handporn.net
La Mutation

La Mutation

Estelle et Christian BROESCHLING est ce que l’on peut appeler un couple plutôt tranquille. Tous les deux au début de la quarantaine et mariés depuis 16 ans, ils sont les heureux parents de deux enfants pré-adolescents (Pierre et Sarah) sans histoires et travailleurs à l’école.

Christian, un beau colosse barbu de 1.92 m, le teint mat et + de 100kg de muscles, est un ancien militaire de carrière et un ex-sportif de haut niveau. Bien que massif physiquement et le visage assez bourru, c’est un homme d’une grande gentillesse, attentionné et serviable mais aussi d’une discipline exemplaire.
Malheureusement suite à un accident lors d’une démonstration de sport de combat (Rupture des ligaments du genou et arrachement du tendon d’Achille) le brave homme a dû reconsidérer toute sa vie professionnelle et ses priorités en se reconvertissant dans la maintenance, la mécanique et les espaces verts pour le compte des services techniques de leur petit village.

Estelle, elle, à l’inverse est bien plus menue, et les voir ensemble dans la rue cote a cote est tout à fait atypique voir même comique. (Un colosse et une petite puce)
Du haut de ces 1.58m et pauvres 50 kg, c’est une jolie petite brune à lunettes, au teint clair et soyeux, une coupe carrée et de grand yeux vert ou l’on s’y noie.
Malgré ses 2 grossesses, son physique est encore très désirable : ses mains, ses jambes et ses hanches fines, ainsi que sa jolie poitrine en forme de pommes (90b), sont ses atouts majeurs. Ajoutons à cela un sourire permanent et un charmant petit nez retroussé ; la belle gagne facilement une dizaine d’année sur la réalité du temps.
Bien évidemment, outre ses charmes physiques indéniables, madame Estelle a aussi un caractère bien trempé et déborde d’une énergie communicative.
Surnommée par son mari « la petite pile électrique » ou « la particule radioactive », elle mène à la baguette son homme et la famille dans leur foyer ; tout en gérant sa carrière d’experte comptable.

Bref, une famille modeste et typique de France, avec ses joies, ses bonheurs, ses difficultés et ses peines selon les méandres et les caprices du quotidien et de la vie.

Unis et travailleurs, ils résident dans la jolie commune de Hirtzfelden à côté de la Centrale Energétique et Nucléaire de Fessenheim (CENF) dans le Sud Alsace, où Estelle travaille d’ailleurs.
Partageant leurs loisirs avec leurs proches et quelques amis (ou collègues de travail), ils ne font que rarement des excès financiers pour s’offrir un restaurant en famille ou pour leurs vacances d’été.

Bref une vie bien rangée et une routine bien établie jusque dans leur chambre à coucher (câlin 1 à 2 fois par mois, le samedi ou le dimanche matin, s’abstenant même de toutes fantaisies érotiques = Triste et pathétique relation). Sans parler de la présence constante des enfants, les contraintes associatives et de leurs métiers respectifs qui occupent la majorité de leurs soirées et vie de couple.
De plus, physiquement, cela ne doit pas être simple non plus : leur différence de gabarit remarquables doit être une contrainte ou une torture pour la belle et pauvre Estelle. Imaginez un instant : la simple position du missionnaire : son petit corps fluet et frêle écrasée sous la masse de son mari et bourreau lorsque celui l’éperonne de son chibre épais et puissant jusqu’au fond de son être. Ou alors en levrette : pourfendue et déchirée en 2, lorsque les grandes mains saisissent ses hanches afin de venir empaler son corps gracile jusqu’à la garde de sa poutre et lui arracher des râles ou des gémissement dignes d’une a****le à l’agonie.
(Avis perso : elle doit prendre cher la petite s’il est proportionné partout pareil…)
Mais bon, chacun plait à qui le veut… et leur couple semble satisfait et solide ainsi.

Pourtant dans cette harmonie et cette monotonie passive, leur quotidien s’en voit bousculé. En effet, en ce jour de 2017, suite aux dernières décisions gouvernementale, la vie ou plutôt la fatalité va mettre à mal leur union et leur sérénité.
Dans les hautes sphères parisiennes de l’économie et de l’industrie, il a été décidé l’arrêt définitif de la « CEN de Fessenheim » et le reclassement ou la mise au chômage du personnel y travaillant. Impactant bien évidement l’économie et la vie de la région mais surtout celles de ses habitants et de leurs familles.

Estelle, cadre supérieure, qui travaille d’arrache-pied en qualité comptable pour la « CENF » et assure en grande partie les revenus de la famille, voit en l’espace de quelques semaines son monde s’écrouler…
Depuis ces annonces politiques, les manifestations écologiques et les réunions syndicales et patronales se multiplient ; mais malheureusement, les associations pour la défense des emplois ne font, au fil du temps, plus le poids face à la situation laissant le chômage et la précarité s’approcher à grand pas.

Toutefois, dans son malheur, une lumière d’espoir existe mais implique aussi de grands sacrifices. Après moultes discussions animées et disputes avec son mari Christian, quelques larmes et mais aussi de moments tendres dans les bras l’un de l’autre, Estelle accepte par dépit une offre de délocalisation et une mutation proposée par sa hiérarchie.
Durant la semaine, comme un crève-cœur, elle quitte son foyer afin de pouvoir continuer à travailler et maintenir l’équilibre financier de la famille.

Ainsi, chanceuse dans son malheur, elle rejoint les équipes de la Centrale Nucléaire de Nogent sur Seine dans le département de l’Aube (La CENNS) à 400km de chez elle et qui lui permet (moyennant 5h de route chaque vendredi soir) de rentrer voir son mari et ses enfants pour le Week-end avant de repartir le dimanche pour la reprise du lundi matin.

Coupée de son cocon familial, et isolée dans petit appartement studio en guise de logement de fortune, elle s’adapte à la situation et à son travail. Malgré la technologie, les téléphones et internet, la distance et le manque lui pèse chaque jour et c’est avec un plaisir non simulé qu’elle s’empresse de rentrer chaque semaine afin de les retrouver.

De plus, autre bénéfice de cet éloignement forcé : le feu et la passion entre elle et son mari Christian se ravive progressivement. Profitant à présent du moindre moment de tranquillité pour se redécouvrir et se reséduire comme lors leurs jeunesses presque oubliées.
Chaque Week-end (ou presque), à en perdre la tête, à en tremper les draps, Estelle et son homme se livre l’un a l’autre dans leur intimité la plus simple. Jouissant, gémissant et pleurant parfois de trop de sensations, la belle nymphe s’offre sans retenue aux fantasmes et aux plaisirs du membre viril et majestueux de son mari qui profites de son corps fragile, disponible et surtout ardent de mille vibrations.
Sur la table de la cuisine entre les assiettes, à 4 pattes sur le tapis et le canapé du séjour ou même sur le capot de la voiture encore chaud dans le garage, dès que l’opportunité se présente, le beau colosse joue de tous les charmes de sa femme si désirable et lui fait gouter sa virilité afin de l’emmener dans un monde de jouissance.

Un mal pour un bien ! Un éloignement professionnel pour un rapprochement personnel et intime. Estelle et Christian sont heureux de cet amour partagé et du bonheur retrouvé lors de ces 2 jours en communs et en famille.

Toutefois, chaque dimanche soir, malgré une certaine fatigue, le bas ventre brulant et défoncé, la bouche pâteuse, les jambes flageolantes et le cœur serré, Estelle repart affronter la dure réalité du monde du travail.

Par chance, son arrivée au sein de la nouvelle structure a été des plus amicales. Ses collaborateurs de la CENNS étant eux aussi impactés (mais à moindre échelle), par les mesures gouvernementales et d’autres restructurations, lui ont facilité sa prise de fonction et son intégration parmi les nouvelles équipes dans les locaux du site.

En l’espace de 3 mois, parfaitement intégrée et surqualifié par rapport à son poste, Estelle a même été promue en tant que responsable financière de sa division et dirige à présent un petit groupe de 2 jeunes collaborateurs (Kéfir et David) avec une assistante (Tania), dont elle s’est lié d’amitié et partage ses journées et même quelques petites soirées en semaine.
Evidemment, comme dans toutes entreprises, certains hommes (quelques soient leurs âges ou leurs statuts) tentent aussi des approches plus intimes et cherchent son amitié à des fins plus personnelles que professionnelles.
Voyant son joli minois, son petit corps svelte, ses charmes séduisants et surtout sachant sa solitude hebdomadaire, il ne se passe pas une semaine sans qu’un nouveau prétendant ne la harcèle pour l’inviter à dîner ou à sortir partager un verre. (Espérant plus si affinité).
D’abord amusée de toutes leurs flatteries et compliments, puis assez vite lassée de leurs attitudes et machisme, Estelle les reboute finalement un par un, laissant son caractère faire le ménage dans ses courtisans et par la même occasion s’attirant quelques hostilités de la part des plus virulents d’entre eux (y compris son supérieur hiérarchique : Monsieur LUCAS, misogyne et prétentieux).

Travailleuse et solitaire, la belle est souvent sollicitée par sa direction afin de justifier les résultats de son département. Malheureusement, parfois, des erreurs ou des manques de données lui font passer de mauvaises journées et le soir lors des débriefings, elle subit avec son équipe les sarcasmes déplacés de son tortionnaire de chef.
Un jour de Juin, furieuse et agacée contre elle-même de par une nouvelle erreur professionnelle mais surtout par son manque de charisme pour répondre à certaines attaques sexistes, elle se promets en elle-même de prendre sa revanche et lui prouver par son travail, qu’une femme est toute aussi compétente et sans doute même plus rigoureuse que lui dans son domaine.

Le jour J arrivant à grand pas, elle s’investi corps et âme dans la préparation de son exposé. En oubliant même sa vie privée, ses déjeuners et sa santé, elle passe quelques nuits blanches et de longues journées stressantes de préparation afin de mettre au point son bilan semi-annuel. Enfin prête, conquérante et sûre d’elle, Estelle se prépare à affronter les hauts administrateurs du directoire mais aussi toute sa hiérarchie.
Sur les conseils de son mari (par téléphone la veille) et sur les encouragements de son équipe, la belle enfile son armure de guerrière.
Devant son miroir, tandis qu’un trait de rouge à lèvre souligne son sourire, et qu’un fil l’eyeliner approfondi son regard. Estelle se glisse dans sa robe la plus stricte possible pour leur donner une leçon. (Robe qui malgré son aire austère et sobre est à la fois très sexy et laisse apercevoir un bien joli et tendre décolleté).
Dossiers en main, sur l’estrade et durant une demi-heure, elle expose sans faiblir son bilan. Devant les regards captivés par ses courbes (économiques autant que physiques), elle déroule les nouvelles perspectives de son département laissant son auditoire stupéfait de tant de rigueur et d’efficacité, non sans oublier une pointe d’humour dont elle a le secret.

Enfin, la grande réunion terminée et tous les participants réunis dans un salon pour un lunch dinatoire bien mérité, Monsieur LUCAS revient vers elle et la félicite publiquement pour son travail accompli mais également sa tenue vestimentaire qui selon lui devrait être ainsi quotidiennement ou même plus libérée. Bien évidemment, grand salopard qu’il est, il ne résiste pas à s’attribuer les mérites d’une partie de son bilan pour se faire valoir auprès de ses éminents collègues.

La soirée se finissant, Estelle, épuisée nerveusement mais ravie de sa prestation, rentre enfin chez elle, retire ses talons puis s’écroule sur son canapé sans même prendre le temps de se déshabiller ou se démaquiller.
Au petit jour, le soleil pointe à travers la persienne du volet et réveille la belle endormie. Il n’est que 5h25 du matin, et la tête encore embrumée la jeune femme se lève pour se changer.
Jupe, chemisier, collant et sous-vêtements, elle froisse le tout dans son panier à linge avant de se glisser sous une douche réparatrice et brulante tout en repensant à sa victoire personnelle de la veille.

Sur sa peau soyeuse, les filets d’eau la caressent. Dans ses cheveux et sur ses épaules, les bulles de savons glissent et recouvrent les courbes délicates de sa féminité. Fermant les yeux et se laissant porter par le bruit de l’eau, Estelle a le sourire aux lèvres et s’abandonne à sa flânerie onctueuse. Doucement, ses mains suivent les rivières qui s’écoulent le long de son corps. De son front au creux de son cou, de ses épaules fines à sa poitrine, sur son ventre et dans le creux de ses reins, l’eau la réchauffe et lui fait du bien.
Dans son dos, sur ses fesses et le long de ses jambes, la brulure de la cascade lui donne un doux frisson qui réveille son corps endormi. Ses doigts agiles et délicats vont et viennent sur sa peau ; effleurant le tour de ses seins et jouant sur ses courbes, ces caresses stimulent doucement ses sens et un exquis désir nait au creux de ses reins et dans son esprit.
Comme dans un songe, contre le carrelage encore froid, pour garder un peu d’équilibre, la paume de sa main s’appuie un moment tandis que ses doigts glissent entre ses cuisses et viennent enjôler son intimité frémissante.
Contre le mur et la paroi de verre, au milieu de sa vapeur d’eau chaude, le souffle court, le plaisir monte progressivement et emporte la belle nymphe qui se laisse glisser au sol pour savourer son instant impudique et solitaire.
Le pommeau de douche en main, les ricochets de perles de pluie savamment orientée vers son ventre et son antre féminine et intime, Estelle se laisse aller à son imaginaire. Touchant et pressant ses seins tendus, ouvrant délicatement le compas de ses cuisses, elle arrose avec finesse sa poitrine et son corps papillonnant tandis que ses phalanges titillent son clitoris et ses lèvres au travers de sa fine toison jusqu’à l’arrivée de l’orgasme salvateur.

Epuisée et assise au fond de sa douche, le ventre encore crispé de spasmes et sa main posée sur son triangle majestueux, l’eau de la cascade se refroidi progressivement et l’oblige à revenir dans la réalité glauque de son studio et de sa vie.

Il est 5h55. Inutile de vouloir se rendormir et inutile de se précipiter. Le matin est là, le soleil rayonne sur la ville. La machine à café distille son breuvage pendant que la dame s’habille et camouffle sous son maquillage ses joues rosies par son forfait lubrique.

Au bureau, en avance, elle s’installe comme à son habitude et repense à sa réussite de la veille. D’humeur taquine, elle pense aussi son mari, si loin et si proche à la fois. Nous ne sommes encore que mercredi, mais elle a hâte de lui raconter ses exploits et aussi pourquoi pas le retrouver sous une douche pour revivre un moment intense à 2.
Durant la journée, le patron de M. Lucas, la félicite avec son équipe pour leurs engagements et la prestation rendue. Et une fois n’est pas coutume, il leur accorde même le bénéfice de quitter le bureau en avance ce soir afin de récupérer des heures supplémentaires effectués durant la dernière semaine.
Heureux de cette nouvelle, les 4 collaborateurs passent la journée sous le signe de la joie et s’organise une soirée entre amis avec une sortie au restaurant pour fêter leur petite victoire.

La soirée avançant, chacun parle de leurs vies, leurs loisirs et de leur plaisir à travailler ensemble. Le temps d’une soirée, le petit groupe en oublie leurs différences (sociales ou d’âges), les convenances protocolaires et la hiérarchie qui les unies. Ils ne sont qu’un groupe d’amis un peu ivre et festif.
Kéfir (23 ans / 1m75 et d’origine tunisienne, assez fin et sec de corps, de profonds yeux noirs ainsi qu’une barbe typique de sa religion islamique) et David (26 ans /1.80m sportif et musclé, les yeux vert et cheveux long rasta), sont les 2 subalternes directs de la belle Estelle. 2 hommes aux physiques radicalement opposés de ce qu’elle a déjà connu et aux autres collègues masculins en costume qu’elle côtoie régulièrement.
Tandis que Tania à l’inverse est plus « standard », certes plus âgées que les hommes, c’est la jolie blonde du groupe et même la nymphette du pôle Compta-Energie.
Comme Estelle, Tania n’a pas de complexe particulier avec son corps, 32 ans, mesurant 1.65m pour 67 kg, cheveux long et blond couleur paille, elle sait jouer et valoriser la rondeur de ses charmes pour aguicher les hommes lorsque son envie lui prend. Sa lourde poitrine de 95 D et ses hanches généreuse sont ses armes ultimes auprès de tous les mecs du département et en particulier du jeune David avec qui elle flirte de temps à autre dans les couloirs.

Bref, tous ensemble, ils parcourent la ville et les quartiers pittoresques. Ils trinquent dans un ou deux bars puis vont danser dans un entrepôt désaffecté transformé en boite de nuit. En clair : Ils s’amusent, oubliant le temps et la sagesse de leur statut.

Les 2 hommes du groupe, bien plus jeunes et vigoureux, liés et complices comme « Dupond et Dupont », profitent de cette proximité festive pour faire boire les femmes et profiter de leurs charmes dans les lumières stroboscopiques des pistes de danses.
Vers 22h00, chacun fatigué et repus de cette longue journée. Tous s’en vont pour rentrer chez eux. Malheureusement la belle Estelle découvre avec tristesse la crevaison de sa roue de voiture.
Tania et David, en couple (bien qu’illégitime) lui propose de loger chez eux pour la nuit, invitant par la même occasion Kéfir pour ne pas le laisser seul.

N’ayant que peu de choix vu son ivresse et repoussant la réparation de son pneu au lendemain, elle accepte afin de ne pas rentrer seule de nuit à travers les rues lugubres et sombres de la ville.

Dans l’appartement de David, finement décoré, les 4 amis plaisantent encore avec un dernier café et un verre. Entre taquineries et plaisanteries plus ou moins grivoises, toutes et tous se laissent bercer par la musique et l’ambiance conviviale du moment.
Comme implicitement prévu, sur le canapé, Tania et David sont les premiers à s’enlacer, tandis que Estelle évite poliment les avances et les mains baladeuses du beau Kéfir qui glissent ses doigts sur les plis de sa robe, remontant ses cuisses ou effleurant les bretelles de ses épaules. Troublée entre l’envie, l’ivresse et la raison, elle finit par s’enfuir dans la cuisine prétextant d’aller ranger la petite vaisselle afin de calmer son corps et son esprit dans ce climat libertin qui doucement dégénère.

Cependant, sous les encouragements et les rires du couple déjà à demi nu et en plein préliminaire, Kéfir prend son courage à deux mains et rejoint sa patronne afin de forcer le destin et retenter sa chance sachant qu’elle n’est pas totalement insensible à ses avances.

Estelle, dans la cuisine, a moitié perdue et fatiguée, s’active sur les verres, les bols et les tasses dans l’évier, essayant de se raisonner et calmer les frissons qui animent involontairement ses reins, son ventre et son esprit.
Les mains dans l’eau de vaisselle, se sermonnant mentalement de la situation ambigüe et repensant à son mariage, Estelle sent soudainement contre son dos la présence de son jeune et viril collègue qui vient se blottir a elle et la bloque contre le plan de travail.
Bien qu’elle se refuse mentalement à son attouchement, perdue dans sa réalité burlesque, son corps et ses gestes désordonnés ne le repoussent pas totalement et Kéfir profite de sa passivité pour glisser délicatement sa main sur ses hanches et dans l’échancrure de sa robe avant de venir lui saisir un sein au travers de son soutien-gorge de dentelles.
Appuyée vers l’avant, Estelle est hypnotisée par ses nouvelles sensations et laisse la main étrangère ouvrir sa robe et palper sans pudeur son ventre et sa poitrine tendue. Dans un murmure a peine audible, elle tente de refuser et le sermonner. Sans convictions, elle se tortille fébrilement pour se dégager mais ne parvient qu’à renforcer l’excitation de son ami et soupirant.

Au-dessus de l’évier, les mains posées sur le rebord, elle maintient son équilibre pendant que les baisers chaleureux et tendre investissent son cou, sa nuque et ses épaules doucement dénudées. Kéfir, collé à son dos, libérant de son écrin de dentelles son sein et ouvrant les pans de sa robe, bande comme un fou de voir sa jolie cheffe si docile et disponible devant lui.
De sa main libre, sa paume caresse et flatte sa nuque, son dos et les hanches de sa proie. Dans cette proximité interdite, Estelle perd doucement la raison sous la chaleur de ses baisers et ses doigts si délicats. Oubliant la jeunesse de son bienfaiteur et leurs 20 années d’écarts, elle se laisse maintenant faire et soupire par tant de douceur.

Soudain, la robe s’ouvre totalement et libère la belle poitrine de la miss tandis que Kéfir remonte sur ses reins les plis de tissus pour dévoiler son petit fessier si agréable, doux et blanc.
Courbée sur le plan de travail, la robe enrouler et chiffonner sur ses reins, Estelle lutte un instant en imaginant sa nudité partielle et la scène, lui demandant encore d’arrêter et implorant la raison, mais son corps la trahis également.
Kéfir dans son dos, vigoureux et désireux, flatte ses fesses et ses cuisses tout en lui imposant l’immobilité face à son reflet dans la fenêtre de cuisine.
Ainsi offerte, elle sent la paume d’une main soupeser et tenir son sein lorsque celui -ci ne pince pas son téton dressé et sensible. Dans son ventre et ses reins, la chaleur augmente tandis que son souffle s’accélère. Dans la nuit, dans le mélange d’alcool, d’interdit et de désir, la belle femme tremble doucement de voir et savoir que la situation lui échappe, mais surtout qu’elle en a aussi intimement envie.

Soudain, dans un bruit strident et rauque à la fois, le tissu de sa culotte se déchire et le frêle lambeau d’étoffe glisse jusqu’à sa cheville, offrant la vision de son cul a son jeune amant.
Dans son dos, les fesses nues, Kéfir admire la chute des reins de la belle et petite femme qui tremble et supplie devant lui. A genou un instant, il vient embrasser son scion tandis que sa main glisse maintenant sur la fentine humide de la belle.
Dans un soupir et fermant les yeux pour savourer, Estelle se laisse aller à l’envie, oubliant son mari, son statut, sa situation et son âge.
Les caresses intenses et les vibrations naissantes dans son intimité lui font rendre les armes. Ne pouvant plus se retenir, elle laisse échapper de profond soupir lorsque la langue de son jeune amant vient déguster son fruit tendre et juteux.

Oubliant le temps, le lieu et l’espace, Kéfir et Estelle commence une danse sensuelle et sexuelle des plus magnifique.
Contre l’évier, en équilibre et sur la pointe des pieds, la belle se cambre et ouvre ses jambes pour offrir sa croupe à son étalon. Sans se faire prier et voyant son appel au désir, Kéfir extrait son puissant sexe de son caleçon et le présente contre l’intimité de sa patronne.
Le frisson du contact la crispe, son souffle se bloque et l’envie l’emporte.
La tenant par la taille et guidant son pieu vers son ventre, le jeune magrébin profite de ce moment surréaliste. Comme pour lui faire comprendre son envie de domination, il glisse doucement son pieu large et veineux sur la chatte étroite de la belle, puis forçant l’entrée et ses petites lèvres, son pilier brulant investi et ouvre le passage.
Estelle, offerte et haletante, ne dis rien mais ressent chaque sensation de son intromission. Penchée en avant pour lui faciliter le passage, elle a l’impression que sa bite n’en finit plus de rentrer en elle. Chaque centimètre, chaque méandre de son engin lui donne le frisson.

Enfin au bout, le gland brun et large venant cogner le fond de sa matrice, elle ne peut retenir un râle de satisfaction de se sentir ainsi pleine et comblée.
Le beau Kéfir regardant son chibre brun planté dans l’intimité blanche de la belle ne peut lui non plus contenir davantage sa satisfaction. Ainsi, les amants d’un soir s’unissent.
Dans un délice d’halètement et de gémissements, la poitrine voluptueuse et tendre se balance doucement au-dessus du lavabo au rythme des coups de rein du bel inconnu. Dans le vitrage de la cuisine, les yeux mi-clos et la bouche ouverte, le reflet du visage d’Estelle est une parfaite illustration de son plaisir.

Contre le marbre et les mains accrochées à la tuyauterie de l’évier, les fesses tendues, le ventre plein, la belle se fait baiser sans vergogne par son jeune collègue et amant.
Dans son esprit et dans son ventre, le feu d’artifice explose littéralement. Le chibre épais qui la besogne : la comble de bonheur et dans un ultime élan lui offre un orgasme aussi soudain qu’inespéré.
Pour Kéfir, la jouissance arrive aussi à grand flot. Voyant sa belle patronne courbée devant lui et abandonnée au plaisir, il ne retient plus ses coups de butoir et enfonce avec vigueur son pieu tout au fond de la belle…
Ses cris, ses suppliques, ses spasmes et son corps huilé de sueur, on raison de lui. S’affalant contre son dos et lui prenant les seins à pleines mains, il donne un dernier coup de rein tout en la soulevant du sol avant d’exploser au fond de son intime grotte féconde.
Estelle, empalée et pleine de lui, réalise par les saccades et la brulure du sperme qui inondent son ventre, la terrible réalité de l’instant. Bien qu’heureuse, épuisée et fébrile, elle tente de se dégager de son amant afin d’interrompre ce coït adultérin.
Dans la cuisine, a demi nue, les 2 amants se regardent sans un mot et Kéfir en profite pour l’embrasser a pleine bouche afin lui faire taire toute parole ou résistance.
Dans cette étreinte, contre l’évier, Estelle est vaincue et se laisse faire dans les bras fort de son beau partenaire.

Reprenant péniblement chacun leurs esprits, et échangeant une timide sourire complice, les 2 amants se séparent rapidement et sans un mot.

Dans le séjour, l’ambiance entre Tania et David est tout aussi sulfureuse. Avachies, sur le canapé, le jeune couple se livre aussi au plaisir de la chair. Devant les regards d’Estelle et Kéfir, la douce Tania prodigue une profonde fellation à son chéri tandis que celui-ci fouille de ses doigts son intimité tout en lui tirant la pointe de l’un de ses seins.

Estelle, ne souhaitant pas jouer davantage les voyeuses et sentant couler dans l’intérieure de ses cuisses la semence de son erreur, s’enfuit vers la salle de bain pour faire sa toilette et effacer les traces de son délit. Kéfir, à l’inverse, se joint a eu et ainsi reprend de la vigueur pour honorer Tania en duo avec David.

Durant près d’une demi-heure encore, les 3 jeunes s’offrent mutuellement les uns aux autres dans une débauche sensuelle et intime.

Estelle, épuisée et honteuse de son forfait, se couche seule dans la chambre et tente de trouver le sommeil (qui heureusement arrive vite) malgré les grognements et les puissantes vocalisent du trio dans la pièce mitoyenne.

Au petit matin, la nausée et la migraine accompagnent chacun des 4 amis. Sous les effets de l’alcool qui lui tourne encore dans sa tête, Estelle semble avoir rêver son adultère et n’arrive pas à remettre clairement ses idées en place.
Seuls quelques souvenirs et morceaux de rêves lui reviennent à l’esprit. Imaginant même, dans un moment de pure fantaisie, avoir fait l’amour avec tous ses collègues à la fois.
Malheureusement pour elle, sur le sol de la cuisine, la vision du cadavre de sa culotte lui ramène à l’esprit la cruelle réalité de ces actes et en particulier le plaisir partagé avec son employé Kéfir.

Durant toute la journée, tentant vainement de se concentrer dans son travail, ses pensées la tourmentent et elle repense à ses actes, sa trahison et à son mari.
Bien que ses subalternes et collègues essaient de relativiser les choses, la rassurer et la soutenir, la culpabilité mêlée à l’angoisse de la vérité, lui font se promettre de ne plus succomber à ses désirs et surtout à l’alcool en soirée qui la désinhibe totalement. Ainsi pourra-t-elle peut-être oublier sa faute et revenir dans la droiture de sa vie monotone et maritale. (Encore faut-il en être convaincue, et ce n’est pas le cas).

Certes cette « histoire d’un soir » avec ce beau et jeune arabe fut brève, intense et même délicieuse, mais elle doit rester exceptionnelle et unique. Voir même n’être plus qu’un fantasme inavoué : un secret silencieux.

Enfin le week-end salvateur de cette rude semaine arrive. Au fil des kilomètres qui défilent pour rentrer dans son foyer, ses pensées se bousculent, mais elle lutte pour ne pas sombrer et cacher le trouble qui la ronge.
Certes elle a commis une faute et porte en elle un lourd secret, mais l’important à présent est de retrouver sa famille et reprendre une vie normale.

A la maison, la belle quadra retrouve ses adorables enfants, son mari mais aussi quelques amis venus pour un barbecue dominical. Tous ensemble, unis et joyeux, il fête l’anniversaire des 44 ans de Christian.
Dans cette ambiance festive, Estelle trinque modérément afin de ne pas perdre son contrôle. A l’inverse, à table, son homme profite pleinement de sa soirée et se vante même de la bénédiction de la mutation de sa femme pour la liberté hebdomadaire dont il jouit mais surtout le rapprochement des liens qui unis leur couple. Un peu gênée de trop de révélation intime et personnelle, la jolie miss rit de bon cœur en essayant de calmer son mari. Lui glissant à l’oreille une possible surprise s’il modérait ses propos face à leur voisins et leurs convives du moment.
Christian a moitié saoul mais pas idiot se calme et la soirée se poursuit jusque tard dans la nuit.

Au petit matin, les enfants encore au lit, le petit couple modèle se retrouve dans leur chambre bercée par le soleil levant et une atmosphère feutrée.
Estelle, une fois n’est pas coutume et sous prétexte de l’anniversaire de son époux, prendre les initiatives du câlin. Commençant par quelques caresses et baisers sur son torse et venant ensuite sur son ventre, elle s’applique à embrasser du bout des lèvres son chéri afin de le réveiller de la plus belle façon qu’il soit.
Entre ses doigts, jouant du bout des lèvres, de sa langue et de fins effleurements, elle détaille et hume la queue et les bourses de son mari afin de le mettre en forme.
En érection, Christian (aux anges) regarde sa belle profiter de son corps, et cajoler son chibre dans sa petite main chaude et délicate.
Appréciant son effort et sa dextérité, cherchant son regard pour la captiver, il guide son visage sur son gland rond et large, pour qu’elle l’accueille en entier entre ses lèvres et ses joues délicieuses.
Dans l’antre brulante, sous la succion et les va et vient, Christian ne cache pas son plaisir du spectacle qu’elle lui offre et soupire sous les sensations de bonheur.
Sa large main caressant son flan, son épaule et son dos puis effleurant le bord de son sein, il encourage Estelle dans sa manœuvre tout en électrisant les sens et le frêle corps de la jeune femme.

Sur le drap, nue et taquine, la belle chevauche son grand colosse et sans un mot s’empale sur son pilier tendu afin de lui faire l’amour. Entre ses jambes, à cheval sur le corps de son mari, Estelle roule doucement ses reins afin de le loger jusqu’au fond de son intimité. Caler sur lui, face a son sourire et son regard pétillant, son bassin imprime avec lenteur quelques ondulations afin que les frissons de sa pénétration irradient son corps et brulent ses reins.
Christian observant sa femme si belle et pleine, profite de la scène majestueuse, venant lui saisir les seins qui se balancent doucement devant lui ou accompagnant ses hanches dans chacun de ses mouvements.

Sur son ventre, la chaleur de la vulve de son épouse et le clitoris tendu de la belle lui procure de forte sensation. La vision de sa femme, les yeux mi-clos, les lèvres pincées et le souffle court, le rende fou. Bandant comme un taureau, il se laisse faire mais succombe à lui donner quelques coups de reins afin de la faire sursauter sur lui et lui remplir le ventre plus intensément.

L’un dans l’autre, elle sur lui, ils ne font plus qu’un. Au bord de la jouissance, Estelle accélère le rythme et gémit plus fort son désir, en crispant ses muscles internes afin de mieux le sentir la posséder. Christian au-dessous, traversé des mêmes frissons de plaisir, la regarde et se retient de ne pas exploser au fond de sa grotte humide et étroite.
En quelques minutes seulement, la belle sent dans ses reins la vague du tsunami de l’orgasme la terrasser et elle s’écroule en sueur sur le torse de son homme qui l’enlace tout en continuant de la ramoner frénétiquement.
Puis, entre les spasmes et les crispations du petit corps de sa femme, dans un râle bestial et jouissif, le colosse inonde à gros bouillon de foutre les tréfonds de sa belle.

Epuisés et heureux, enlacés et moites, les amoureux s’embrassent à s’en couper le souffle, mêlant encore leurs langues dans une danse irréelle et suave.

L’instant passé, reprenant doucement leurs esprits, et plaisantant un peu de ce joli réveil. Le gentil couple se lève pour le petit déjeuner et pour un dimanche encore riche en émotion.

Christian sous la douche, et Estelle dans la cuisine, chacun vaque à ses occupations alors que sur la table du salon, le portable de Christian vibre et annonce un message.

Intriguée mais pas soupçonneuse, la belle femme saisi le téléphone et découvre avec effroi l’image de la voisine seins nus avec pour accompagnement le message suivant :

« Vivement le départ de ta femme demain. Trop hâte de te voir et de te faire plaisir pour ton anniversaire. Bisous Julie ».

Le tonnerre s’abat sur la petite famille. Estelle, assommée par ce message et à la fois humiliée par cette salope de voisine, sent en elle un mélange de colère et de tristesse déchirer son cœur.
Dans sa main tremblante, l’objet électronique éteint, elle vacille un instant en repensant aux regards et aux confessions de son mari et de son amie durant toute la dernière année alors qu’elle vivait seule, loin d’eux et de sa famille et dans l’obligation professionnelle de sa mutation.

Durant tout ce temps, son homme se livrait à une double vie.
En elle, dans sa vie, elle comprend à présent la vraie raison de leur rapprochement intime. La mutation, le manque et la distance n’étaient en fait pas la source première de leur redécouverte et du second souffle de leur couple, mais simplement une rédemption des fautes de son homme.

Dans sa tête, malgré un tourbillon de pensées, tout semble prendre un nouveau sens. Elle : la femme mure et rangée, la femme sérieuse et responsable, la mère de famille modèle qui voulait faire plaisir à son homme frustré de ne plus la voir chaque jour.
(Et indirectement se faire pardonner sa culpabilité et son unique trahison avec Kéfir).
Elle qui voulait lui montrer à quel point elle tenait encore à lui au point d’accepter certains délires et jeux sexuels dignes de sites internet odieux, spécialisés et dégradants ; oubliant même son éducation et sa morale catholique lorsqu’elle s’offrait par tous ses orifices.
Elle était trahie, salie, trompée et humiliée.

Cette Mutation, au-delà de l’éloignement personnel, a également été un éloignement sentimental et le déclin de leur vie de couple.

Que faire ? que dire ?
Jouer l’ignorance ou également avouer par vengeance sa propre faute afin de le blesser autant que lui la blesser ?

Ce dimanche ensoleillé, cette matinée pourtant bien commencée, cette journée va-t-elle changer leurs vies ? Ou bien le silence dominera-t-il et chacun repartira de son côté pour vivre ses désirs, sa double vie jusqu’à ce que l’un des 2 avoue ?

Une chose est sure…. La vie d’Estelle a basculé, et à présent, loin de sa famille, elle ne refusera plus les propositions « d’amitiés » de certains de ses collègues comme David, Kéfir ou même son supérieur M. LUCAS….

Cette nouvelle blessure et se déchirement effacent sa culpabilité, son adultère et sa honte.
A présent par désir ou vengeance, elle aussi se veut vivante et profitera des joies de la vie.

...
Published by stl67
1 year ago
Comments
7
Please or to post comments
josyldo
vivement la suite afin que l'on sache comment Estelle va entamer sa nouvelle "vie"...
Reply
le contexte,la centrale fessei.est d'actualité,elle en a prifité,s'est bien fait baiser,c'est la vie
Reply
jojo33bdx
Bravo Estelle pour cette très belle histoire. on peut imaginer une suite dans laquelle Estelle va se transformer en croqueuse d'hommeS !!! vivement l' (ou les) épisod(e)s suivant(s). merci encore pour ce moment
Reply
ccandau
bravo ma belle très belle réécriture la modification finale donne un piment très savoureux suis comblé Christian
Reply
frpoiutre
très beau texte, qui m'a transporté. Bravo à vous
Reply
marco67760
Super histoire dommage ça donne envie de rencontrer Estelle 
Reply
caso29
La situation de ce couple est bien présenté et la fin présage une suite bien croustillante :wink:
Reply