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Les plaisirs du camping

Les plaisirs du camping

Nous arrivons au camping ! Après une journée de marche. Je suis contente, je vais pouvoir me reposer un peu, je suis crevée.

L’intérêt avec l'utilitaire que mon mari a aménagé c’est qu’on est vite installés. Il y a juste à sortir les fauteuils, la table pliante et aller brancher la rallonge électrique.

La borne se situe derrière la tente voisine. En passant devant l’entrée de la tente, je vois une jeune femme, la bonne trentaine en petite culotte. Elle est penchée en avant et cherche apparemment des vêtements dans une valise. Elle est grande, très fine, des cheveux bruns coupés courts, de tout petits seins pointus. Je branche ma rallonge discrètement, elle ne me voit pas.



Mon mari a déjà sorti le matériel photo, un appareil muni d’un imposant zoom posé sur un pied …

Je vois passer la jeune femme d’à côté vêtue d’un grand teeshirt, serviette et trousse de toilette à la main. Je vais aller moi aussi prendre une douche.

Lorsque je reviens mon mari est en pleine discussion avec un homme d’une soixantaine d’années, la jeune femme à leur côté.

Mon mari « Ellen, ma femme, Jean et Stéphanie son épouse, Jean est aussi un passionné de photo……… ».



Deux heures plus tard, nous avons diné ensemble, les hommes ont vite sympathisé. Stéphanie et moi aussi. Elle m’a raconté sa dépression lorsqu’ elle a appris qu’elle était stérile, le soutien et l’attention de Jean, son voisin à l’époque, leur mariage en toute discrétion et le fait que leur relation tenait plus de l’amitié, que Jean était presque comme un grand frère protecteur.



Mon mari « Nous serions bien allé au pic de Cassini demain dès l’aube avec Jean ! Ça vous tente ? »

« Non là ça va faire beaucoup ! Il va encore falloir se lever à 5 heures, Je me reposerais bien un peu »

Stéphanie « Allez y tous les deux ! Je resterais avec Ellen «

Mon mari « Le problème c’est que je pensais prendre le camion, tout mon matériel est dedans ……. »

Stéphanie « Notre tente est grande, si Ellen veut venir dormir après votre départ … Enfin si tu veux Ellen »

Moi « Bon je vois bien que vous en mourrez d’envie, ok ! ».

5 Heures mon mari est déjà debout, je ne l’ai pas entendu se lever. Il a préparé du café. Jean arrive en tenue de rando sac sur le dos.

« Stéphanie dort, j’ai réussi à ne pas la réveiller »

« Si je suis réveillée et je prendrais bien un café » sa silhouette se dessine dans la nuit au fur et à mesure qu’elle approche, Elle porte un grand pull qui lui arrive à mi-cuisse, les cheveux en bataille.

Je me suis enroulée dans mon duvet, il fait un peu frais à cette heure. Nous prenons un café ensemble et à 5 h 15 les hommes s’en vont.



Stéphanie « J’irais bien me recoucher et dormir un peu ! Ça ne te dérange pas «

Non « moi aussi, on ne s’est pas couché tôt, hier soir «



Elle enlève son pull, elle est nue.

Elle se couche sous sa couette. Je m’allonge moi aussi. Je m’endors.



Le soleil est à peine levé lorsque je me réveille. Stéphanie dort en chien de fusil. J’ai une folle envie d’elle. Faisant semblant d’avoir un sommeil agité, je me rapproche doucement. Mon genou touche sa fesse, elle ne dit rien.

A la façon dont elle me regardait, me souriais la veille, parce qu’elle s’est confiée à moi s’en pudeur, je pense que je ne la laisse pas indifférente.



Je pose une main tremblante sur sa hanche.



« Qu’est-ce que tu fais ? Je ne suis pas comme ça ! »



J’enlève ma main, je suis honteuse, je viens de tout gâcher.



Mais après 2 mn d’un silence glaçant, elle prend ma main et la repose au même endroit.



« Je ne l’ai jamais fait avec une femme ! ».



« Et, là, tu en as envie ».

Silence.

« Je veux bien essayer ».



Alors je m’approche, mes seins contre son dos, mes cuisses contre ses fesses. Elle ne bouge pas. Je commence à l’embrasser dans le cou. Ma main remonte jusqu’à ces cotes saillantes, glisse sous son bras qu’elle relève à ce moment et vient se poser sur son tout petit sein.

Du bout de mon index et de mon pouce je pince doucement son téton, tout dressé et le fait rouler entre mes doigts.

Elle gémit tout doucement. Je vais pour caresser son ventre, mais y trouve son bras, elle a posé une main entre ses cuisses. Je caresse alors son bras descendant vers sa main qui couvre son sexe comme pour m’en interdire l’accès.



Je laisse alors ma main sur la sienne et continu à l’embrasser sur l’épaule et le haut du dos.

Elle enlève la couette se tourne pour s’allonger sur le dos les bras en l’air. Elle a les yeux fermés, comme si elle ne voulait pas se voir s’offrir à moi.

Elle est vraiment toute fine, je dirais même maigre, un large entre jambe laissant complètement à découvert un minou aux petites lèvres brunes qui dépassent largement. Elle se rase mais ne l’a pas fait récemment et des poils courts presque noirs recouvrent un large pubis.

Je me place au-dessus d'elle, une main de chaque côté de ses hanches, les bras tendu le visage au-dessus de son ventre plat.

« regarde-moi »

Elle ouvre les yeux ! De magnifiques yeux verts, brillants, elle me sourit timidement, mais je ne la sens vraiment pas à l’aise, elle referme les yeux.



Je regarde de nouveau sa chatte, au bas de sa fente un petit éclat brillant apparait, le minuscule diamant grossit, petit à petit devenant une petite goutte blanche, comme une perle.

Elle mouille déjà alors que je n’ai rien fait, ça promet !



Lorsque je pose le bout de ma langue sur le haut de sa fente, elle fait un brusque mouvement en avant du bassin en même temps qu’elle pousse un petit cri aiguë.



C’est fou, elle est comme électrique, cela m’excite beaucoup, voilà que moi aussi je mouille.



« Détends-toi ma belle, j’ai à peine commencé «.



Je me redresse posée sur mes genoux jambes écartées de mes deux mains je plie les siennes et les écarte en appuyant sur ses genoux. Son minou s’ouvre, laissant apparaitre son intérieur rose tout brillant de sa cyprine.

Je plonge ma tête dans son entre-jambe, au contact de mes lèvres sur les siennes, sa réaction est immédiate. Elle pose ses mains sur ma tête et commence de vifs mouvements de va et vient du bassin. Je la lèche, suce son clito, aspire ses lèvres, enfouie mon menton......



Sa réaction est surprenante, elle gémit sans cesse, un concert de oui ouii ouu i ! Ses mains appuient de plus en plus fort sur ma tête comme si elle voulait la faire entrer en elle.

J’ai toute peine à passer une main pour introduire trois doigts dans son vagin ruisselant.



Mes doigts la pénètrent et la fouille alors que ma bouche et ma langue lèche et aspire son clito. Je sens les muscles puissants de son vagin se resserrer, ses cuisses frêles me coincent le visage comme dans un étau.

Elle jouit, laissant jaillir un cri qu’elle ne peut retenir.

Son étreinte se relâche, je la regarde, son corps est encore parcouru de spasmes.

Quel orgasme !



Je l’admire. Ses petits seins ornés de leurs tétons dressés, montent et descendent au rythme de sa respiration qui ralentit progressivement.

Elle a laissé retomber ses jambes et je vois de nouveau son minou grand ouvert et une grande auréole sur la couette en dessous de ses fesses.

Elle ouvre les yeux me regarde et sourit à pleine dents, je la sens heureuse !

« Ben dit donc ! Tu es étonnante ! Une vraie bombe ! J’ai peur que tout le camping t’ai entendu »

Je la fais rougir !

« Excuse-moi »

« Ah non ! Pas d’excuse ! Tu m’as offert un magnifique spectacle, regarde je suis trempée moi aussi » lui montrant ma main toute humide après l’avoir glissée entre mes cuisses.



« C’était extraordinaire, je n’avais jamais ressenti autant de plaisir ».



« Ma chérie ! Je te laisse un moment, je dois aller aux toilettes, le café fait son effet «



Elle se redresse brusquement vient poser un baiser sur mes lèvres « Je viens avec toi !



Il est encore tôt ! Tout est calme dans le camping. Elle me suit à une dizaine de mètres.



J’entre dans les toilettes, elle me pousse et referme la porte derrière elle.



« Vas- y la première «

Je m’assois et urine en écartant les jambes, j’ai bien compris qu’elle veut me voir faire. Elle prend du papier toilette et m’essuie, me tends le rouleau de l’autre main. Puis, c’est son tour. Elle est vraiment, drôle on dirait une grande gamine.



Nous sommes de retour à la tente, dans les bras l’une de l’autre, on papote en nous embrassant langoureusement. Elle veut tout savoir de mes pratiques sexuelles.

Je réponds à ses questions.

Sa vie sexuelle est un désert, mais elle me dit ne pas en souffrir.



Puis, soudain elle se met sur les genoux, le cul en l’air, la tête posée de coté sur le duvet.



« Fais-moi découvrir la sodomie »



Je suis pour le moins surprise de sa façon de faire. Elle n’est visiblement plus du tout gênée.

Sa demande m’amuse et sa position impudique me plait beaucoup.



« Je peux te doigter si tu veux ! Mais ce n’est pas vraiment ça, la sodomie »



« Fouille dans ma trousse de toilette, là, y a une brosse à cheveux ! Sers t’en «



Le manche de la brosse est lisse, un peu renflé en son milieu mais pas trop large. Pour une première pénétration anale ça me semble approprié.

Elle n’a pas besoin d’écarter ses fesses peu charnues pour que je voie sa petite rondelle brune resserrée.

Lorsque je pose le bout de ma langue en son centre, elle a la même réaction « électrique.



« Détends-toi, sinon je ne vais pas y arriver »



« Ok je me détends, vas-y »



Je recommence.

La lèche en faisant de petits cercles, ses frêles cuisses tremblent, c’est incroyable d’être sensible à ce point. Je continue comme cela un moment en déposant ma salive sur son anus vierge. Elle gémit doucement. « Que tu es douce ! Ellen ! C’est bon »



C’est maintenant mon index que tourne autour de son petit trou tout mouillé de ma salive. Il commence à se contracter se détendre, j’adore ça !

J'appuie un peu et je le sens rentrer de quelques mm sans effort, je le tourne dans un sens puis l’autre. Je pousse doucement tout en tournant et mon index rentre en elle.



« Ça va ? Tu aimes ?»



« Oui ! C’est agréable, continue ! »



J’ai posé mon pouce à l’entrée de son vagin et je commence à faire de petits vas et vient simultanément avec mes deux doigts. Je sens une première goutte tomber sur ma cuisse posée entre ses jambes, sous sa chatte, puis une deuxième. C’est vraiment, surprenant de mouiller aussi vite ! Cela m’excite et je me caresse de l’autre main.

Elle gémit doucement, elle a vraiment l’air d’apprécier !

Je la sens prête.

Je prends la brosse ! De nouveau je viens déposer ma salive puis l’extrémité de la brosse. Je tourne en poussant doucement les deux premiers cm entrent, sans résistance aucune. Lorsque je manche s’élargit, je vais plus lentement. Je vois à ses fesses qui se contractent que c’est peut-être un peu douloureux pour elle, mais elle ne dit rien !

Je continue jusqu’ à ce que son anneau soit resserré autour de la partie la plus large, puis je laisse la brosse qui se rétrécie entrer toute seule, plus profond en elle.



J’entre maintenant mon pouce dans sa chatte, profondément. Je pose deux doigts sur son clito et le masse. Ses gémissements reprennent aussitôt, et de nouveau des gouttes chaudes tombent une à une sur ma cuisse.

Je vais de plus en plus vite, appuyant et relâchant la pression de mes doigts sur son petit bouton. Elle m’accompagne par des mouvements saccadés du bassin, de haut en bas, faisant danser la brosse plantée en elle.

De mon autre main, je saisie la brosse ! la tire et la re-rentre. Elle met son visage dans la couette et la serre de ses deux mains contre sa bouche pour étouffer ces gémissements.



J’accélère le rythme de mes mouvements et en augmente l’amplitude. Elle me suit par ses coups de reins de plus en plus puissants. Puis elle s’arrête, commence à trembler, cesse de respirer et jouit en poussant un long cri qu’elle étouffe autant qu’elle le peut.

Sa liqueur chaude coule sur ma cuisse. Elle est secouée de spasmes encore un bon moment et je m’amuse en regardant la brosse telle une queue, danser en rythme imposé par ces spasmes.



« Ma première fois, avec une femme ! Ma première sodomie ! Je ne regrette pas que l’on se soit rencontrées «



« Si tu veux je connais un petit coin très tranquille en bords de rivière, pas loin. Il n’y a jamais personne à cet endroit, on pourrait aller pique-niquer, se faire bronzées nues, se baigner, faire l’amour ! Je te ferais jouir à mon tour, tu m’apprendrais !

« Tu sais déjà tout ma belle, et oui j’adore ton idée".









Stéphanie est au volant du petit 4x4. Nous avons fait quelques courses, au village, 5 km plus bas et nous nous dirigeons maintenant vers le petit coin de paradis, dont elle m’a parlé. J’ai juste mis un short par-dessus mon maillot de bain une pièce. Stéphanie est vêtue d’un chemisier largement ouvert et d’un short court, mais très large.

La route n’est pas bien large et très sinueuse.

« Passe ta main dans mon short, je n’ai pas de culotte » me dit- elle en relevant le bas du short.

« Non ! Concentre-toi sur la route, ça pourrait être dangereux »

A peine avais-je fini ma phrase qu’à la sortie du virage, nous nous retrouvons nez à nez avec une voiture qui s’était écartée pour éviter deux jeunes randonneuses marchant sur le bas-côté.

Instinctivement je lui att**** le bras et pose mon autre main sur le tableau de bord. Mais elle maitrise parfaitement la situation, freine et serre au maximum à droite. Pas de mal !

Je regarde en arrière les deux randonneuses ont dû avoir très peur elles aussi !

Elle prend un chemin sur la gauche, ça descend de façon abrupte sur 2 ou 3 km. Elle arrête la voiture.

« C’est à cinq minutes à pied «

Elle prend les deux serviettes et moi le petit sac de course.

L’endroit est vraiment superbe ! De grandes dalles de pierres surplombent d’un mètre un méandre de la rivière. L’érosion a formé une cuvette naturelle, comme une grande piscine ronde. Sur le côté droit, un bosquet au bas de la falaise étend son ombre sur la pierre grise parfaitement lisse.

Stéphanie pose les serviettes en plein soleil se déshabille.

« Je vais me baigner ! Tu viens ? « Elle saute à l’eau, nue.

J’enlève mon short et me dirige vers le bord.

« Ne soit pas ridicule, enlève tout, il n’y a jamais personne, ici «

J’enlève donc mon maillot et viens la rejoindre.

L’eau est fraiche et le premier contact avec ma peau me saisit, mais cela devient vite agréable.

Nous nageons un moment, car il doit y avoir de la profondeur, nous n’avons pas pied.

« Viens suis moi, par là c’est moins profond »

La pierre plonge en pente douce dans la rivière, ce qui nous permet de nous allonger tout en restant dans l’eau.

Nous sommes toutes deux sur le dos côte à côte en appui sur nos coudes, les jambes légèrement écartées.

Elle se penche vers moi et m’embrasse du bout des lèvres, une nouvelle fois, puis m’enjambe et, là, m’embrasse à pleine langue. Un long et tendre baisé.

Elle est assise sur le bas de mes cuisses et de ses grandes mains me masse les seins. Elle se penche ces petits tétons me chatouillent, elle m’embrasse langoureusement.

« Viens ! On va se mettre au soleil ».

Je m’allonge sur le dos, les jambes pliées, ferme les yeux pour savourer les caresses du soleil sur ma peau.

Ses mains se posent sur mes genoux qu’elle écarte.

« Tu sais c’est la première fois que je regarde la chatte d'une autre comme cela ! C’est beau «.

Elle me caresse l’intérieur des cuisses, que j’ouvre plus largement, passe une main dans ma toison brune comme pour la coiffer de ses doigts. Plusieurs fois de bas en haut.

« Ils sont longs, Je vais me les laisser pousser comme toi «

Je ne dis rien ! Je savoure.

Elle approche son visage de mon entre jambe et je sens son souffle chaud. Je l’entends inspirer à plein poumon, pour me sentir.

J’attends, mais sans impatience qu’elle pose ses lèvres ou sa langue sur ma vulve qui se réchauffe doucement.

Voilà, elle pose ses lèvres, juste à l’entrée de mon vagin pour un long baiser, ses mains posées sur mon ventre ! Qu’elle est douce !



J’allonge mes bras au-dessus de ma tête, afin de sentir la légère brise tiède me caresser. Elle me mange, pince mes lèvres une après l'autre, les aspire. Sa langue parcourt ma fente, s'arrête sur mon clito, tourne autour, puis elle l'aspire lui aussi. Ses mains caressent mes hanches reviennent sur mon ventre. Elle s'applique et j'aime beaucoup.

"Continues, j’aimerais que ça dure "

Elle continue, toujours avec autant de douceur, je gémis doucement. Lorsqu' elle va pour me pénétrer de ses doigts, je lui dis.

"Attends, j’ai une idée ! Tu n'as pas un petit creux "

Elle me regarde surprise que je lui parle de manger alors qu'elle me broute le minou.

"Ben si ! Si tu veux "

Je vais chercher le sac, en sort la barquette de fraise, en mange une.

"Et moi " dit-elle en ouvrant la bouche.

"Attends " J'en prends une seconde que je tente de faire tenir à l’entrée de mon vagin, mais le fruit ressort. Je l'écrase donc entre le pouce et l'index et recommence. Je me remets sur le dos.

"Voilà ! La table est mise "

Alors que j’attends qu'elle vienne gouter à ma recette, elle me dit

" Mais j'ai un gros appétit aujourd'hui "

Puis elle écrase une fraise, comme je l'ai fait, me l'introduit puis une deuxième, troisième, quatrième et enfin cinquième. Elle y met ensuite deux doigts et les remue. Puis vient de sa bouche et sa langue recueillir le jus et la pulpe de fruit dans la coupe qu'elle a remplie.

Elle se redresse. Le bas de son visage est maculé de pulpe rose et tout sourire elle me dit.

« Tu as certainement faim toi aussi »

Elle fouille dans le sac en sort une banane qu’elle épluche, me la tend, vient s’installer au-dessus de moi, repose sa bouche sur mon sexe et l’aspire à nouveau.

Des gouttes perlent sur ces lèvres et lorsque que j’introduis le fruit, celui-ci glisse sans effort, de petites gouttes tombent sur mon visage.

Je croque avec délicatesse la partie du fruit qui dépasse, elle rapproche son entre jambe de ma bouche, et je déguste avec gourmandise et grande excitation la banane accompagnée de la liqueur abondance que sa chatte sécrète.

J’entends le doux chant que produisent ses sussions et ses coups de langue de plus en plus appuyés. A mon tour, j’aspire la partie ramollie du fruit tout en frottant mon menton sur son clito. Elle ne tarde pas à gémir et je sens qu’elle va jouir. Son souffle s’arrête, Elle s’immobilise ! Je maintiens de mon pouce le bout de banane restant en elle, qui sous l’effet des contractions de son vagin tente de s’échapper et j’accélère mes mouvements de langue sur son clito.

Elle jouit ! Je sens au plus profond de mon ventre l’air que ses poumons expulsent au moment de son orgasme.

J’attends que son corps encore tremblant se relâche et laisse glisser dans ma bouche le petit morceau de fruit écrasé restant.



« Tu n’as pas jouit toi. J’aurais tellement aimé te faire jouir »

« Je n’ai pas eu d’orgasme ma chérie, c’est vrai, pas encore, mais j’ai joui ».

« Tu es toute collante, viens je vais te laver !

Nous retournons nous baigner et chacune fouille vigoureusement de ses doigts l’intimité de l’autre cherchant à éliminer les traces laissées par nos jeux sucrés.

Alors que nous nous enduisons mutuellement de crème solaire, je crois entendre des rires.

« Écoute »

Non ! Rien ! Hormis le chant des cigales.

Puis de nouveau !

C’est bien des rires ! Ça vient de derrière le bosquet, à priori pas très loin !

Stéphanie remet son short, je fais de même. Nous passons de l’autre côté du bosquet et longeons la falaise, l’eau aux genoux.

Un gros rocher arrondi nous bouche la vue sur l’endroit d’où proviennent les rires, déjà nettement plus proches. Mais ce rocher est là à propos, puisqu’il nous permet de nous cacher. En regardant sur la droite, je vois sur une petite plage de galet, deux gros sacs à dos, deux paires de chaussures de rando et des vêtements comme jetés négligemment.

Stéphanie, regarde ce qui se passe à gauche du rocher.

« Alors ! Tu vois quoi «

« Ce doit être les randonneuses de ce matin, elles se baignent et s’embrassent »

« Laisse- moi voir »

Elle me laisse sa place et prend la mienne.

Elles sont toutes deux enlacées, l’eau à la taille, le torse nu. Elles paraissent très jeunes. Une petite aux cheveux longs noirs avec de petits seins pointus, que j’aperçois lorsqu’ils se décollent de ceux de la rousse. L’autre a aussi de longs cheveux, une peau blanche comme du lait et des seins en forme de poire. Elles s’embrassent avec fougue. Je ne vois pas leurs visages.

Elles se tiennent maintenant par la main et se dirigent vers la plage de galet. Au fur et à mesure qu’elles sortent de l’eau, leurs corps se dévoilent. Elles sont toutes deux nues. Je n’en verrais pas plus, elles disparaissent derrière le rocher.

Stéphanie : « Elles sont là ! wouah ! Elles sont belles «.

Visiblement le spectacle lui plait car elle a glissé une main dans son short et se caresse.

Agacée ! Je lui pince un téton ! Mais elle me répond par « Hum… oui….. »

« Suis-moi ! J’ai une idée » me chuchote t’elle et elle rebrousse chemin.

Je profite qu’elle me laisse la bonne place et fais ma voyeuse. Elles sont, tète bêche, la brune au-dessus de la rousse allongée sur le dos à même les galets et se délectent de leurs minous.

« Alors ! Viens ! «

Je quitte à contre cœur mon poste d’observation. Nous revenons sur nos pas.

A peine arrivée, Stéphanie regroupe nos affaires, les place au pied d’un arbre du bosquet et, enlève son short.

Viens-on va faire leurs connaissances « et elle plonge.

Elle ne finit pas de m’étonner ! Je me mets nue et la suis à la nage.





Une fois arrivée à leur hauteur, Stéphanie m’enlace et me doigte en prenant bien soin à ce que les deux randonneuses voient bien ce qu’elle me fait. Nous nous appliquons à faire croire que nous ne savons pas qu’elles sont là.

« Bonjour »

Nous regardons dans leur direction ! Stéphanie a mis une main devant son sexe et l’avant-bras devant ses seins, faignant la surprise, pendant que je me cache derrière elle.

« C’est bon pas besoin de vous cacher, cela fait cinq minutes qu’on vous regarde » lance la rousse.

« Venez ! Moi c’est Elise »

Elle est assise en appui sur ses mains posées derrière elle, une jambe allongée, l’autre relevée. Son amie, elle aussi assise a remonté sa serviette afin de cacher son entre jambe. Elle a les jambes pliées contre elle, les bras croisés sur ses genoux, le menton posé sur ses avant- bras.

« Asseyez-vous un instant, enfin si vous voulez, faisons connaissance »

La discussion s’engage, les présentations d’usage, mais seule Elise parle, Jade la brune ne dit pas un mot, elle me fixe du regard de ses grands yeux noirs. Je lui souris, mais elle n’a aucune réaction en retour, c’en est gênant.

Cela fait bien 10 minutes que Stéphanie et Elise papotent. Jade n’a pas bougé. J’ai l’impression d’être de trop et assise sur les galets c’est très inconfortable.

« T’es pas trop mal pour une vieille » sont ses premières paroles et c’est à moi qu’elle s’adresse !

Sous le coup de la stupéfaction, je ne trouve rien d’autre que de répondre « merci » Alors qu’elle vient de me traiter de vieille. Il est vrai que je dois plus avoir plus du double de son âge, mais tout de même …. !

Stéphanie et Louise se sont tues ! Un interminable silence règne.

Elise » C’est un compliment venant de Jade «

Stéphanie est assise en tailleur sexe grand ouvert face à Elise qui lui caresse l’intérieur de la cuisse avec son pied.

Je me sens de plus en plus seule, et je me tortille cherchant en vain une position plus agréable sur les galets. Stéphanie s’en aperçoit.

« Nous pourrions toutes aller sur l’autre plage, celle d’où nous venons, c’est vraiment sympa là-bas ! Il y de grands rochers plats ou l’on peut s’allonger, mais il n’y d’autre possibilités que d’y aller à la nage ».

Jade « et nos affaires, je ne laisse pas les miennes ici ! »

Stéphanie se lève « Attends j’ai peut-être une idée » Elle se dirige vers le gros rocher rond qui sépare les deux plages. Elle marche dans l’eau qui lui arrive juste sous les seins, puis le fond remonte et lorsqu’elle arrive elle n’a de l’eau qu’à mi- mollet. Elle revient.

« Nous pourrions passer les sacs et les chaussures par-dessus le rocher, il faudrait que quelqu’un les réceptionne de l’autre côté ».

Belle occasion pour moi de m’échapper !

« J’y vais » et je cours me mettre à l’eau !

Je nage en faisant la brasse, enfin tranquille ! Mais je sens une présence. Je jette un coup d’œil derrière moi.

Jade m’a suivi.

Nous récupérons les affaires que la grande Stéphanie pose et laisse glisser par-dessus le rocher.

Je vais à l’écart m’allonger sur le ventre à même la pierre chaude, c’est nettement plus confortable. Mais Jade ne me lâche pas, elle s’est assise à ma tête.

« J’ai vu la tienne tout à l’heure quand tu nageais, maintenant tu as le droit de regarder la mienne »

Je relève la tête. Elle m’exhibe son minou, assise, jambes écartées à 30 cm de mon visage. Une magnifique toison de poils bruns, très longs, cache à peine sa fente entre ouverte avec ses petites lèvres brunes que je vois se décoller doucement. Elle est magnifiquement impudique !

« Ouais ! Pas trop mal pour une gamine «





Elle reste un moment sans rien dire, sans doute touchée par ma repartie et je dois dire que je suis contente de moi.

« Si tu veux tu peux y gouter à la chatte de la gamine » je ne bouge pas ne réponds pas.

« De toute façon je suis sûre que tu ne serais pas capable de même faire jouir ».

Là, elle me provoque clairement !

Je me lève la prends par-dessous les bras pour qu’elle se relève à son tour. Nous sommes face à face, je la regarde droit dans les yeux. Elle reste inexpressive.

Je place une main sur ses fesses pour qu’elle ne puisse reculer et la pénètre de deux doigts. Je commence à la fouiller appuyant la paume de ma main sur sa toison, cherchant à masser son clitoris alors que mes doigts s’agitent en elle. Mes yeux ne lâchent pas les siens. Elle reste impassible, mais son corps la trahi. Je sens de légers frémissements de ses fesses. Ses petits tétons sont tout dressés.

Je vois bien qu’elle se contient et cela m’encourage à aller plus vite plus fort. Lorsqu’elle ferme juste un instant les yeux et entrouvre la bouche, je sais que j’ai gagné, je sais qu’elle prend du plaisir. Ma main sur ses fesses cherche à les écarter jusqu’à ce que mon index trouve son petit trou et le caresse.

Elle prend ma tête entre ses mains et me tire violemment vers elle ! Elle m’embrasse goulument, un long et délicieux baiser.

« Je vois que ça va beaucoup mieux vous deux » Elise et Stéphanie viennent d’arriver.

Jade se dégage, je la regarde, enfin elle me sourit !

Stéphanie : « Ellen n’a pas encore joui enfin elle n’a pas eu d’orgasme aujourd’hui ! On peut arranger ça, les filles ? »

» Oui mais elle doit terminer ce qu’elle a commencé » dit Jade en s’allongeant sur le dos.

Je me mets à quatre pattes devant elle, laissant mon derrière à la merci des deux autres. Je lui caresse les seins de ma main droite, place le bout du pouce de la gauche sur son anus et le rentre en tournant légèrement. Je viens poser ma bouche sur sa vulve, y dépose un premier puis deuxième baiser et lèche sa fente de toute ma langue.

Stéphanie et Elise se sont placées chacune d’un côté et leurs mains parcourent mes fesses et massent mes seins. Leurs caresses sont douces et parfaitement coordonnées. Je suce, lèches, aspire, les lèvres et le clito de Jade tout en faisant de petits va et vient dans son trou du cul. Je sens maintenant une langue s’occuper du mien puis une autre plus épaisse plus audacieuse. Elles se relaient à déposer leur salive à me préparer à une pénétration que je sens proche.

Jade me repousse gentiment, en me disant « attends, je veux m’occuper de toi moi aussi » et elle se glisse sous moi.

« Ne fais rien regarde seulement « et elle se masturbe sous mes yeux. J’écarte les genoux et pose mon sexe sur sa bouche au même moment je sens deux doigts pénétrer simultanément mes deux orifices.

Je ne compte plus les mains qui me caressent, elles sont partout, mes seins, mes reins, mes fesses, mes hanches.

Jade juste en dessous de mon visage s’active sur son clitoris vient recueillir de ses doigts de sa liqueur lubrifiante et recommence tout en me mangeant des lèvres de la langue et des dents.

Une boule se forme dans mon ventre, grossit en tournillant comme le ferait une tornade. Une chaleur m’envahit. Jade en appui sur ces pieds relève les fesses, le ventre. Elle va jouir ! Mon sexe et collé à sa bouche, encore quelques mouvements saccadés du bassin et nous jouissons ensemble dans un concert de Oui….

Nous passerons le reste de l’après-midi toutes les quatre à nous embrasser à tour de rôle, nous caresser tendrement, nous baigner …

A 17 heures nous serons de retour. Les filles faisaient du stop et cherchaient un camping.

Voilà la version que nous donnerons à nos maris. Et qui sait peut-être que demain ils auront un autre projet de balade, tous les deux !
Published by elenamark
2 years ago
Comments
16
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lartiste1954
super bravo
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MarieBretonne
C'est une très belle histoire, très bien écrite et très suggestive. Elle ne laisse vraiment pas indifférente. Merci beaucoup
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merci
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Nated1070
Jolie histoire bien écrite
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Emerick69
J'ai lu une de ton histoire ci-dessus. A vrai dire je trouve que tu as talent. Subjugué par l'histoire, on le lit jusqu'au bout.  De quoi émoustiller plus d'un... ? J'ai beaucoup aimé 
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Josbarley
Superbe
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llorens31
belle prose,  on s'y croirait
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phantom196445
to elenamark : sincerement superbe
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laurent7891
to elenamark : Merci Elena ( si c'est bien ainsi que vous souhaitez être appelée ) mon commentaire est très sincère.. au plaisir de vous lire :smile:
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to laurent7891 : Votre commentaire me fait très plaisirs , je porte beaucoup d'importance aux détails .....
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La saison ne s'y prête pas vraiment :wink: 
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to phantom196445 : Merci beaucoup !
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phantom196445
sublissime texte de la pure littérature
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laurent7891
WOW !!! Super récit... la façon de raconter cette très excitante histoire, laisse à penser que l’histoire est réelle... mais, même si elle ne l’est pas, ça n’à aucune importance. J’ai lu avec gourmandise l’histoire de ces 2 belles femmes et de leurs copines de baise. Les descriptions sont si détaillées et efficaces, que l’on vit toutes les scènes et que l’on ressent les orgasmes des personnages... La complicité d’Ellen et Stéphanie va t elle se poursuivre après ce séjour ? Reverront elles les jeunes Jade et Louise ?... vous seule le savez Elena... il nous suffit d’attendre... merci beaucoup :smile:
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to JL9505 : merci ! 
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Une belle histoire ☺️☺️
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