Il n’y aura pas que des policiers et des militaires français pour assurer la sécurité des Jeux olympiques. Début janvier, la France a sollicité 46 partenaires étrangers pour répondre au défi capacitaire. Ce sont 2 185 effectifs supplémentaires qui sont demandés, précise jeudi 28 décembre le ministère de l’Intérieur au Point.
Plus tôt dans la journée, le ministre de la Défense polonais, Władysław Kosiniak-Kamysz, annonçait sur X (ex-Twitter), qu’une « task force composée de nos soldats, dont des maîtres-chiens, sera envoyée à Paris ». « Son objectif principal sera d’entreprendre des activités liées à la détection d’explosifs et à la lutte contre les phénomènes terroristes », explique-t-il.
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Casse-tête sécuritaire
À quatre mois de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, le risque d’une attaque terroriste d’ampleur a refait surface. Celle menée le 22 mars dernier par l’État islamique dans la salle de concert du Crocus City Hall à Moscou a fait plus de 130 morts. En déplacement en Amérique du Sud, Emmanuel Macron a assuré « qu’on sera prêts » pour assurer la sécurité des JO, tout en admettant que le « risque zéro » n’existait pas.
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