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L'organisatrice partie 2

L'organisatrice partie 2

Vengeance en sous-sol.

Cette aventure remonte déjà à quelques années, mais reste dans ma mémoire comme un de mes meilleurs souvenirs. Tout était parti d'une conversation avec un de mes fidèles participants, un camerounais d'une cinquantaine d'année, à la fin d'une orgie mémorable. Nous en étions venu à parler de son activité professionnelle, et Edouard me raconta qu'il était très en colère contre sa directrice d'agence bancaire qui venait de lui refuser un prêt très important pour sa société. Je connaissais assez bien cette femme. C'était la mère d'une amie de ma fille, et je la croisais assez régulièrement depuis des années dans des réunions de parents d'élèves et autres. Mais, au contraire de sa fille, qui était devenue depuis quelques temps une adepte de mes soirées, Brigitte, la directrice d'agence, avait une réputation de bourgeoise rigide et austère, de catholique fervente, et était très éloignée de ma vie secrète. En découvrant que je connaissais Brigitte, et sachant mon côté pervers, Edouard me proposa de l'aider à se venger d'elle. Durant les heures suivantes, nous imaginâmes et mîmes sur pied un scénario vicieux et diabolique destiné à rendre au centuple la monnaie de sa pièce à l'infâme banquière. Le plan fût étudié dans le moindre détail afin que la victime soit prise au piège et obligée de subir son sort. La mise à exécution du scénario fût prévue pour la fin de la semaine suivante, un samedi, le temps de mettre en place les différentes parties du piège et de recruter les acteurs du drame. Cette préparation nous avait tellement mis en joie qu'une fois celle-ci terminée, nous baisâmes Edouard et moi pendant une bonne heure. Il me ramona tous les orifices avec une vigueur diabolique avant de gicler plusieurs longs jets de sperme au fond de ma gorge.

Le jour tant attendu arriva enfin. En fin de matinée, je téléphonais à Brigitte sur son portable. J'avais répété mon rôle et le connaissais à la perfection. Je pris un air un peu affolé et lui racontais l'histoire mise sur pied pour l'attirer dans le piège.

-Allo, Madame X, ici Madame Y, la mère de Tiffany, l'amie de votre fille Elodie. Je viens de recevoir un appel de ma fille. Votre fille a apparemment un problème, sans gravité rassurez-vous. Une panne de scooter. Elle n'a pas voulu vous prévenir pour ne pas vous faire peur et a préféré appeler ma fille. J'ai préféré vous prévenir tout de même. Entre mères, c'est normal. J'ai déjà dit à ma fille que j'allais passer la chercher en voiture. Si vous voulez m'accompagner, je peux venir vous chercher en passant.

Elle accepta volontiers, en me remerciant de ma sollicitude. Elle était à mille lieux de s'imaginer ce qui allait lui arriver. Je passais un coup de téléphone à Edouard pour lui annoncer que tout fonctionnait au mieux pour l'instant et pour se préparer pour la suite. Puis je pris ma voiture et passais à l'agence bancaire pour prendre Brigitte et l'amener vers le lieu de son supplice. Brigitte est une très belle femme dans la cinquantaine, style BCBG, blonde, les cheveux coupés en carré court, avec un corps encore mince. Elle portait ce jour-là un tailleur jupe gris, avec un chemisier crème et des bas noirs. Le chemisier était boutonné bien haut, mais était tendu à l'extrême par sa grosse poitrine. Cette salope avait plus des seins de star du X que de banquière.

Au bout de quelques minutes, Brigitte, en me voyant prendre la direction du nord de Paris, me demanda, surprise, où nous nous rendions. Je lui répondis que sa fille se trouvait apparemment près d'une cité sensible de très mauvaise réputation, dans une ville de la banlieue nord. Elle fût extrêmement surprise, se demandant ce que sa fille pouvait bien faire dans cet endroit. Je senti dans sa voix une pointe d'inquiétude, mêlée à un peu de gêne. Comment expliquer que sa chère petite Elodie, qu'elle imaginait être un ange de vertu, se retrouve dans cette cité.

Nous arrivâmes enfin aux abords de la cité. Suivant le scénario à la lettre, je me dirigeais vers un parking en sous-sol, en expliquant à ma victime que c'était là que sa fille avait garé son scooter avant que celui-ci ne tombe en panne. Une fois garée, nous descendîmes de voiture et nous nous dirigeâmes vers ce qui semblait être des box pour motos. Bien qu'elle essayât de faire bonne figure, je sentais bien que Brigitte n'était pas rassurée par l'endroit où nous nous trouvions. Le parking était désert. Seules quelques voitures étaient garées là. Après quelques mètres, nous aperçûmes le scooter d'Elodie. Mais aucune trace de sa fille. Nous continuâmes notre marche vers le scooter. En approchant, nous commençâmes à entendre des bruits et des voix provenant de derrière la porte métallique de ce qui devait être un local poubelles. Brigitte me regarda, interloquée. Je jouais mon rôle et paru à la fois surprise et inquiète. Je lui dis que je ne comprenais pas ce qui se passait et que tout cela ne me disait rien qui vaille. Malgré tout, je lui dis qu'il fallait tirer cela au clair, récupérer sa fille au plus vite, et partir rapidement de cet endroit. Une fois arrivées devant le local poubelles, nous entendîmes des râles de plaisir poussés par une jeune fille. Celle-ci prenait apparemment son pied. Elle encourageait joyeusement ses partenaires à grands renforts de "oh oui, défoncez moi à fond", de "Prenez-moi comme une pute". Les hommes n'étaient pas en reste et l'insultaient copieusement, la traitant de salope, de sale pute, de connasse de blanche. Les bruits émanants de derrière la porte étaient peut être encore plus parlant que les paroles. On entendait clairement les claquements des corps contre les fesses, les bruits de succion, et même les gifles. Je regardais alors Brigitte. Celle-ci était décomposée. Elle avait évidemment reconnu le son de la voix de sa fille chérie. Elle était figée sur place, n'ayant plus la force de réagir. J'ouvris alors la porte du local, et au supplice auditif s'ajouta la cruelle confirmation visuelle. Le choc fut terrible. Elodie se trouvait au centre de la pièce, un très grand local poubelle d'environ 20 m2. Les poubelles avaient disparues, ce qui faisait paraître la pièce encore plus grande. Un vieux matelas taché, immonde, avait été disposé par terre. Elodie se trouvait dessus, à quatre pattes, nue. Elle était entourée par plusieurs jeunes hommes, le style racaille, maghrébins et noirs. Deux jeunes africains présentaient leurs queues dressées de chaque côté de son visage, sa bouche étant déjà remplie par l'énorme queue d'un maghrébin. De l'autre côté, un grand noir était en train de l'enculer violemment, à grands coups, sans aucun ménagement, en la tenant d'une main par ses longs cheveux blonds, et en lui claquant les fesses de l'autre main. Les grosses mamelles d'Elodie se balançaient lourdement au rythme des coups de boutoir. Une grosse dizaine d'autres hommes se trouvaient dans la pièce. Plusieurs étaient en train de filmer avec leur téléphone portable. Au début, Elodie et ses amants ne firent pas attention à notre présence et continuèrent leurs ébats comme si de rien n'était. Brigitte était encore trop choquée pour bouger ou même dire un mot. Le maghrébin sortit sa queue de la bouche d'Elodie et lui tourna la tête vers un des téléphone en train de filmer.

-Regarde la caméra salope et souris. Dis un petit mot pour tes admirateurs.
Elodie se mit alors à sourire jusqu'aux oreilles, en montrant son appareil dentaire. Elle dit alors, en minaudant, face caméra:
- Je suis la pute de Rachid, une salope blanche juste bonne à me faire défoncer tous les trous. Je kiffe être tournée dans les caves et servir de vide couilles.
Le grand black qui était en train de l'enculer sortit alors sa queue de l'orifice, dévoilant un anus béant. La caméra ne perdit pas une miette de la scène, faisant un gros plan sur le trou grand ouvert. Le black balança un gros mollard directement sur la rondelle d'Elodie et lui enfonça directement 5 doigts dans l'anus, ce qui apparemment plu beaucoup à Elodie qui tortilla du cul en s'écriant:
- Oui, fiste moi le cul Ibrahim, tu sais que j'adore ça.
Au moment où le black allait enfoncer sa main entière dans le cul d'Elodie, Brigitte sortit enfin de sa torpeur et cria d'arrêter.

Sa fille et les lascars alentour se tournèrent alors vers la porte. Elodie s'adressa alors à sa mère:

-Tiens maman, tu es déjà là. Tu arrives juste au bon moment, Ibrahim était sur le point de me fister le cul. J'adore sentir sa grosse main me dilater la rondelle. Eh oui, ta petite fille chérie est une grosse pute à noirs et à arabes. Ca fait des mois que je me fais défoncer tous les trous en gang bang dans des caves de cité ou dans les chiottes de boites afro. Je suis devenue un vrai hangar à bites africaines.

Brigitte était sous le choc. Elle ne comprenait rien à ce qui se passait sous ses yeux. Elle pensait vivre un cauchemar et priait pour se réveiller. Mais cela était bien réel, malheureusement pour elle.

C'est le moment que choisit Edouard pour se montrer à Brigitte. Il était tranquillement assis au fond de la pièce, avec un téléphone portable à la main.

-Alors madame X, on fait moins la maline aujourd'hui. Voilà ce qui arrive quand on n’est pas gentille avec moi. On en paye les conséquences. Mais ce n'est que le début croyez moi. Il va en falloir beaucoup plus pour payer votre dette. On a tous ici sur nos téléphones de jolis petits films de cette pute d'Elodie, sous tous les angles. Vous avez pu en voir un aperçu. Et encore vous avez pas tout vu. On vous fera un petit montage des meilleurs moments, pour vos souvenirs. Vous pourrez matter ça en famille pendant les longues soirées d'hiver. Mais je suis sûr que vous ne voudriez pas que ces petits films soient diffusés ou envoyés à vos proches. Quelle réaction aurait le cher papa d'Elodie en voyant sa petite fille chérie comme ça. Ou bien le curé de votre paroisse, cela lui ferait un choc à ce pauvre homme. Et je ne parle même pas de vos collègues. Alors, si vous voulez récupérer les vidéos, il va falloir être très gentille et faire tout ce qu'on vous dira. On est bien d'accord ?

Brigitte acquiesça de la tête, résignée.

- Je ferai tout ce que vous voulez, mais ne diffusez pas ces vidéos s'il vous plait. Pitié. Vous voulez de l'argent ? Je peux vous accorder votre prêt et même plus.

- Oui, tu vas m'accorder mon prêt salope, ça coule de source. Je viendrai signer les papiers mardi. Mais il va aussi falloir payer les intérêts de ta dette, et là, ça va être en nature. Tu vas tous bien nous vider les couilles pouffiasse. Ta connasse de fille nous a bien échauffé, on est prêt pour le plat de résistance. Et bien sûr on va filmer tout ça, histoire de te faire réfléchir aux conséquences de tes actes. Bon allez les mecs, foutez moi cette truie sur le matelas à la place de l'autre éponge à jus. La petite pute va venir s'occuper de moi et de Marie-Chantal.

Je quittais alors le côté de Brigitte et avançais dans la pièce vers Elodie. Je m'agenouillais devant elle et l'embrassais goulûment sur la bouche. Sa langue avait un délicieux goût de sperme. J'adorais me gouiner avec cette petite garce. Cela faisait des mois qu'elle fréquentait mes soirées. C'est là qu'elle avait rencontré son maître, Rachid. Après nous être embrassé longuement, nous partîmes toutes les deux à quatre pattes vers Edouard pour nous mettre à ses pieds.

Quatre hommes vinrent alors s'emparer de Brigitte pour la conduire sur le vieux matelas pourri.

Edouard s'adressa alors à elle:

- Fous toi à poil salope. Fais-nous un petit strip tease. J'ai toujours eu envie de voir tes grosses mamelles de vache. Elles me font toujours bander quand je vais dans ton agence. Je suis sûr que tu sais que tu fous bien la gaule à tous les mecs avec tes gros nibards hein sale pute. A mon avis tu es une grosse chienne comme ta connasse de fille. Allez, magne toi, commence à te désaper, enlève ta veste.

Brigitte s'exécuta sur le champ. Elle enleva sa veste de tailleur et la laissa tomber à ses pieds.

- Vas-y, continu, et fais nous ça bien sinon tu risques de voir partir les vidéos. Je veux un vrai strip tease de pro, bien sensuel. Regarde comme tu nous fais déjà bien bander. Ta fille, on l'a déjà tellement baisée cette pute, on la calcule même plus. Elle a plus aucun amour propre cette chienne, elle ferait n'importe quoi pour sa dose de sperme. Rachid la fait même baiser par des clodos maintenant. Tant qu'ils sont noirs ou arabes elle prend tout. Mais avec toi, on va bien s'amuser. Tu dois avoir les trous encore bien serrés, pas comme les deux hangars d'Elodie.

Je mouillais comme une folle en entendant Edouard humilier Brigitte et Elodie de la sorte. Je m'assis sur le sol, remontais ma jupe à la taille, et écartais les jambes au maximum. Je pris alors la tête d'Elodie et la fourrais entre mes cuisses. La petite pute m'écarta alors le string et commença à me lécher la vulve avec application. Cette chienne était douée. Sa petite langue était une des plus agiles que j'aie connu.

Brigitte se mît alors à pleurer. Elle craquait nerveusement. Néanmoins, elle trouva tout de même la force pour continuer à se déshabiller. Elle se déhanchait tout en enlevant un à un les boutons de son chemisier. Cette salope se débrouillait plutôt bien. Je commençais à me demander si elle ne cachait pas son jeu celle-là. Ma longue expérience d'organisatrice m'avait appris à me méfier des apparences. Brigitte enleva son chemisier, dévoilant ainsi sa grosse poitrine sous un soutien-gorge en dentelle noire. Elle fit ensuite tomber sa jupe en la laissant glisser le long de ses jambes gainées de nylon. Elle portait une culotte en dentelle noire assortie au soutien-gorge. Puis elle dégrafa lentement son soutien-gorge pour laisser voir sa poitrine gonflée.

Les premiers hommes commencèrent alors à s'approcher d'elle pour lui caresser les seins, lui sucer les tétons. Certains lui massaient les nichons d'une main tandis que la seconde s'insinuait sous la culotte vers sa chatte. On ne tarda pas à lui descendre la culotte aux chevilles pour faciliter l'accès à sa raie. Elle avait la chatte épilée mais pas intégralement, elle avait laissé un ticket de métro plutôt appétissant. Pendant ce temps, les insultes pleuvaient. Brigitte était traitée de tous les noms, rabaissée, humiliée. Plusieurs hommes lui crachèrent directement au visage, de gros mollards bien gras qui dégoulinaient ensuite le long de ses joues. Elle reçut également plusieurs gifles quand elle essayait mollement de se rebeller. Les hommes écartaient ses fesses pour dégager sa raie et admirer ses deux orifices. Brigitte était rabaissée à l'état d'esclave sexuelle au service de ses maîtres.

Au bout de quelques minutes, on la fit mettre à genoux. Les hommes se mirent alors en cercle autour d'elle pour être sucé. Les bites se pressaient autour de son visage, essayant de se frayer un chemin vers sa bouche. Ceux qui attendaient leur tour la bifflaient avec leurs grosses queues. On lui tirait régulièrement les cheveux pour la faire changer de direction quand elle s'attardait trop sur un membre. La salope avait l'air assez douée apparemment. Elle cachait bien son jeu. Elle avait encore du mal à avaler les grosses queues blacks et les mecs étaient obligés de forcer leur gros membre au fond de la gorge de Brigitte en la tenant par la tête. Elle réussit pourtant au bout d'un moment à les avaler jusqu'aux couilles. Les mecs s'en donnèrent alors à cœur joie pour lui pistonner la bouche comme une chatte, déversant des torrents de salive quand ils se retiraient de sa gorge pour la laisser respirer et passer le relais au suivant. Brigitte avait la gueule recouverte de bave, qui coulait le long de ses joues et de son menton, emportant au passage le maquillage avant de tomber sur le matelas.

La vision de ce défonçage de gorge en règle, associé au cunni prodigué par Elodie, ne tarda pas à me faire jouir comme une bonne chienne. Je projetai alors un long jet de cyprine au visage de la petite qui fut ravie et vint m'embrasser amoureusement. J’en profitais pour lui lécher avidement le visage et goûter ma mouille.

Une fois tous bien mis en forme par les fellations à la chaine, les hommes décidèrent de passer aux choses sérieuses. Brigitte fut tout d'abord allongée sur le dos. Les mecs commencèrent à défiler un par un. Certains préféraient lui lécher la chatte avant de l'enfiler, d'autres préféraient la ramoner directement. Pendant que sa chatte était utilisée comme un vulgaire vide couilles, sa bouche et sa langue ne restait pas inactive. Les hommes qui attendaient leur tour en profitaient pour continuer de se faire sucer, ou bien pour que Brigitte leur lèche le cul. Elle fut réticente au début, mais après quelques gifles, insultes et crachats, elle accepta de nettoyer toutes les raies mâles se présentant devant son visage. Et les mecs ne se firent pas prier pour lui confier l'entretien de leur rondelle. Evidemment, la plupart en profitait pour lui lâcher de gros pets sonores et odorants au visage, provoquant l'hilarité générale. Cela fit énormément mouiller ma petite Elodie, que j'avais commencé à lécher assidûment. Cette salope avait déjà une chatte extra large pour son âge, mais j'avais l'habitude avec toutes les BaB que je côtoyais. Certaines avaient déjà des gouffres en guise de chatte avant même d'être majeure. J'adorais ça. Et je ne vous parle même pas de l'état de son trou du cul. Pendant que je lui bouffais la moule, Elodie était occupée à sucer Edouard. Sa vengeance l'avait bien mis en forme et il bandait comme un âne le salaud.

Une fois bien tous passé au moins une fois dans la chatte de Brigitte, celle-ci fut mise à quatre pattes pour être prise en levrette. Elle me tournait alors le dos, ce qui me permit, ainsi qu'à Elodie et à Edouard, de voir l'état de sa chatte. Elle était bien béante après le passage de plus d'une quinzaine de grosses queues blacks et arabes. Certains avaient visiblement déjà éjaculé en douce car du sperme commençait à couler le long de ses cuisses, mêlé à d'abondante quantité de mouille. Cette salope devait commencer à prendre son pied malgré l'humiliation et les mauvais traitements. Mais pour l'instant elle gardait encore le silence et encaissait sans rien dire.
Les pénétrations recommencèrent, à la chaine, mais beaucoup plus violemment qu'en missionnaire. Le passage était fait, et la position favorisait les chevauchées musclées. Brigitte était prise sans ménagement, tenue par les cheveux ou par la gorge. Les mecs pistonnaient sa chatte avec v******e, leur corps claquant sur les fesses de Brigitte à chaque coup de boutoir. Pendant ce temps, d’autres queues se pressaient autour de son visage et dans sa bouche, qui était pleine en permanence.
Très vite, la vision du trou du cul offert de Brigitte excita l'envie de sodomie chez les participants. Le premier à l’enculer fut Ibrahim, le grand black qui était sur le point de fister le cul d’Elodie à notre arrivée. Il possédait un sexe hors norme, absolument énorme. Il impressionnait surtout par sa largeur démesurée. Même moi, qui ai vu des centaines de queues noires depuis plus de vingt ans, j’étais impressionnée par la taille de son engin. Je me promettais d’ailleurs de l’inviter pour mes prochaines soirées. Il est depuis devenu un habitué et a dilaté la chatte et le cul de dizaines de bourgeoises, y compris le mien bien évidemment.
Ibrahim présenta son gigantesque gland à l’entrée du trou de balle de Brigitte. Devant l’étroitesse de l’orifice, il se décida à lubrifier l’anus avant de pénétrer à l’intérieur. Il lâcha donc un gros crachat bien gras directement sur la rondelle de Brigitte. Puis il enfonça le mollard dans le cul avec son pouce, en le tortillant et en lui faisant faire des vas et viens. Brigitte fut surprise, mais les lascars devant son visage ne lui laissèrent pas l’occasion de dire quoi que ce soit, continuant à se relayer pour baiser sa gorge comme une chatte. Plusieurs mecs, parmi les plus jeunes, avaient déjà balancé la purée directement dans sa bouche ou bien sur son visage. Sa gueule était un vrai désastre, complétement recouverte d’un mélange de salive, de maquillage et de sperme. Un des participants avait juste eu le temps de sortir de sa bouche avant de gicler et lui avait éjaculé dans l’œil, faisant couler le rimmel sur sa joue.
Après avoir bien détendu et lubrifié l’anus de Brigitte avec sa salive et ses doigts, Ibrahim estima qu’il était temps de forcer l’entrée. Il posa son gland gonflé contre le sphincter et força pour enfoncer sa grosse tige dans le conduit. L’énorme membre se fraya petit à petit un passage dans le cul serré et probablement vierge.
- Putain, elle est serrée cette salope. Pas comme sa garce de fille. Avec l’autre conne ça rentre comme dans du beurre mais là faut que je force les mecs. Mais je vais vous faire un bon passage vous allez voir. Elle me serre la queue comme un étau. Voilà, ça commence à bien entrer. Regardez les mecs, elle aime ça cette pute, elle avance son cul vers moi pour que je l’enfile plus profond. Putain ces bourgeoises de françaises c’est vraiment les meilleures chiennes. Allez salope, dis-nous que tu aimes te faire enculer.

Brigitte, qui pour une fois n’avait pas la bouche rempli, répondit à Ibrahim
- Oui, j’adore me faire enculer par une grosse bite de black. Défonce-moi bien le cul avec ta queue. Je veux avoir l’anus aussi ouvert que celui de ma fille. Moi aussi je veux être un bon vide couilles à Africains. Cela fait des années que je fantasme là-dessus. C’est trop bon d’être traitée comme une femelle en rut, insultée et humiliée. Je jouis comme une chienne depuis tout à l’heure. Continuez de bien me défoncer tous les trous je vous en supplie.
- T’inquiète pas pour ça vieille truie, on va bien te mettre minable. Telle mère telle fille. On sait comment traiter les blanches comme toi.
Ibrahim se mit donc à enculer Brigitte de plus en plus fort. Sa queue entrait à présent en entier. Il la faisait aller et venir sur toute la longueur, en faisant gémir de plaisir sa victime consentante. Brigitte commençait à présent à sacrément mouiller du cul. Je pris alors Elodie par le bras et toutes les deux nous nous dirigeâmes à quatre pattes vers le couple. Ibrahim sortit sa queue du cul de Brigitte et la fourra dans la bouche d’Elodie.
- Tiens petite salope, goûte moi ça. Elle sort direct du trou de balle de ta pute de mère. Nettoies moi bien tout ça avant que j’y retourne.
De mon côté, j’en profitais pour venir lécher le trou du cul libéré de cette chère Brigitte. J’enfonçais bien ma langue à l’intérieur de l’anus ouvert pour goûter au maximum le contenu du conduit. Quel bonheur de passer sa langue à l’intérieur de cet anus fraichement dépucelé. Après avoir remis une dose de salive lubrificatrice, je laissais à nouveau la place à Ibrahim pour la pénétration. Sa queue entra cette fois ci plus facilement. Nous répétâmes plusieurs fois ce petit manège, en inversant parfois les rôles, moi nettoyant la bite d’Ibrahim et Elodie léchant la raie de sa mère. Celle-ci l’encourageait d’ailleurs de la voix, autant que le lui permettait le passage des queues au fond de sa bouche. Au bout de quelques minutes, Ibrahim se retira et laissa la place à un jeune Maghrébin, doté également d’un assez bel engin, quoique bien moins large. Le jeune se mit à enculer Brigitte avec frénésie, en lui faisant pousser des râles de plaisir.
Ibrahim passa du cul de Brigitte à ma chatte, me prenant sur le bord du matelas en missionnaire. Ma bouche ne resta pas inactive pendant ce temps, ma tête se trouvant entre les cuisses de Brigitte, je lui léchais la chatte avec application pendant que les mecs défilaient à la chaine dans son cul. Cette pute dégoulinait comme une folle. Sa chatte était une vraie fontaine. Elodie, elle, s’occupait de lécher les culs qui se présentaient à elle, ainsi que les queues sortant directement du trou à merde de sa mère.
Edouard décida alors de faire prendre sa victime en double. Ibrahim s’allongea sur le matelas, puis Brigitte vint s’empaler le cul sur sa queue en lui tournant le dos. Un autre black pris alors possession de sa chatte. Evidemment, la salope continuait à sucer et à branler tous les mecs à sa portée. Elle était bien prise par tous les orifices. Elodie et moi nous nous occupions de faire patienter les autres, en utilisant les trois trous à notre disposition. Edouard vint enculer Elodie, sortant régulièrement sa queue pour me la faire goûter. Puis il alla baiser la chatte de Brigitte qui l’accueillit avec un grand sourire. Edouard en profita pour lui cracher à la gueule et lui balancer deux bonnes gifles, ce qui rendit Brigitte encore plus heureuse. Edouard demanda à Ibrahim s’il restait encore de la place dans le cul de la pute. Ibrahim se mit à rigoler et dit qu’il fallait voir. Edouard sortit alors sa queue de la chatte pour venir la présenter devant le cul déjà rempli par la grosse bite du sénégalais. L’excitation de Brigitte était telle que son cul se dilata assez pour permettre le passage des deux grosses queues, qui se mirent à pistonner l’anus de concert, lui arrachant des gémissements de douleur et de plaisir. Au bout de quelques secondes de ce traitement, elle se mit à jouir en lâchant un cri et en inondant le matelas d’un jet de cyprine. Je me précipitais, suivie d’Elodie, pour récupérer la précieuse semence directement à la source. La chatte de Brigitte était animée de mouvements convulsifs. Avec sa fille nous léchions sa chatte béante puis nous nous embrassions goulûment à pleine bouche.
Cette belle chatte excitée et offerte était un véritable appel à la pénétration multiple. On décida donc d’enchainer les doubles vaginales pour bien élargir l’orifice et en faire un bon hangar à bites. Tout le monde y passa deux par deux. Pour ne pas laisser au trou du cul le temps de se refermer, on alternait de temps en temps avec une double anale. Les queues, aussi grosses soient elles, entraient à présent sans difficulté dans les deux trous. Les éjacs internes commençaient à se succéder. Cela faisait maintenant plus de deux heures que Brigitte se faisait ramoner. Même les plus endurants avaient déjà éjaculé au moins une fois. Le sperme coulait en abondance de la chatte et du cul défoncés, glissant le long des jambes sur les bas noirs. La semence tombait également de son visage sur sa grosse poitrine qui était recouverte de bon jus d’africain.
Une fois que toutes les couilles furent vidées plusieurs fois dans les trois trous et sur le corps de Brigitte, Edouard ordonna qu’on lui fasse une petite toilette. Les mecs savaient tous ce que cela voulait dire. Ils avaient l’habitude avec toutes les petites blanches de la cité qui descendaient dans les caves. Brigitte fut placée à genoux au centre du matelas, puis les mecs commencèrent tous à lui pisser dessus. Les jets de pisse firent disparaitre petit à petit les traces de sperme. On lui inondait littéralement le visage, les cheveux, les seins d’une urine jaune et odorante. Edouard ordonna à Brigitte d’ouvrir la bouche pour qu’on lui rince sa gorge de pute. Pour vider les dernières vessies, on mit Brigitte les jambes en l’air, maintenue par 2 blacks costauds, ses épaules reposant sur le matelas trempé de pisse. Les derniers lascars se firent un plaisir de lui pisser dans la chatte et dans le cul, utilisant leur queue comme un Karcher.

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Edouard ne voulut pas en rester là. Cette salope devait vraiment en baver un maximum à cause de ce qu’elle avait fait. Pour l’instant elle avait juste subi le sort habituel de pas mal de jeunes blanches de cité. Et ces putes prenaient ça toutes les semaines, surtout les plus mignonnes. Celles-là dégustaient tout particulièrement. Il se souvenait d’une jeune blonde magnifique qui avait été réduite à l’état de déchet, de serpillère à jus.
Il alla chercher une gamelle pour chien dans un coin de la pièce et la posa sur le sol, devant Brigitte. Il ordonna ensuite à Elodie et à moi de chier dans la gamelle, ce que nous fîmes avec plaisir, sachant très bien à quoi cela allait servir. La petite garce chia deux gros étrons. Pour ma part, je chiais un bon paquet de merde molle pour recouvrir les deux boudins d’Elodie. Edouard pris alors Brigitte par les cheveux sous les regards goguenards de la quinzaine de racailles pour qui elle avait servi de défouloir. Il lui approcha la tête de la gamelle remplie et lui ordonna de tout bouffer. Cette chienne de Brigitte était tellement excitée qu’elle s’exécuta immédiatement. Elle commença à bouffer la merde directement dans la gamelle. Après quelques bouchées, Edouard lui enfonça la tête profondément dans nos excréments avec son pied, ce qui provoqua un rire général. Cette garce d’Elodie s’astiquait le clito en regardant sa mère bouffer sa merde, la gueule recouverte. Brigitte finit finalement par avaler l’intégralité du contenu de la gamelle, sous les applaudissements et les insultes. Mais Edouard n’en avait toujours pas fini avec elle. Il demanda à Ibrahim d’aller chercher Helmut. Helmut était la terreur des petites blanches de la cité. Il venait les punir quand elles n’avaient pas été sages et n’avaient pas bien obéi à leurs maitres africains. Helmut était un gros dogue allemand doté d’un bel appareil génital. Ibrahim revint quelques minutes plus tard avec Helmut au bout d’une laisse. Le chien n’avait pas servi depuis la semaine dernière, où il avait monté une petite nouvelle, une jolie petite rouquine, débarquée récemment à la cité avec ses parents depuis un petit village de province.
Brigitte, sous les ordres d’Edouard, commença par sucer longuement le chien. Puis elle se fit saillir en levrette, comme une vraie chienne. Elodie et moi nous étions mis en 69 pour profiter du spectacle tout en ayant le plaisir de lécher et d’être léchée. La jeune salope coulait comme une fontaine. Ibrahim profita du fait qu’elle soit le cul en l’air au-dessus de moi pour enfin lui prodiguer le fist anal qu’elle attendait. Le chien finit par éjaculer dans la chatte de sa partenaire. On leur jeta un seau d’eau froide pour le faire lâcher prise et Ibrahim repartit avec Helmut, laissant Elodie le cul explosé par le passage de sa grosse main.

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Brigitte fut ensuite abandonnée ainsi sur le matelas trempé, exténuée, puante. Les mecs partirent rapidement une fois leur vessie et leurs couilles bien vidées. Il ne resta bientôt plus qu’Edouard, Elodie, Rachid et moi autour d’elle. Edouard lui rappela leur rendez-vous du mardi à la banque puis partit, emportant avec lui l’intégralité de la scène filmée par ses soins dans son téléphone. Rachid partit à son tour avec Elodie, qui s’était rhabillée avec un micro-short en jean et une brassière, en disant à Brigitte de ne pas attendre sa fille ce soir, celle-ci devant vider les couilles dans un foyer de migrants.
Je restais seule avec Brigitte. Je l’aidais à se relever, à se nettoyer avec une serpillère qui traînait dans un coin de la pièce, et à s’habiller, puis nous rentrâmes en voiture. Pendant le trajet, elle m’avoua n’avoir jamais autant joui de sa vie. Elle savait à présent quelle était sa place. Elle n’avait jamais osé se l’avouer auparavant, cela étant jusqu’à aujourd’hui un fantasme honteux. Mais à présent elle était bien décidée à suivre la même voie que sa fille. Elle me demanda si je pensais qu’Edouard accepterait de la prendre en main. J’étais sûre qu’il serait ravi de la compter parmi son harem. Je lui parlais de mes soirées et lui dis qu’on resterait en contact. Je serais ravie de l’inviter à nous rejoindre.
Depuis ce jour, Brigitte est une assidue de mes soirées. Finalement, c’est Ibrahim qui l’a prise en main, Edouard étant occupé à dévergonder la jeune sœur d’Elodie. Mais cela sera peut-être le sujet d’une prochaine histoire…
Published by johnpersons94
3 years ago
Comments
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Je lirais volontiers une 3ème partie.
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