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Le barbecue du 15 aout

Le barbecue du 15 aout

Le barbecue du 15 août…
…où je découvre des choses surprenantes et….
…comment je fais la connaissance de Chloé
Dans mon village, tout au bout de cette jolie petite ile de l’Atlantique, tous les ans à la même époque nous nous réunissons avec notre petit groupe d’amis pour faire une fête autour de belles grillades et admirer le feu d’artifice local. La fête change de lieu chaque année et je ne connaissais pas encore cette jolie propriété.
C’était donc il y a 2 ans, car depuis, la Covid à modifié beaucoup de choses, et ce soir là nous étions une vingtaine à profiter de cette belle soirée tout en nous faisant joyeusement piquer par ces gentilles petites femelles moustiques, qui, elles aussi, aiment le sang….
Les premiers boum-boum nous firent sortir sur la rue pour admirer quelques jolis tableaux et comme ça nous arrive, particulièrement nous, les nanas, une soudaine et forte envie de pipi commença à me tenailler.
En plus j’étais à mon deuxième jour et avec mes deux gros OB ULTRA dans le minou qui gonflaient de minute en minute, ça m’appuyait comme il faut sur la vessie.
Je confie doucement à Gisèle – c’est une très bonne amie de maman depuis toujours – qui était juste contre moi, que dès que ça va être fini, il va falloir que je rentre vite pour aller faire un gros pipi.
Je vais t’accompagner me dit elle car ils vont tous y aller en rentrant…je vais t’emmener dans la buanderie, au fond du jardin, tu seras plus tranquille.
A peine le bouquet final éteint, on rentre les premières dans la cour et elle me prend par la main pour m’accompagner, là-bas, au fond du jardin. On n’y voit pas trop clair et je me sens bizarre depuis quelques secondes… en fait dès que Gisèle m’a pris la main, une chaleur intense m’a envahie.
Il n’y a qu’une vingtaine de mètres à faire mais je me sens électrisée…les seins, le ventre, le dos…
Avec le recul, c’est comme un coup foudre amoureux…pourtant, ce n’est que Gisèle, que je connais depuis mon enfance et que j’ai toujours vue à la maison ou ici, avec parfois Henri, son mari.
On arrive dans la buanderie et sans même avoir refermé la porte, ma main qu’elle enserre fort depuis quelques secondes se retrouve au chaud, plaquée contre sa chatte … je réalise très vite que bien sûr elle n’a pas de culotte sous sa jupette et instinctivement mes doigts font déjà un floc-floc bruyant.
J’ai la tête qui tourne…En quelques secondes elle m’enserre et sa bouche entre dans la mienne…nos langues s’unissent…et pourquoi aurais-je refusé ce doux plaisir.
Mais l’envie pressante de pipi m’oblige à nous séparer quelque peu et elle m’annonce tout de go qu’elle m’aime et qu’elle rêve de ce moment depuis très longtemps.
A l’époque où tu étais encore au lycée, j’avais déjà envie de toi ma chérie… on a toujours été amantes avec J… (ma maman) mais toi, chaque fois que je te voyais et qu’on se faisait la bise je me retenais violement pour ne pas t’embrasser fougueusement comme ce soir, mais voilà, ce soir, je n’en pouvais plus.
Ah oui, tu as envie de pipi….
Excuse-moi, je te choque certainement… surtout moi qui suis vieille, tu préfères certainement des femmes plus jeunes…
Abasourdie, mais aussi tellement excitée par ces mots, je la rassure immédiatement et je lui répète…pipi, pipi.
Fais dans l’évier ma chérie, tu es assise dessus.
C’est vrai, ne sentant plus vraiment mon corps, mes fesses étaient déjà dedans.
Mais il fallait que je retire mon petit short et ma culotte…je n’allais quand même pas pisser dedans car la soirée était loin d’être finie.
Et je sentis ses mains, dans la pénombre, qui défaisaient ma ceinture. Je me redressai pour que le short et ma culotte puissent descendre car c’était elle qui me déshabillait, j’étais sa soumise.
Libérée de ces cache-minous, je me replaçai à nouveau au-dessus de l’évier et je pissai comme une truie. C’était tellement bon de se vider …. ça giclait de partout, je n’entendais que ce bruit d’éclaboussures et soudain je sentis une douce chaleur près de mon ventre.
Mes mains se posèrent sur sa tête pendant que sa langue allait et venait sur mon pubis, toujours un petit peu velu…la petite toison sexy que j’aime….
Oh, s’exclama t’elle… tu as tes règles ma chérie, quel bonheur.
Oui, lui répondis-je et je me sens très bien… c’est mon deuxième jour, ça dégouline…
Ses doigts commençaient à chercher le cordon et je lui dis que j’en avais deux.
C’est vrai qu’on était toujours dans le noir, enfin, pas tout à fait car la lueur des guirlandes suspendues dans le jardin permettait quand même de nous voir un peu.
De la façon dont les choses avaient débuté, je la laissai faire et très vite, je sentis que l’un de mes gros bouchons n’allait pas tarder à exploser en sortant.
Je me redressai et lui dit qu’il fallait que l’on prenne des précautions car ça allait, comme ma pisse juste avant, éclabousser partout. Si nous revenions avec de belles taches rouges de partout, ça ne ferait pas très propre et surtout extrêmement bizarre…
Elle verrouilla la porte qui était restée entr’ouverte et nous nous mimes nues.
On s’embrassa de nouveau fougueusement et c’est elle qui me souleva pour me poser les fesses sur le bord de l’évier.
Ne bouge plus ma chérie, je veux ton tampon, toi, toi, toi dont je rêve depuis si longtemps.
Elle pinça un des cordons avec ses dents et pfiiittttt, il lui jaillit sur le museau…je ne discernais pas l’image, mais son visage devait être bien constellé de petites étoiles rouges…
Hé oui, les anglais étaient là, c’était la semaine ON THE RAG!!!
Elle ne parlait plus et moi, je sentais que ma chatte coulait, coulait…. C’était bien mon deuxième jour. Il faut que j’absorbe un flux énorme et les deux OB simultanés ne sont que très rarement suffisants, il me faut une serviette en sécurité, et elle est toujours bien chargée.
Juste avec un seul ça ne le fait pas. Je le lui dis mais elle marmonnait quelque chose que je ne comprenais pas… elle suçait et avait pompé mon tampon.
Après quelques secondes elle me dit - je veux ton autre tampon pour me le renfiler dans la chatte….
Et elle ajouta, j’en crève de ne plus avoir mes règles…ça fait presque 1 an que c’est définitivement fini et j’ai ce besoin, tu sais comme ta maman… un silence et elle me dit, je pense que tu l’as toujours su….et tu es comme elle je crois…
Et là, silences de nous deux pendant plusieurs secondes….
Tu vas te renfiler celui que je t’ai pompé et moi, tu vas m’enfiler l’autre qui doit dégouliner vu ce que j’ai eu dans la bouche…huuuummmm c’était délicieux…Tu voudras bien que l’on recommence ?
Resurprise, étonnée, je lui dis oui, mais… et mon mais fut suivi d’une proposition complètement imprévue…
Mon gynéco m’a fait suivre un traitement il y a quelques années pour que je continue à avoir une vie toujours bien réglée et tu vois, ça a duré jusqu’à Noël l’année dernière. Ça me manque énormément et je suis obligée, le mot est un peu fort, car c’est justement un plaisir, de chercher les serviettes ou les tampons de mes collègues au boulot.
Alors, en janvier l’année dernière, j’ai pris en stage pour 6 mois une jeune étudiante en économie -marketing. Ça m’intéressait pour étoffer mon service commercial.
On a vite sympathisé à la cafeteria.
Je lui parlais sans arrière-pensée aucune, et c’est elle qui m’a fait du rentre dedans pour m’annoncer, au bout de 15 jours de présence, que ses règles étaient là ce matin…
Chaude comme tu me connais maintenant ma chérie, je l’ai pistée aux toilettes et bien sûr, j’ai trouvé ses gros tampax (pas de serviettes à l’époque).
Sans détours, le soir même, avant qu’Henri n’arrive pour me chercher, je lui ai parlé de ma sexualité un peu hors du commun, voire perverse et en fait, c’est elle qui a insisté pour que l’on continue, surtout en essayant le plus possible de faire ça ensemble.
Je n’ai pas dormi de la nuit et le lendemain midi, j’ai réussi à la prendre à part des autres collègues et lui ai suggéré de bien vouloir me fournir ses tampons tout chauds lorsqu’elle irait les changer pour en faire ce que j’adore, me les refourrer dans la chatte, mais je ne lui ai pas avoué ça à ce moment-là !!
Elle a été diplômée à la fin de ses études début juillet en je viens de lui faire un CDI.
Depuis on a fait l’amour plusieurs fois toutes les deux et tous les mois, j’ai ma chatte qui baigne dans ses tampax.
Alors voilà, ce que je viens d’échafauder pour nous à l’instant.
Toi ma chérie, qui est bien la fille de ta maman, est ce que tu serais partante pour qu’on se rencontre toutes les trois, vous deux avec vos règles et moi, la mémé qui en profiterais.
Je ne sais plus si j’ai dit oui, mais comme elle venait de s’allonger par terre les jambes levées et bien écartées, j’ai extrait mon autre gros bouchon et tant bien que mal, entre ses doigts qui écartaient un maximum ses grosses lèvres épaisses, je lui ai renfilé mon tampon mais ça avait dégouliné largement sur son pubis et ses fesses.
C’est elle qui, toujours allongée, m’a fait me mettre au-dessus d’elle, cuisses écartées et qui m’a enfoncé mon OB pompé redevenu étrangement réduit…
On a allumé, on s’est brièvement nettoyées, heureusement car il y avait des dégâts…et nous sommes retournées auprès des autres qui apparemment ne s’étaient pas aperçus de nos absences.
Je me suis précipitée sur ma pochette pour recharger ma grosse chatte qui dégoulinait (culotte saignante et quelques traces dans le short…).
Le WE suivant, Gisèle m’a fait rencontrer Chloé…ravies de nous rencontrer…surtout en imaginant notre avenir….
Et on en a déjà bien profité toutes les trois depuis 2 ans…sauf cette année où ça a été un peu plus difficile.

Chloé vient juste d’avoir 21 ans aujourd’hui…
Published by caline
2 years ago
Comments
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LoyalLovebird0
Un plaisir de te lire merci Caline
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ccandau
très beau récit bien écris un régal
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