sa mère qui lui a dit pour toutes les deux. Même mon mari ignore ce côté de ma personnalité.
Elle me raconte sa rencontre avec David, peu de temps après sa rupture avec Cécile et m’avoue avoir eu un vrai coup de foudre, chose qu’il ne lui était jamais arrivé.
Claudette : « Pourquoi tu l’as cachée à tes parents, s’il te rend si heureuse. »
Nath : « Père est un CON et maman une grosse jalouse c’est tout. Toujours à me critiquer quoi que je fasse dans la vie. Ado c’était pareil, rappelle-toi quand je me confiais à toi. Toi seule me comprenait à l’époque. »
Claudette : « Pourquoi ta mère serait jalouse de ton mari ? »
Nath : « Il a de suite été clair et limpide avec moi, disant que les rumeurs comme quoi il baisait des femmes mûres étaient la vérité mais qu’il attendait une personne comme moi pour mettre fin à ses délires. Et sache qu’il y a 2 ans ma mère lui a fait du rentre dedans et il a dit non, pour cela qu’elle est jalouse cette hypocrite. »
Ayant du mal à croire que Fanfan ait pu draguer un mec plus jeune qu’elle, je demande à Nath si elle a des preuves de ce que David raconte.
Nath : « Facile, sur son tél, il garde absolument tous ces textos et j’ai vu ce que lui avait envoyé ma mère et leur conversation. Elle avait eu son numéro par une femme mariée qu’il baisait et d’entrée elle lui a envoyé la photo de ses grosses loches comme simple bonjour. Et le pire c’est que la semaine de notre voyage de noces, cette Salope l’a relancé en lui disant s’il ne préférait pas plutôt l’original à sa fille en lui montrant sa vieille chatte imberbe. David m’a retenu d’aller lui casser la gueule. Donc en résumé, c’est moi qui suis fâchée avec eux que le contraire. »
Je suis abasourdie par sa confidence et le fait que Fanfan ait été aussi dépravée au point de draguer son propre gendre.
Nath : « Bon assez parlé d’eux s’il te plait, aujourd’hui c’est un jour de fête. Viens, on va s’installer à la piscine et prendre un bain, j’en peux plus de cette chaleur. »
Elle m’indique la salle de bain, afin que je puisse me changer. Quand je la rejoins dehors, j’ai mis un maillot 2 pièces et je la découvre seins nus. Mon regard est captivé par sa grosse poitrine, ses auréoles sont comme ceux de sa mère, bien noires avec de très gros tétons qui sont déjà bien durs. Voyant mon regard, Nath rigole.
Nath : « Allez Tata, on est qu’entre nous tu peux faire tomber le haut tu sais. D’ailleurs quand je suis seule, je vais nue intégral mais bon là je sais me retenir quand même. »
Me sentant alors pousser des ailes je lui rétorque.
Claudette : « Alors ne te gêne pas pour moi ma Puce, si tu en as l’habitude fais le et qui sait peut-être que j’oserais le faire aussi. » tout cela en éclatant de rire.
Nath : « Ce n’est pas que je n’oserais pas devant toi, mais David peut rentrer d’un moment à l’autre et je ne voudrais pas que pour un premier contact il te voit entièrement à poil. »
C’est à son tour de rire et finalement on opte toutes les deux, de ne garder que le bas du maillot.
L’eau est à une température exquise, 28 degrés, mon corps se détend enfin de cette chaleur étouffante mais c’est mon esprit qui lui n’est pas lui de refroidir. Voir les seins de ma petite cousine se balloter dans l’eau me donne envie d’y mettre ma tête entre et de les téter goulument. Je suis toute humide de la chatte mais heureusement avec le maillot tout mouillée elle ne remarquera pas l’effet qu’elle me produit.
On passe notre temps entre les transat et l’eau se racontant 27 ans de nos vies. Elle ayant plus de choses à me raconter que moi, ayant vécu à l’étranger. Je lui avoue qu’entre Christophe mon mari et moi rien ne va plus depuis quelques temps déjà et que je pense à me séparer de lui mais pour aller où et pour faire quoi. Pensant que j’allais pleurer elle me prend un court instant dans ses bras, ma bouche se retrouve à quelques centimètres à peine d’un nichon dont je me retiens fortement de sucer.
Aussi je décide d’être plus directe dans mes questions personnelles pour l’attirer un peu dans mes filets.
Claudette : « Ton corps est superbe ma petite Nath, je t’envie. »
Nath : « Mais tu plaisantes tata, à mon âge le tien aussi était super et j’espère au contraire d’avoir encore le tien à ton âge. »
Claudette : « Oh tu sais pour ce qu’il sert, je devrais peut-être me faire nonne. »
Nath : « Arrête de dire n’importe quoi, je suis sure qu’il y a pleins d’hommes qui te trouvent désirables encore. »
Claudette : « Oh les hommes !!! faciles c’est tous des pervers et pardon pour ton David que je ne connais pas. Mais ce n’est pas des hommes dont je parlais. »
Nath qui n’est pas née de la dernière pluie comprends très bien mes sous-entendus mais ne se débinent pas pour autant et avec un large sourire me réponds.
Nath : « T’inquiètes Tata, si une femme te plait, il n’y a pas de raison qu’elle ne craque pas sur toi, si elle aime cela aussi. »
Je pose délicatement une main sur sa cuisse et la caresse lentement.
Claudette : « Tu es trop gentille ma nièce. Tu le savais que j’étais bi ? »
Nath : « Pour tout te dire, je m’en doutais depuis très longtemps en effet, tu étais la seule à ne pas me faire la morale quand je sortais avec des filles pendant mon adolescence. Et j’en ai déduit que tu n’étais pas non plus indifférente aux charmes féminins. »
Me voilà en partie soulager pour la suite de mon plan, en espérant malgré tout qu’elle ne se doutait de rien pour sa mère et moi.
Claudette : « Et les garçons alors ? Ne me dis pas quand même que David est le premier ? »
Elle éclate de rire en m’affirmant qu’elle n’a en fait aucune préférence entre les deux sexes. Qu’elle fréquence des garçons depuis qu’elle a 20 ans et que David est au courant pour ses penchants lesbien et qu’il ne la juge pas pour cela bien au contraire, le tout avec un clin d’œil des plus coquins. Je fais semblant de jouer la fausse indignée !
Claudette : « Non !!! ne me dis pas que vous faîtes des plans à 3 ? Si ton père l’apprend il en meurt tellement il est coincé du cul. »
Nath éclate de rire et entre deux fous rires.
Nath : « Ben quoi il n’y a pas de mal ! moi je peux combler ma passion pour les deux sexes et David a 2 femmes rien que pour lui, le fantasme de tout mec. Il ne risque pas de se plaindre. Mais je te rassure c’est hyper rare, on a dû le faire 3 fois depuis 2 ans que l’on se connait et une seule fois depuis le mariage, alors ne nous fais pas passer pour de gros pervers. »
Claudette : « Oh non ma chérie, pas avec moi. Vous avez bien raison d’en profiter. Dommage que Christophe n’ait jamais été comme ton David. »
Ma main insiste encore un peu sur sa cuisse et je ne sais pas si mon esprit me joue des tours mais il me semble que ses tétons pointent légèrement alors qu’on est séchées depuis un moment. Mais je cesse de rêvasser quand j’entends les graviers crisser, une voiture est en train de se garer. Nath me dit que c’est David alors par pudeur mais un peu à contrecœur j’enfile le haut de mon maillot ainsi qu’une nuisette de place large mais transparente.
Quand David ouvre la porte vitrée de la véranda et nous rejoins sur la terrasse, il a un énorme bouquet à la main. Nathalie se jette à son coup pour le remercier de cette attention et lui taquin qui lui réponds.
David : « Mais ce n’est pas pour toi mon cœur, c’est en l’honneur de ta Tata dont tu me rabâches les oreilles depuis hier soir. »
Nath fait semblant d’être offensée puis le traite de charmeur et le trouve mignon de me faire cette gentille attention. Je balbutie un simple « merci » surprise de cette gentillesse inattendue.
David : « Ce sont des fleurs provençales que vous n’avez pas l’habitude d’avoir chez vous. Vous le garderez chez Fanfan mais cela fanera vite malheureusement. »
Claudette : « Merci David, je suis très touchée par votre attention, nous qui ne nous connaissons même pas. »
David : « Oh vous savez moi depuis hier, je sais tout de vous, Nath était intarissable sur sa Tata. Tata Claudette pour ci, Tata Claudette par-là, hier c’est comme si vous étiez déjà parmi nous. Elle s’est reproché mille fois de ne pas avoir fait le rapport quand elle a vu le texto signe Claudette. »
Nath : « Arrête de faire l’idiot, imbécile. Tu exagères comme tout bon méditerranéen que tu es. J’ai dû y faire allusion à peine deux fois. »
J’espère malgré tout qu’il ne sait pas TOUT de moi et que Nath a un peu retenu sa langue surtout si elle lui a avouée savoir que j’aimais les femmes. Mais bon j’espère qu’aucun des 2 ne se doute que j’aime DOMINER des bien plus jeunes que moi.
Nous prenons un apéritif dehors mais le temps devient très rapidement orageux et sans y faire attention, une énorme averse s’abat sur nous. Nous avons à peine le temps de rentrer à la maison que Nath et moi sommes trempées de la tête aux pieds. Je ressemble à une serpillère tellement mes cheveux dégoulinent sur moi. Avec Nath on rigole malgré tout de ce petit moment de panique. Mon maillot trempé ne peut cacher à David le fait que mes gros tétons pointent. Je vois bien à son regard qu’il me mate parfois mais cela ne me gêne pas, bien au contraire.
Vu le temps, il est décidé que nous mangerions dans leur grande salle à manger Gentiment pendant qu’il va préparer le repas et la table, Nath me tend des affaires de toilettes afin que je puisse prendre une bonne douche. Comme j’ai envie de lui dire de m’accompagner mais le fait que son mari soit là m’en empêche. Heureusement que dans mon sac, j’avais prévu de prendre une tenue de soirée. Une fois dans la salle de bain, en plus en bonne perverse, j’ai fouillée les sacs à linges sales et j’ai pu renifler 2-3 strings bien odorants ce qui a décuplé encore plus l’envie de venir brouter sa chatte. Sous la douche, je n’ai pas pu me retenir et je me suis caressée en pensant aux gros seins de ma p’tite cousine. Je me suis retenue de me faire jouir car j’ai eu peur de trop partir dans les vocalises et qu’ils m’entendent.
Une fois bien rincée et séchée, j’enfile la tenue de soirée hyper sexy que j’avais apporté. Une culotte blanche en dentelle et voulant quand être provocante, je ne mets pas de soutien-gorge. Des bas blancs pour paraitre encore plus sexy et un porte-jarretelle blanc lui aussi, le tout de la marque Aubade. Par-dessus, une robe légère blanche, mélange de coton et de lin, que j’échancre le plus possible.
Quand Nathalie me voit sortir ainsi elle ne peut pousser qu’un sifflement d’admiration.
Nathalie : « Et bien Tata !!! Que tu es sexy, je n’étais pas au courant que c’était une soirée blanche ce soir. » me fit-elle dans un grand clin d’œil.
Et moi je prends mon air le plus innocente possible.
Claudette : « Ah bon tu trouves que cela fait trop sexy et trop osée ? Je peux me changer si c’est gênant. »
Pourvu qu’elle ne dise pas oui car je n’ai rien d’autres à me mettre ce soir.
Nathalie : « Non, non reste comme tu es. Tu as raison de vouloir te faire belle à ton âge, bon alors par contre tu vas m’obliger à mettre une jolie tenue aussi moi qui avait prévu un simple short et T-shirt. »
Claudette : « Ne t’embêtes pas pour moi, tu seras toujours sexy avec n’importe quel vêtement. »
Il me semble qu’elle rougit légèrement et me claque un petit baiser sur la joue et me disant que je suis toujours autant gentille avec elle, ce n’est pas comme sa mère Fanfan. David lui aussi affirme que je suis très à mon avantage et me propose un second apéritif pendant que Nathalie va vite sous la douche.
David est un hôte charmant qui ne me pose pas des questions indiscrètes. Nous parlons surtout de Nathalie et je comprends qu’il en est raide dingue.
David : « Vous savez avant elle, j’ai eu une vie dissolue je l’avoue en toute franchise mais maintenant c’est terminé, elle est tout pour moi. On parle même d’avoir des enfants malgré nos âges un peu avancé et si cela ne se fait pas, pourquoi pas tenter l’adoption. »
Claudette : « Je suis très heureuse pour elle et pour vous aussi bien sûr. Vous savez qu’on a été quasiment sans nouvelles l’une de l’autre depuis très longtemps, pour moi la dernière fois elle était encore avec cette Cécile. »
David : « Si vous ne voulez pas assombrir cette soirée, je crois qu’il vaudra mieux ne pas parler de cette nana, elle risque de devenir maussade. Sortie de cette relation, elle était une vraie loque, j’ai eu du mal à lui faire reprendre confiance en elle et dans les êtres humains. »
Claudette : « Oui c’est noté. En tout cas, on voit qu’elle transpire de bonheur en parlant de vous. »
David : « Vous pouvez me tutoyer voici Claudette. »
Me sentant pousser des ailes, je veux malgré tout le pousser un peu dans ses retranchements, vu que Nath m’a avouée pour quelques trios parfois.
Claudette : « Tu as raison ! Mais dis-moi tu ne t’es pas si assagi que cela il me semble !!! Nath m’a parlé de vos plans à 3. »
David éclate de rire : « Ah celle-là elle n’a pas pu retenir sa langue. En effet mais c’est hyper rare et c’est surtout pour combler son désir bi. »
Claudette : « Mais son côté bi n’est pas fait pour te déplaire !!! »
C’est en nous voyant plier de rire que Nathalie est de retour. Elle est sublime, je suis tout en blanc et elle, elle a choisi le noir avec une robe classe, sexy et non vulgaire qui dévoile ses gros seins, vu comme la robe est échancrée. David fait le mec indifférent mais moi je suis bouche bée. Déjà que je fantasmais sur elle depuis son adolescence, là je retrouve une femme hyper sexy et glamour qui assume totalement sa part de féminité.
Je suis tellement absorbée pour Nath que je n’entends pas David me parler. Il se reprend à trois fois, il doit me prendre pour une gourde ou une sourde au choix !!!
David : « Tenez Claudette, installée vous ici. »
Il me tient la chaise galamment. Nathalie s’installe à ma gauche, tandis que David se mets face à nous. Je sens le parfum de ma p’tite cousine qui commence à m’envouter.
L’orage fait toujours rage dehors avec une v******e inouïe et quelques grêlons sont en train de tomber. Heureusement que nos voitures sont abritées. Je leur dis que ce temps m’inquiète pour le retour, moi qui en plus ne connait pas la route. Nathalie me dit de ne pas m’en faire et prenant son portable, elle téléphone à sa mère.
Nathalie : « Oui c’est moi. Je t’appelle juste pour te dire que Tata Claudette dormira là ce soir, vu la pluie et la grêle, c’est plus prudent. Allez salut. »
Je remarque que la discussion avec sa mère fût brève et surtout hyper sèche. Elle ne lui a pas laisser le temps de lui répondre en raccrochant immédiatement. Je les remercie pour leur proposition et je suis gênée de leur causer ce dérangement. David me dit que c’est normal et que de toute façon, ils ont 2 grandes chambres d’amis qui sont inoccupées, je n’aurais qu’à choisir celle qui me convient.
À cause de ce temps pluvieux, David n’a pas fait les grillades comme il était prévu. Mais il a eu le temps de préparer une grande salade de saison ainsi que du poisson frais en papillote.
De voir Nath si près de moi et si sexy, je suis obligé de tenter quelque chose car cela fait plus de 27 ans que je fantasme sur elle. Aussi pendant qu’on mange la salade et que l’on parle boulot avec son mari, je passe ma main gauche sous la table et je la pose délicatement sur la cuisse droite dénudée de Nath. Elle ne dit rien mais deux secondes plus tard, enlève ma main discrètement. C’est mal me connaître que de me croire vaincu, aussi j’y reviens immédiatement mais de façon plus ferme. Nath continue de manger sa salade sans rien faire paraître, alors je m’enhardie et je commence à lui caresser la cuisse. Le contact de sa peau m’électrise et je sens que j’ai les tétons qui commence à pointer. Ma main remonte le long de sa cuisse, au départ Nath tente de serrer les jambes mais étant toujours ferme, je les lui fais écarter sans qu’elle ne les referme. Je suis au contact de son string et oh surprise je sens qu’il est un petit peu trempé ce qui m’encourage dans mon entreprise.
David ne se doute de rien, il débarrasse l’entrée et part chercher le plat principal. Quand il est hors de vue, Nath se retourne et timidement me dit :
Nath : « Mais que fais-tu Claudette ? Arrête ce n’est pas bien, je te considère comme ma propre tante. »
Je décide de monter mon caractère dominant.
Claudette : « Mais c’est toi ma petite Salope qui m’allume avec ta tenue et de me montrer tes seins cet aprèm. Tu veux que j’arrête alors que tu mouilles avoue !!! »
Elle rougit et va pour répondre quand David ressurgit avec le poisson. J’en profite pour entrer un doigt dans sa chatte directement à travers son string. Nath sursaute et David lui demande ce qu’il y a.
Nath : « Non rien, une mouche qui m’ennuie. »
Elle aurait très bien pu tout arrêter à cet instant, mais je vois qu’elle se laisse faire. Aussi pour qu’elle éprouve de la frustration je retire de suite ma main et la remets sur la table. David retourne en cuisine pour chercher les légumes.
Nath : « S’il te plait TATA continue, maintenant que tu m’as chauffée. »
Cette petite garce n’a pas été longue à manipuler.
Claudette : « Ce n’est pas toi qui décides ma chérie mais c’est Tata, à ton tour de venir me caresser. »
Nath : « Mais je suis droitière, je ne sais pas manger de la main gauche. »
Claudette : « Ce n’est pas mon problème, obéis petite gouine. »
Nath : « T’es vraiment une vieille garce de me parler ainsi…mais Putain j’adore quand on me parle ainsi. »
David de retour ne fait pas attention que la main droite de Nath a disparue, elle a relevé ma robe et elle commence à caresser mes bas, ma peau et découvre que j’ai un porte-jarretelle. Il faut que je me concentre sur mon assiette pour que je n’exprime pas trop le plaisir qui est en train de m’envahir. Nos petits jeux durent un certain temps, Nath a voulu retirer sa main mais j’ai serré les cuisses et l’y ait emprisonnée. Elle a passée le repas à devoir manger avec sa main gauche. Finalement je l’ai libérée pour qu’elle puisse saucer son plat. Quand David se lève pour débarrasser, je me penche vers elle et lui dit :
Claudette : « Vas aux toilettes je te rejoins. »
Elle ne se le fait pas dire deux fois, David me précise que l’on va prendre le dessert dans le salon, qu’on sera plus à l’aise. Je prétexte que je dois aller dans ma chambre un court moment et file rejoindre sa femme dans les WC.
À peine franchie la porte, celle-ci est debout et me dis que je suis folle. Je la fais taire en l’embrassant avec fougue tout en caressant ses gros nichons qui m’ont tant fait fantasmer avant.
Claudette : « Ils sont bien comme je les imaginais, ferme et dur en main. Viens goûtes les miens et mordilles mes mamelons, j’adore cela. »
Nath : « T’es folle Tata !!! David va se douter de quelque chose. Juste une tétée et on repart. »
D’un ton autoritaire je lui affirme que c’est moi qui décide et que si elle veut partir vite, il faut qu’elle me promettre de venir ce soir dans ma chambre, quand David sera endormi. Elle prend le temps de réfléchir puis dans un grand sourire me dit.
Nath : « Ça marche je te le promets mais maintenant on reste sage jusqu’à ce qu’on se couche. Je ne veux éveiller les soupçons de mon homme. »
Et bien qui la croyait hyper amoureuse de lui et qui ne lui cachait rien de ses envies lesbiennes, je constate qu’elle est une bonne petite Salope cachotière.
Claudette : « Je vais me retenir mais je languis déjà ta langue experte dans ma fente. »
Nath : « Putain arrête de me parler comme cela Tata, je mouille. »
Non sans peine, on arrive sagement au salon. Dans le couloir je me suis régalée de lui palper les fesses en lui disant que j’allais me régaler de les faire rougir plus tard. Nath en a gloussée et j’ai bien compris que les fessées ne lui faisaient pas peur.
Lors du dessert, je me suis installé dans le divan à côté de David et je n’ai pas arrêtée de croiser, décroiser mes jambes. Ayant très bien mangé, on s’est contenté d’un cône glacé, accompagné d’un digestif, un bon GET27. Cette garce de Nath me regardait suçant sa glace de façon très suggestible. J’ai même vu que David lui faisait les gros yeux. Un réel besoin urgent me fait m’absenter un court moment, quand je reviens Nath parle à son homme qui me voyant revenir m’informe.
David : « Désolé Claudette mais je suis épuisé par le boulot, la chaleur de la journée et je ne vais pas pouvoir veiller tard. Je vais me coucher tôt si cela ne nous dérange pas. »
Claudette : « Mais vous êtes chez vous, je vous en prie, je vais y aller aussi. »
David : « Demain je ne serais sans doute pas là à votre réveil, j’ai été enchanté de faire votre connaissance et j’espère que vous reviendrez nous voir avant votre départ. »
Claudette : « Oh sans aucun doute, ce fût un plaisir pour moi aussi. Nathalie a trouvé une perle rare il me semble. »
Je ne peux m’empêcher d’adresser à David un clin d’œil coquin. Juste avant d’aller au lit, il me montre les deux chambres de disponible. Une est à l’étage tranquille, tandis que l’autre est mitoyenne à leur chambre et elle possède sa propre salle de bain privative. Par perversité je choisis de m’installer à côté d’eux, cela sera encore plus pervers quand je baiserai sa lesbienne de femme pendant qu’il dort juste à côté. Je vois que Nath est toute gênée de mon choix, me faisant signe derrière son dos de prendre celle du haut.
Claudette : « Non celle du bas sera parfaite. Je ne préfère pas monter 1 étage, je serais capable de tomber dans les escaliers si je dois descendre dans la nuit ne connaissant pas bien votre maison. »
Nath me lance un regard furieux, elle ne perd rien pour attendre si elle croit qu’elle peut me faire des gros yeux.
Il est à peine 23 h quand on se quitte. David me fait une simple bise mais il me semble que sa main s’attarde un peu trop longuement dans mon dos, comme s’il vérifiait si je porte un soutif…mais je dois me faire des idées. Nath ne m’embrasse pas et me fait juste un signe de la main en me souhaitant une bonne nuit. Avec cette excitation je n’ai absolument pas sommeil, j’allume la télévision pour mater un programme insipide en attendant la venue de Nath.
Très vite il me semble détecter un bruit provenant de l’autre chambre. Les murs sont épais mais j’ai bien l’impression qu’ils sont en train de baiser. Il n’avait pas si sommeil que cela le David alors je tente de coller mon oreille contre le mur mais impossible de distinguer quelque chose. N’y tenant plus, je sors discrètement de la chambre et je vais jeter un coup d’œil dans le couloir. Pur hasard ou pas, leur porte n’est pas entièrement fermée, je peux facilement voir ce qu’il se passe. David a le dos tourné et ainsi il ne peut pas me voir. Nath est totalement à poil, à 4 pattes à même le sol. Elle se fait défoncer la rondelle et elle halète si fort, qu’on voit qu’elle aime bien se faire enculer. David n’y va pas de main morte et il se plait aussi de l’insulter.
David : « T’es une petite Salope d’allumeuse, tu crois que je ne t’ai pas vu jouer avec le cône de la glace à faire comme si suçais ma bite. Et en plus devant ta chère Tata. »
Nath : « Oui punie moi, je suis ta grosse Chienne. Encules-moi fort, j’aime sentir tes couilles qui tapent sur mon cul. »
Je suis en transe de les voir ainsi et je commence à me caresser les seins, mais il faut que je fasse attention à ne pas faire de bruit. David s’active dans sa rondelle, on voit qu’elle a l’habitude d’encaisser fort et elle jouie du cul, il n’y a pas de doute là-dessus. David lui affirme qu’il va jouir.
Nath : « Non pas dans mon cul !!! viens que je te suce et jouis au fond de ma gorge de Pute. »
David : « T’aimes ça Salope goûter ma bite qui sort de ton cul ? »
Nath : « Oh oui cela me rend dingue d’être aussi cochonne. »
Cela fait longtemps que je n’avais pas vu, un couple en action, à part bien sur dans les films de cul que je matte, mais je suis impressionné par la grande quantité de sperme qui sort de sa belle et grosse queue. Nath ne peut pas tout avaler d’un coup et du foutre coule le long de son cou jusqu’à ses seins. Elle se les masse avec et aspire avec ses doigts le sperme de son homme. Il la regarde vicieusement et lui donne une bonne claque sur ses miches.
David : « Putain ! t’es de plus en plus Salope Nath. Et dire que tu m’as demandé de laisser la porte ouverte, toi t’avais envie que ta tante nous entende on dirait ? »
Elle prend son air le plus innocent possible et d’un grand rire lui réponds :
Nath : « Moi ??? non je n’oserais pas voyons !!! »
Putain c’est elle qui a tout manigancé en étant sure que j’entendrais et que j’aurais le vice de venir les regarder. Nièce ou pas nièce, je vais en faire ma bonne Soumise, j’ai l’habitude de ce genre de nana faussement timide qui cache son jeu. La dernière que j’ai matée se prénommait Alice et c’est devenu la plus cochonne femme que je connaisse. Sans qu’aucun des deux m’ait vu, je retourne dans ma chambre en laissant moi aussi la porte ouverte pour sa future venue dans la nuit. J’ai du mal à trouver le sommeil, le réveil indique 1h et toujours personne, si elle ne vient pas, elle va me le payer demain matin étant que toutes les 2. Je me sens partir, j’ai beau lutter mais la fatigue est plus forte que tout et je m’endors.
Soudain je sens une main qui me secoue lentement, j’ai un peu de mal à réaliser où je suis. Il me faut une dizaine de seconde pour me rappeler que je suis chez Nath. En me retournant le réveil indique 2h30 et je la vois dans une nuisette noire hyper sexy.
Pour ma part, ma nuisette est blanche. D’habitude je dors nue mais sachant qu’elle allait venir j’avais revêtu cette noisette sexy car il est important à mes yeux de lui plaire et de lui donner envie de moi.
Mais je ne veux pas jouer à la tata gentille alors je prends de suite une voix grave et sévère.
Claudette : « Il t’en a fallu du temps Salope ! »
Nath : « Oui excuse mais là je suis sure qu’on sera tranquille, je suis retournée dans la cuisine lui chercher un verre d’eau et j’ai mis un somnifère pour qu’on ne soir pas déranger si l’on vient à faire trop de bruit. J’ai attendu 2 heures qu’il fasse bien effet pour venir. J’avais mis la sonnerie de mon téléphone et il n’a pas bronché quand cela a sonné. »
De suite je m’apaise et je constate qu’elle a pensé à tout. Alors qu’elle s’approche de moi, je lui envoie une légère gifle qui l’a fait sursauter plus de surprise que de douleur. Elle me demande pourquoi cette gifle.
Claudette : « Espèce de petite garce, tu m’as bien allumée tout à l’heure dans le couloir en te faisant baiser comme une vulgaire Chienne par ton mari. »
Elle sourit et avoue qui oui elle l’a fait exprès. Alors elle s’approche lentement et me donne un premier baiser chaste. Elle retire sa tête mais je l’empoigne par les cheveux et nous échangeons un second baiser bien plus profond et intense. Au départ nos corps s’entremêlent de façon érotique, nos seins sont plaqués les uns sur les autres et c’est seulement nos langues qui sont en action. Puis je quitte ma nuisette et commence à vouloir la dominer.
Claudette : « Allez !!! j’ai envie de ta langue sur mon corps. Descends et va de mes seins à mon cul. Tu ne t’arrêtes que quand je te l’ordonne. »
Nath : « Avec plaisir Tata !!! Tu aimes dominer pas vrai ? »
Claudette : « Évidemment, les femmes sont pour moi de simples proies et toi tu es dans mon collimateur depuis si longtemps. Tu hantes mes nuits. »
Nath : « Merci Tata, même si j’aime les femmes aussi, sache que tu es ma première Mature. »
Claudette : « Allez, ferme-là et montres-moi tes talents de brouteuse de minou. »
Elle m’a amenée au septième ciel en un temps record et pourtant j’en ai eu des langues qui sont passées entre mes cuisses. Rapidement c’est moi qui est enfin pu goûter à son odeur, elle est enivrante et sachant que David dormait profondément elle s’est lâchée et à exprimer ses jouissances d’une façon très salace.
Nath : « Hummm oui ne t’arrête pas ma salope de TATA. Tu suces mieux que Cécile et pourtant elle était ma championne…Oh Putain j’aime ta langue dans mon trou du cul…Je suis ta chose…Fais de moi ta p’tite PUTE… »
Claudette : « Mais c’est bien mon intention ma chérie, tu m’appartiens tu m’entends ? je t’interdit de voir d’autre femmes tant que je reste ici. »
Nath : « Oui je suis à toi et à tes ordres TATA. »
Je sors du fond de mon sac le gode ceinture cachée dans un recoin et je lui baise ses deux orifices. 27 ans de frustration fait que je l’ai déglinguée et déchirée comme rarement je l’ai fais avec une autre femme. Après deux heures de baise sans aucune retenue, nos corps transpirant sont malgré enlacés. Avant qu’elle retourne dans sa chambre, je lui ordonne de venir prendre une douche avec moi et malgré nos fatigues mutuelles nous nous faisons encore du bien.
Quand on se quitte il est presque 5 h du mat et la nuit risque d’être courte. Je sais que David doit partir bosser vers 8h30. Aussi quand elle s’apprête à me quitter, je lui donne un dernier ordre.
Claudette : « Demain tu me laisses dormir. Viens me réveiller à 10 h avec ta langue dans mon minou. »
Nath : « À vos ordres Tata Claudette. »
Le lendemain quand je me réveille il est 11 h et aucune trace de cette petite Salope. Je me dirige avec la même chemise de nuit dans la cuisine pour lui passer une soufflante mais personne. Au lieu de cela une simple enveloppe est posée sur la table avec écrit dessus : « Pour toi Claudette. »
Si je ne l’avais pas ouvert, je ne serais pas là à vous raconter cette histoire. Sachez juste que cette enveloppe allait changer à tout jamais ma vie. Mais ça c’est une autre histoire.
À suivre…
1 year ago
