La femme du rouquin

J'ai rencontré cette femme, il y à quelque temps. Très petite blonde, ronde avec une forte poitrine. Toujours en pull avec des col en V qui laisse voir son opulente poitrine. Elle à 65 ans et adore danser, ou plutôt se trémousser sur la musique. Son mari, un con au sale caractère, rouquin n'est jamais désagréable avec moi. Je dois lui convenir. Bon buveur et bon mangeur.
Ce ne sont pas des amis, juste des connaissances. Bonjour, salut. On se rencontre quelques fois dans l'année lors de manifestations, théâtre, concert. Un petit détail pourtant devait me titiller, car chaque fois que je les rencontrais, on se faisait la bise et en général, ce n'était pas sur la joue, mais plus sur le coin de la bouche. Je gouttais a chaque fois à une partie de ses lèvres pulpeuses.
- Faudra passer à la maison... Ils me l'avaient dit plusieurs fois.
Un jour que je passais dans leur village, je décidais de m'arrêter. Une petite maison en forme de chalet avec une terrasse bien fleurie devant. Je sonne. Elle apparait en jupe rouge et pull rose sur la terrasse.
- Oh la bonne surprise, pousse le portillon, c'est ouvert, monte.
Je monte, elle m'attends devant la porte.
- Georges est partis faire quatre courses et doit passer chez un copain. Mais entre cela me fais plaisir de te voir. C'est gentil.
Je lui mets la main sur l'épaule et elle comme d'habitude m'embrasse à moitié sur les lèvres.
- Je ne voudrais pas déranger.
- Mais non entre, Georges ne rentrera pas avant souper.
Il était 15h. Elle me pousse à l'intérieur, il fait chaud, c'est l'été en avance. C'est coquet, un peut cossu. Un grand canapé devant une télé grand écran. Un gros tapis au son. Une table basse assez massive avec une partie bar.
- Je t'offre l'apéro?
- Non à 15 h, c'est un peut tôt.
Elle ouvre le frigo et sort une bouteille de champagne.
- Non, c'est trop on est que deux.
- Et alors, tu as peur d'être saoul et de faire des bêtises de ton corps.
Ou la! Elle ouvre la bouteille rapidement et se penche sur la table bar pour prendre deux verres. Sa jupe rouge serre une belle paire de fesses tendue sous mon nez. La salope, elle me provoque. Elle ondule du fessier en posant les verres, qu'elle remplis aussitôt. Elle m'en tends un.
- Santé... A ta présence.
- Merci à ta santé. Tu es sur que Georges ne me fera pas la gueule s'il arrive.
- Mais non, laisse Georges s'amuser avec ses copains. Tu sais une fois que Georges et chez ses deux copains, il ne pense plus a moi et cela fait bien longtemps que je ne l'intéresse plus beaucoup. Je vais t'avouer un truc. Georgette, c'est comme cela que ses copains l'appelle.
Elle pose sa main sur ma cuisse.
- Allez détend toi, Georges et bi et il doit être entrain de se faire sodomiser en ce moment. Tu ne bois pas?
- Eh si.
J'avale mon verre. Elle est contre moi, ses gros seins sous mon nez. Je pose mon verre. Me tourne vers elle. Ses cuisses sont ouvertes, la jupe est remontée. Je glisse ma main, remonte la jupe en même temps. Elle me regarde faire. J'arrive à sa chatte. Pas de culotte, je sens des poils humides, des lèvres assez fortes.
- Je ne mets jamais de culotte, c'est mieux, j'aime sentir l'air entre mes cuisses.
Elle se couche sur le dos, la jupe remontée à la ceinture. Je découvre sa vulve charnue. Mes mains remonte son pull, puis son soutien-gorge. Ses grosses loches s'écrasent sur les cotés. Elle est vieille, ridée mais offerte. Je me lève et retire mon pantalon de toile. vire mon slip et malgré mes soixante dix ans je bande comme un cerf. Elle prend la bite en bouche et me suce goulument. Je suis là, devant elle. La bite dans sa bouche, elle me tient les fesses et m'attire vers elle. Ma biche n'étant pas un monstre, elle l'avale complètement. Elle me caresse les bourses, descend entre mes jambes et titille déjà ma rondelle.
- Tu veux me faire plaisir? Met toi a genoux, j'aime bouffer les trous du cul comme toi.
Elle rit, je m'exécute. Je suis sur la table basse à quatre pattes, le cul offert a sa bouche. D'une main elle tire ma bite comme pour la traire. Elle broute mon cul, écarte mes fesses pour aller plus loin. Je sens sa langue titiller la rondelle, essayant de l'ouvrir. Ca dur un moment. Un moment de réel plaisir.
- A moi maintenant, pousse toi, je prend ta place et tu me broute bien le minou et le petit. Fais couler un peut de champagne dans ma raie et lèche tout cela.
Je m'exécute, me retire de la table, prend la bouteille. Elle est déjà en position, cul offert. Je fais couler un peut de champagne dans la raie. Un coup de langue, puis je recommence. Mais au lieu du cou de langue je place le goulot de la bouteille contre sa vulve et pousse un peut. Ca rentre. Je le retire. En verse encore que je lèche. Puis encore du vin et le goulot cette fois sur son anus, je pousse un peut. Ca résiste.
- Oh oui, enfonce moi là, mais avant regarde dans le tiroir de la commode, il y a du gel.
Je pose la bouteille, trouve le gel, en passe sur le goulot , puis entre ses fesses, mon doigt, puis deux et trois écarte son anus qui se dilate. Encore une couche de crème et je présente le goulot. Je pousse et cette fois ça entre. Je rentre le goulot complètement, sous son feulement de chienne. Je la regarde cette vieille de 65a, a quatre pattes sur sa table de salon. Ses gros seins pendants touchant la table. Le cul offert à une bouteille. Je commence le va est vient tout en lui doigtant la chatte et le clito...
Une ombre se dessine sur la porte, c'est Georges qui est là nous observer.